On est un peu entre deux genres : thriller et SF, mâtinés d'espionnage.
Lu avec le recul, c'est marrant de voir les Russes traités comme des sous-fifres de l'ère post-soviétique et les ukrainiens comme des corrompus encore pire que les premiers... Comme quoi, selon que tu seras intéressant ou non...
Mais l'histoire elle même est axée sur autre chose, une boîte (box, do you understand ?) mystérieuse et sans doute... magique? (magic box?)
Etant donné la présence de gentils services étasuniens (ça, c'est une invariante du soft power, sleeping box?) qui veulent éviter le pire au monde civilisé (nous, empty box?), je penche pour une boîte scientifique (science box?) issue d'un programme secret chino... non, pas encore, soviétique alors (hell box?).
Graphiquement, j'ai trouvé que le début n'était pas au niveau des pages finales, comme si le dessinateur "trouvait" son sujet en cours de route (moving box?)...
Bon, je me lance dans la suite...
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Box arrive en Ukraine via l’Iran puis le Caucase, nous retrouvons sa trace à Kiev. Un informateur de la CIA, un ex de l'ex-KGB, infiltré dans une puissante famille de mafia locale fait état d'une curieuse transaction : Les ukrainiens vendent à un acheteur non identifié , et pour une somme invraisemblable, un mystérieux objet dont les mafieux semblent pressés de se débarrasser.
Bande annonce de la BD "Box" d'Alain Mounier, publiée chez Grand Angle.