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4,3

sur 931 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C' est un peu par hasard que je me suis à la lecture de ce roman. Et je dois avouer que ce fut une lecture agréable. Nous nous retrouvons dans un monde post apocalyptique suite à une pandémie de fièvre. Un coronavirus ( toute ressemblance avec des fait ayant déjà existés sont fortuits). Nous faisons le connaissance de Willem et Nico Storm qui ont réussi à survivre à cette fameuse fièvre et parcourent les routes afin de trouver l' endroit idéal afin de fonder une nouvelle société. Et c' est à Amanzi qu' ils vont déposer les valises. Un oeuvre touchante, brillante et captivante. Une tension qui monte tout au long de la lecture. Un plume visionnaire et rassurante. Avec ce roman, je découvre l' auteur Deon Meyer, et je vais continuer à découvrir ses oeuvres.
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L'anticipation n'est pas le domaine habituel de cet auteur. Mais il y est à l'aise pour nous raconter une belle histoire. Son goût pour les scènes d'action est bien là. Les sentiments et l'étude psychologique des personnages aussi. le scénario aurait mérité d'être mieux travaillé, particulièrement la fin qui m'a semblé un peu précipitée. Mais peut-être qu'il y aura une suite afin de répondre aux questions restées sans réponses.
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Nico Storm, le narrateur, a 13 ans au moment où l'histoire commence. Nous sommes en Afrique du Sud. Un terrible virus a décimé la majeure partie de la population dont sa mère. Avec son père Willem, il cherche à survivre aux attaques de chiens sauvages et d'humains réduits à l'état de barbare.
Mais son géniteur a un projet : reconstruire une communauté réellement démocratique dont le racisme serait banni. L'utopie d'un monde meilleur pourra-t-elle se substituer à la dystopie chaotique ? le bien pourra-t-il l'emporter sur le mal, la sagesse sur la déraison ? Telles sont les questions que pose ce livre post-apocalyptique qui décrit minutieusement la fondation d'une société avec les difficultés à concilier les opinions et les caractères de ses membres qui arrivent avec un vécu. A l'instar du pasteur qui, en bon populiste de la religion, sème la peur pour mieux diviser. Pour mieux varier la narration, Deon Meyer introduit des témoignages des principaux protagonistes.
« L'année du lion », c'est aussi un roman d'apprentissage qui révèle la manière dont Nico se construit entre un père qu'il trouve parfois lâche et timoré et Domingo, un antidémocrate sanguin qui considère ses semblables comme des animaux mais qui fait tout pour les protéger des multiples agressions extérieures. Pour l'adolescent, cette période est aussi celle de l'éveil à la sensualité avec Sofia.
Plus connu pour ses polars (cf. les très bons « Le pic du diable » et « Lemmer l'invisible ») post-apartheid, Deon Meyer, en se projetant dans le passé et en mettant en scène des personnages forts, propose une allégorie d'une humanité qui se reconstruit sur des bases de justice et d'égalité. La fin est surprenante et pose la question des pouvoirs que peuvent s'arroger certains au nom d'une idéologie.
Deux bémols : des longueurs et une écriture un peu bâclée.
Merci à Babelio et aux Éditions du Seuil pour cette lecture.
Lien : http://papivore.net/litterat..
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Après avoir fini «En vrille», je me suis trouvée désemparée de ne plus avoir de romans policiers de Deon Meyer à découvrir. Je souhaitais lire «L'année du lion», mais le fait qu'on n'y retrouve ni Benny, ni Lemmer, ni Mat Joubert m'empêchait de sauter le pas. En plus, c'est un récit post-apocalyptique, et malheureusement, beaucoup d'écrivains ont galvaudé le genre. J'ai fini par m'imposer cette lecture, et heureusement que je l'ai fait. Ce roman m'a tout de suite happée, je ne me suis pas ennuyée, et... je l'ai trouvé trop court (je rappelle qu'il dure 19h27).

Dès le départ, Nico, le narrateur, nous apprend quelque chose qui n'arrive que vers la fin du livre.
[...]
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Lien : https://www.lalivrophile.net..
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Que 3 et demi car très déçu par la fin...
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Excellent livre d'anticipation au scenario très original. A quand la suite !?
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Première lecture de cet auteur et il n'y a pas à dire : il sait tenir son lecteur en haleine. La structure du roman, à partir de témoignages, apporte du rythme au roman avec les points de vue des différents protagonistes. L'histoire en elle-même est assez classique. Un monde postapocalyptique avec comme dans Malevil, d'un côté une dictature bienveillante qui essaye de remettre en place une société civilisée et de l'autre, les forces obscures qui se nourrissent sur le chaos et le pillage.

L'auteur en profite pour évoquer subtilement les dysfonctionnements de la société actuelle : la perte de contact avec la nature, les relations sociales basées le plus souvent sur les oppositions entre groupes, l'individualisme...

Petit clin d'oeil d'un auteur sud-africain à la littérature française moderne : ce qui manque le plus à Lizette Schoeman, ce sont les roman de Romain Puértolas
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C'est bien ficelé, bien écrit (ou bien traduit), vif, sans temps mort, haletant. C'est moins une énième histoire de reconstruction de l'humanité classique qu'un un prétexte pour mettre en avant la vanité de l'homme, son jusqu'au-boutisme. Quoi qu'il arrive, même animé des meilleures intentions, le meurtre, l'avidité reviennent toujours au galop.
J'ai globalement aimé l'histoire, les personnages mais ai été un brin déçu de la fin, qui laisse tellement de portes ouvertes …
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Ce roman déroule une fiction qui, au vu de la pandémie Coronavirus qui sévit sur la planète depuis fin 2019, pourrait devenir une réalité.
Sans excès de catastrophisme mais avec des situations et des personnages bien ancrés dans notre époque, l'intrigue nous porte tel un puzzle qui se reconstitue au fil des chapitres.
On peut qualifié le style d'écriture de fluide et pragmatique sans atteindre des sommets littéraires
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Deon Meyer nous offre ici un roman d'anticipation où "la Fièvre" a décimé 95% de la population mondiale, le récit nous fait suivre Willem Storm et son fils Nico qui tentent de créer un semblant de civilisation dans ce monde dévasté.
Ce roman d'aventures avec quelques couleurs écologiques pourrait se résumer ainsi "lutter pour survivre", mais surtout, on ne voit pas les 700 pages passer.
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