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Rolland Barthélémy (Autre)
EAN : 9782360010042
324 pages
Nestiveqnen Editions (16/04/2021)
4/5   3 notes
Résumé :
« À l’abordage, Moinillon ! La Providence nous donne son plus beau sourire, une fois de plus ! Tu m’écoutes, face de poulpe ?
— Oui, capitaine. Je surveille simplement les requins. Ils sont plus agités qu’hier. »

Après l’explosion accidentelle du Grand Lys, le plus fabuleux navire de la marine aztaq que nous avions réussi – pour un temps du moins – à faire nôtre, le capitaine Providence et moi-même étions restés près de dix jours à dériver sur ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Capitaine Providence, de Philippe Monot

La couverture et l'extrait (ce n'est pas un résumé sur la quatrième de couverture) étaient les seuls points qui m'ont donné envie de cocher ce roman au dernier « Masse Critique ». D'autres points positifs se sont ajoutés quand j'ai reçu le livre : les illustrations sont superbes et j'ai découvert qu'il s'agissait d'un recueil de nouvelles : ça tombait bien, je n'en avais plus lu depuis longtemps, et c'est un format agréable.
La préface explique que l'auteur est décédé en 2019 avant la publication de ce recueil et que les nouvelles sont divisées en deux périodes. En très rapide et pour aller à l'essentiel, la première est constituée de nouvelles publiées dans Lanfeust mag et la seconde comprend trois textes plus denses qui reprennent l'univers de la première : ce sont des réécritures, et la dernière est inachevée.
Je dois avouer que je n'ai pas su dépasser la nouvelle « Le Nom des navets » (première période) tout simplement parce que je n'ai rien compris. J'ai lu un premier texte hommage de Loïc Nicoloff (qui partait bien parce qu'il y avait des clins d'oeil à Cyrano de Bergerac, mon amour-de-toujours), puis les quatre premiers textes de Philippe Monot. Je me suis pourtant accrochée, mais rien n'y a fait : c'était un peu comme si je débarquais dans le spin-off d'une série sans connaître l'original. J'ai relu la préface pour comprendre si j'avais loupé quelque chose, comme par exemple un roman dont dériverait ce recueil, mais ce n'est pas le cas. Cela dit, l'ambiance étant sympa (piraterie XVIIè mêlée à de la fantasy), j'aurai continué même sans comprendre si le héros éponyme me plaisait, mais non : c'est un crétin fini, vulgaire, qui se contente de zigouiller tous ceux qui croisent sa route. Adieu capitaine Providence, je pensais que tu serais mon genre, mais non !
PS : si jamais je meurs sans avoir terminé mon roman en cours, s'il-vous-plaît ne le publiez pas !
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Avant toute chose, je tiens à remercier grandement Babelio pour la Masse Critique "Mauvais genres" ainsi que Nestiveqnen Editions pour l'envoi et la lecture de ce livre.

Et bien ma foi, voici un livre que j'ai dévoré ! C'est la couverture plus que le titre qui a attiré mon oeil dans la liste des livres proposées lors de la masse critique. Toute en couleur avec une très belle illustration ! le résumé de ce livre n'est rien d'autre qu'un passage d'une des nouvelles. Et cela a suffisamment attisé ma curiosité pour avoir envie de le lire.
Je l'ai commencé le jour même ou je l'ai reçu. Ce livre est composé de plusieurs nouvelles se situant dans le même monde est avec les mêmes personnages principaux. Les textes sont tous de l'auteur sauf deux qui sont de deux autres personnes, proche de Philippe Monot.
Dans ces différentes nouvelles nous suivons le fameux Capitaine Providence ainsi que son second, Moinillon, à travers de multiples aventures au quatre coins du monde, sur mer comme sur terre, entre succès et débâcles.
Durant cette lecture j'ai rigolé à plusieurs reprises. le Capitaine Providence a une répartie et un franc parlé qui laisse baba. L'humour n'est jamais bien loin et est toujours maîtrisé. le monde créé par Philippe Monot est riche en contrées et peuplades diverses mais il est facile de s'y retrouver. Les nouvelles ont un rythme soutenu avec ce qu'il faut d'ingrédients pour que le lecteur veuille en lire toujours plus. Il y a une très bonne fluidité dans la manière d'écrire de façon générale. Rien qui ne traîne trop en longueur ou qui manque.
La seule chose qu'il me faut souligner c'est qu'un vocabulaire spécifique a la marine est utilisé, notamment les différentes parties d'un bateau. Ayant une connaissance limité de ce monde, j'ai du chercher de temps à autre la définition d'un mot. mais cela n'a en rien gêné ma lecture, au contraire !

Il faut vraiment savourer ce recueil car malheureusement Philippe Monot est décédé et ce livre sera le seul comptant les histoires de ce grand pirate ; le Capitaine Providence. Je peux dire avec certitude que c'est un des pirates de la littérature que je préfère !

Pour résumé, si vous voulez du rire, des abordages, du sang et de l'aventure, alors n'hésitez plus !
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"À l'abordage, Moinillon ! La Providence nous donne son plus beau sourire, une fois de plus !"

J'ai demandé ce livre dans le cadre de la masse critique "mauvais genres" de @babelio_ très sincèrement quand j'ai vu que c'était un recueil de nouvelles sur la piraterie avec une pincée de philosophie et une dose d'imaginaire... Je n'ai pas pu résister, je le voyais déjà en haut de l'affiche. Maiiiiis, malheureusement, il a fait un plat.

Je déteste abandonner un livre, vraiment mais il y a un moment où ça ne sert à rien de forcer. Je ne dis pas que je ne le lirai jamais, ce n'était peut-être tout simplement pas le moment.

J'aimais bien cette idée de croire en quelque chose qui nous sortira toujours des mauvais pas. le capitaine a un optimisme a toute épreuve même dans les pires situations et c'en est limite illarant. La première nouvelle est passée comme une lettre à la poste, je l'ai vraiment appréciée mais les autres... J'avais l'impression que d'une certaine façon c'était assez répétitif dans la structure et au final je n'avais même plus envie de lire. Je lisais sans lire, je devais revenir en arrière parce que je ne comprenais plus rien, bref c'était pénible.

En outre la plume ne m'a pas plu outre mesure, c'était assez lourd et je suis d'accord que ce sont des pirates mais... La grossièreté de certains passages ne m'a pas transcendée...

Les illustrations du recueil sont, quant à elle, vraiment belles, ce type de vieilles gravures me plaît énormément.

Je ne tiens pas à remettre en question la qualité du livre, je n' était peut-être tout simplement pas réceptive.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Il a toujours pas retouché à sa besogne manuscrite, c'est cause que je peux encore y griffonner des trucs. Mais je vous cache pas que j'attends fébrilement qu'il découvre ma prose.
Ce que j'apense, c'est que ça lui fera comme l'effet de constater qu'on lui a tatoué le cul pendant qu'il dormait.
Ah ben tiens. En voilà une idée qu'elle est titillante.
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Quand Trouvère termina la lecture de l'article à sa troupe, même les mouches s'étaient posées et observaient un silence respectueux...
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L'Histoire est immortelle. Peu importe la profondeur de sa tombe, elle resurgira toujours pour nous rappeler le prix de l'oubli.
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