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EAN : 9782226399007
320 pages
Albin Michel (02/05/2018)
3.39/5   37 notes
Résumé :
1904, Virginie-Occidentale. Des dizaines de milliers d’hectares de forêt sont réquisitionnés pour le compte d’une compagnie industrielle sans foi ni loi. Pour des raisons qu’il veut garder secrètes, Cur Greathouse a fui la ferme familiale et rejoint les rangs des « Loups de la forêt », ces bûcherons venus des quatre coins du monde dans l’espoir d’une vie meilleure. Mais face à la dureté du quotidien, ils s’organisent en un syndicat clandestin, et tandis qu’une ... >Voir plus
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Le vingtième siècle s'ouvre sur la Virginie Occidentale et avec lui la soif de conquête sur des terres dotées d'un potentiel pécuniaire certain. Des forêts gigantesques les recouvrent et des compagnies industrielles s'y installent pour exploiter le bois. Chassé par sa famille, Cur se met en quête d'un travail. Il va rejoindre la cohorte des « Loups de la forêt », bûcherons intrépides attirés par la promesse du gain et d'une vie meilleure. Mais Cur découvre très vite que les conditions de travail sont impitoyables, le salaire dérisoire au vu des risques encourus. Et il rejoint un syndicat clandestin qui fomente une grève. Cur suivra-t-il ses compagnons jusqu'au bout de leur détermination ?

« le miel du lion » est le premier roman de l'américain Matthew Neill Null. Ce long roman, salué par les critiques, conjugue plusieurs dimensions. La première est historique et dénonce le capitalisme débridé d'une jeune Amérique qui, tel un rouleau compresseur, anéantit la force de travail et broie l'humanité et les espoirs des employés. Face aux tout-puissants patrons, un syndicalisme bégayant se met en place. Dès lors, des réflexions éthiques se font jour autour des droits des travailleurs et de l'humanité de leur condition de travail.
L'auteur dénonce également, à l'instar de Ron Rash qui salue en ce livre un premier roman exceptionnel, la destruction de l'environnement par l'homme. A ce titre, on trouve vers la fin de bouleversantes descriptions des montagnes dont les forêts ont été arasées par la main laborieuse de l'homme.
En filigrane, c'est la dimension humaine qui ourle l'ouvrage. L'auteur dépeint une galerie de personnages forts, non tant parce qu'ils sont des rocs inamovibles, mais bien plutôt que derrière une solidité de façade vient sourdre une vulnérabilité qui les rend d'autant plus humains et attachants.
Se côtoient un pasteur désabusé qui se sent délaissé par Dieu et en vient à douter de sa mission, un jeune homme banni par sa famille, qui recherche parmi ses collègues la figure du père absent et qui peine à inventer et suivre ses propres choix, préférant se calquer dans ceux des autres, un colporteur syrien idéaliste, ... L'auteur décrit l'humanité dans ses différentes facettes depuis ses rêves jusqu'à ses desseins et travers les plus noirs.
Au long de l'intrigue, les descriptions sont poignantes et rendent les paysages saisissants dans leur beauté et leur dureté : « Jeté là par une main frivole, un éboulis de blocs de grès luisait d'un blanc de phosphore. le vent mugissait et les oiseaux faisaient du sur-place tels des cerfs-volants retenus par un fil. Les crêtes se fracassaient sur la ligne d'horizon, confins de terre et de ciel arrachés du sol par la hachette de Dieu lui-même, qui avait ouvert le paysage à la présence futile de l'homme. » (p. 129)
Magnifiée par ce style puissant, l'intrigue prend une densité et un souffle lyrique qui nous entraîne dans le début d'un siècle et les rêves d'hommes en quête d'une vie meilleure.
Malgré tout, le roman reste long au risque de perdre le lecteur et d'embourber le dynamisme insufflé au départ. Pour autant, un souffle humain le traverse de bout en bout et l'on mesure, au fil des pages, combien ces vastes forêts de Virginie Occidentale deviennent le tombeau d'utopies révolutionnaires.
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Matthew Neill Null est un auteur américain de Virginie Occidentale qui a écrit des nouvelles. "Le miel du lion" (Honey from the lion) est son premier roman, rédigé en 2015 et traduit en 2018 en français.
En 1904, en Virginie Occidentale, la forêt est réquisitionnée par trois anciens soldats qui pendant un de leurs combats, avaient vu en cette terre, une source inépuisable de bois. Ils fondent une compagnie qui va exploiter ce lieu et des travailleurs pendant des décennies.
L'un d'eux, Cur Greathouse, qui a fui sa maison pour des raisons obscures, les rejoint et devient l'un des leurs. Certains employés sont en train de mettre sur pied une grève pour dénoncer les conditions de travail inhumaines. Entre un pasteur désabusé, un colporteur idéaliste, et une "presque" veuve activiste engagée, est-ce que Cur va rejoindre et surtout suivre ces nouveaux collègues de travail jusqu'au bout ?
Ce livre nous dépeint une ville, Héléna, qui va entièrement dépendre de l'activité de la compagnie. Cette histoire aborde plusieurs thèmes :
- la beauté sauvage de la forêt et sa destruction par la faute d'une seule société,
- le début des mouvements syndicaux,
- la violence des camps de travailleurs.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire (surtout avec le flash back sur l'histoire de Cur) et à mémoriser les personnages. Mais à la moitié du livre, j'ai été happée par l'histoire et j'ai vraiment eu l'envie de connaître la fin.
Ce ne fut pas un coup de coeur pour moi mais une bonne lecture !
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Dès la première ligne nous sentons que nous allons patiemment avaler un roman fort : « le conflit engendre le commerce. le leur fut la guerre de sécession ». Une scierie gigantesque en Virginie Occidentale, Etats-Unis, 1904, sur un lieu découvert en 1861, juste avant la guerre de sécession. 4000 salariés et des conditions de travail effroyables, dangereuses, des patrons sans foi ni loi, tout est réuni pour que les ouvriers organisent une grève dure et ruineuse pour la compagnie. Pour se faire, un syndicat clandestin est monté.

Parmi les meneurs syndicalistes, Vane le père d'Amos, lui-même ouvrier ayant incendié sa maison et qui aimerait parachever son oeuvre en tuant Randolph, un juge. Parmi les proches d'Amos on retrouve Cur, celui que l'on va suivre tout au long de ce roman fresque. Cur est empli de belles idées avec ce côté idéaliste, parlant à tout le monde, même aux ennemis de classe.

On ne va pas tarder à croiser d'autres figures pittoresques comme ce pasteur azimuté, Seldomridge, cherchant désespérément la rédemption, ou encore un colporteur syrien légèrement secoué, une ancienne pute pas bien finie, un flic décalé, et bien sûr des leaders syndicaux tentant de faire naître une révolte.

En toile de fond la nature, la forêt dévastée pour faire tourner la scierie toujours plus monstrueuse, des hectares et des hectares sacrifiés, à grands renforts de destruction d'arbres séculaires, certains salariés commencent à voir d'un sale oeil ce massacre systématique sans que rien ne soit replanté pour donner naissance plus tard à d'autres arbres. Sans compter les conditions de travail de plus en plus hasardeuses, les morts, les blessés par manque de sécurité, pour le rendement d'une entreprise capitaliste. « le miel du lion » c'est tout ça.

Il a été comparé à « La jungle » d'Upton SINCLAIR, il est définitivement moins sombre, moins désenchanté (quoique certains passages le sont férocement), même si lui aussi parle du quotidien épouvantable d'ouvriers en 1904 aux U.S.A. le mélange politique, social, environnemental est parfaitement dosé, l'auteur n'en fait pas trop, il est excellemment documenté, rendant son récit très crédible nous réservant de superbes situations. Les croyances de la société d'alors sont reprises, le poids de la religion montré avec parcimonie.

L'auteur fait revivre ces syndicats balbutiants du début du siècle dernier aux States, avec pourtant déjà leurs « taupes » payées par la compagnie, la grève impossible à cause de la météo désastreuse, les coups de grisou laissant sur le carreau des centaines de mineurs, les tempêtes, de neige, de vent, de pluie, charmante contrée que cette Helena, la petite ville dans laquelle il est possible de s'encanailler, on y trouve tous les vices, les putes, l'alcool, le jeu, la baston se déclenche en moins de deux. Bref on oublie notre misérable vie à chercher à faire croûter la famille, en attendant l'ultime fatigue avec une pensée pour leurs camarades mineurs enterrés vivants : « Que sont des mines de charbons, sinon des sépultures vivantes ? ».

