Emprisonné à Marseille au printemps 1793, Philippe Egalité écrit " pour éclairer sa lanterne " et pour écarter de sa pensée le spectre de la guillotine.
Il évoque avec ingénuité sa splendeur révolue, les friponnes qu'il a connues, tout le charme de ce monde ancien qu'il a renié naguère.
Comment un homme de son rang, le plus fortuné d'Europe, premier prince du Sang et cousin du roi de France, est-il " devenu révolutionn... >Voir plus
Depuis quatre ans j'avais pris l'habitude de considérer les "aristocrates" comme des adversaires puisqu'on désignait sous ce nom les "royalistes absolus" qui siégeaient à la droite de l'Assemblée.