Evidemment, passer après la plume d'
Emmanuel Carrère c'est difficile mais il n'y a pas que ça qui vaut ma note à ce roman.
Je m'attendais à une histoire d'amitié très forte entre une bande de copains d'enfance.
Avec 112 pages, l'autrice va très vite et d'ailleurs trop vite.
C'est un carnage ! C'est brouillon !
Que ça soit pour l'ordre chronologique de leur vie, la mère est vivante, morte, vivante et morte.
Pour les personnages où on bascule de l'un à l'autre sans indication dans le même chapitre.
A un moment je ne savais même pas qui parlait !
Il y a des scènes de sexe à gogo.
Le personnage de Yana se fait culbuter par quasi tout le monde. Ah non ! Pas par Belle et Mélia qui ne sont pas homosexuelles, ni par l'homosexuel puisque c'est un homme.
Je ne me suis donc accrochée à aucun des perso.
Pour ce qui est de l'histoire, même combat. Hercule Poirot se serait arraché le peu de cheveux qu'il avait tellement la résolution est brouillonne.
Je ne m'attarde pas plus longtemps car vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé.