Avec le concours de Cathy et de Marie, Charles disparaît. Cependant, sans ses apparitions le monde part en vrac. Dieu existe-t-il ? En qui ou en quoi croire ?
Au point que les journaux ne se vendent plus. Les journalisted trop habitués à reposer sur Charles décident alors de créer un nouveau Dieu.
Lecture très appropriée en ce 25 décembre ( choix même pas conscient en plus xD).
On continue dans la critique relativement douce des religions et des pratiquants de ces dernières. C'est encore une fois bien fait même si moins drôle que le premier volume.
Je regretteraiségalement un petit moment où le découpage des vignettes et l'ellypse temporelle m'ont complètement perdue. Donc problème de lisibilité à ce moment là.
Commenter  J’apprécie         00
Indestructible, immortel, capable de voler, Charles, qui en avait assez d'être un Dieu sur terre pour les humains, s'est mis au vert avec Cathy, journaliste, et sa petite soeur Marie. Mais voilà qu'apparait Möa, qui se présente comme étant un autre Dieu, et une guerre sanglante ravage les rangs des pro-Charles et des pro-Möa….
C'est drôle, c'est cynique, c'est efficace : cela se passe de grands discours sur les dérives de la croyance religieuse. J'adore !
Commenter  J’apprécie         00
Charles a décidé de jeter l'éponge : il fait profil bas et cherche un travail. Mais des journalistes peu scrupuleux décident alors de faire le buzz en créant de toute pièces un nouveau dieu : Moä. Malheureusement, les êtres humains étant ce qu'ils sont, la situation dégénère assez vite en guerre de religion.
Un BD dans laquelle on retrouve le ton mordant et ironique du 1er tome. Les êtres humains et leurs travers sont passés au crible, et ça fait mal !
Commenter  J’apprécie         00
Un peu en deçà de la première histoire, Au nom de Möa reste un très bon récit se jouant habilement des peurs contemporaines avec une drôlerie acerbe, mais jamais méchante ou gratuite.
Lire la critique sur le site : BDGest
Un récit irrévérencieux et parfois limite bon goût (Fluide Glacial, CQFD) qui n'est ni extra pour son dessin, ni extra pour son scénario, mais qui au fond a joué son rôle de "poil à gratter" en plaçant au milieu de tous les délires déjantés, crus ou violents qui le composent des notions plus nobles comme des appels à la tolérance, à l'amitié, à l'amour, au vivre ensemble, etc, etc...
Lire la critique sur le site : Sceneario
Munoz revient avec une oeuvre plus autobiographique en se replongeant avec humour dans ses souvenirs d'enfance qui résonneront en chacun d'entre nous…
1991. Nous n'utilisons alors ni les euros ni les francs, mais les billes. Une valeur stable et réglementée.
Jonathan est un petit garçon, tout ce qu'il y a de plus petit garçon : il aime la bagarre, les filles, les gâteaux de sa maman et brûler des fourmis à la loupe, méthode maitrisée par une poignée d'experts.
Vous aussi vous regardiez au fond de votre verre Duralex pour voir quel âge vous aviez ?
Vous trichiez en ajoutant une feuille à un trèfle pour lui en donner quatre ?
Vous saviez qu'en pleurant très fort, mais alors vraiment très fort, il était possible de faire flancher un parent en proie à un moment de faiblesse ?
Le regard que l'auteur porte sur ces anecdotes est à la fois drôle, décalé et poétique. Chacun peut se retrouver dans le petit journal de ce gros fragile de Jonathan !
Scénario et dessin : Jonathan Munoz
Couleur : Anne-Claire Thibaut-Jouvray
En librairie depuis le 6 septembre 2023
+ Lire la suite