Ce roman montre un certain échec de la lutte des classes parce qu'on n'a pas osé, parce qu'on n'a pas su. L'ambiance générale peut être apparentée à la superbe série « Deadwood » (les dialogues peuvent aussi y être crus), avec sa ville sortie de rien, de nulle part, sans règles, sans discipline, pour débaucher le travailleur éreinté et lui aspirer son pognon difficilement gagné. Ouais, ce sont les personnages de STEINBECK et DOS PASSOS échoués à Deadwood qui vivent les derniers assauts de « l'ancien monde », le nouveau et XXe siècle débarque et va rapidement occire le XIXe.

Roman varié, très prenant, l'écriture y est superbe, les 420 pages ne se répètent pas, il est ambitieux et maîtrisé, alors que ce n'est que le premier roman de l'auteur, à suivre de très près donc. Sorti en 2018 dans l'excellente collection Terres d'Amérique de chez Albin Michel, ce « Miel du lion » est en tous points délectable.
https://deslivresrances.blogspot.fr/
Lien : https://deslivresrances.blog..
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Tout démarre au cours de la guerre de Sécession, quand trois jeunes hommes, dénommés Les Absentéistes, découvrent la splendeur des forêts des Appalaches, mais juste pour comprendre le potentiel en dollars et lancer leur entreprise qui, dans les décennies suivantes, va systématiquement déboiser le coin.

Pour cela, il faut des bûcherons, costauds et mal payés, c'est encore mieux. En 1904, cela ne manque pas, mais la révolte gronde contre les conditions de travail. Un syndicat s'organise, de la dynamite est récupérée, des réunions se tiennent, mais la compagnie a des indicateurs et un traître parmi les ouvriers.
L'un de ces "Loups de la forêt" ne nomme Cur, il a fui la ferme parentale pour des raisons que l'on découvrira, ce n'est pas un meneur, plutôt un mené, mais c'est un héros fort humain.

Matthew Neill Null, dont c'est le premier roman (mâtin ces américains sont forts), réussit à sidérer son lecteur -et sa lectrice- avec une histoire fort rude, usant d'une écriture qui parfois m'a fait relire un chouette passage. Mille détails sonnent vrais, le travail dangereux de ces hommes, leur vie dans le camp (mobile) dans la forêt, leur week end à Helena, 'la ville' où ils vont manger -et boire- leur paie. En plus de quelques bûcherons, l'on croise une veuve slovène prenant leur parti, un pasteur méthodiste, un colporteur syrien, et l'on n'oubliera pas Sarah...

Sans que l'on s'y perde, l'on peut passer du présent au futur, avec des échappées sur le destin des personnages, et de la malheureuse forêt, dont seuls quelques hectares échapperont aux prédateurs, et qui sera reboisée plus tard, une fois que la faune aura disparu, et la terre partie dans les cours d'eaux.

Un roman très riche, prenant et âpre. Une épopée des humbles pleine de souffle.

Les petits curieux trouveront l'explication du titre dans le livre des Juges chapitre 14, avec Samson
Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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Début du XXème siècle, dans les forêts de Virginie Occidentale, les Loups de la forêt s'activent pour abattre un maximum d'arbres. Ces bûcherons viennent de tous les coins du monde pour gagner leur vie. Il s'avère que les conditions de travail et la vie sur place sont très difficiles. Un syndicat se crée alors...

Le miel du lion, c'est une plongée dans la vie de ces hommes et de ces femmes de tous horizons. Dans une époque à la fois en construction, et en dévastation de la nature à grande échelle. Une époque d'après guerre de Sécession qui était encore difficile.

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et j'ai ouvert et fermé plusieurs fois le livre avant d'atteindre la page 50. Je me suis d'emblée perdue entre les 2 périodes abordées : les premières pages sont ainsi consacrées à la guerre de Sécession pour aborder la vie des futurs hommes politiques de la ville. Ensuite, je me suis à nouveau perdue avec le nombre de personnages. Il m'a fallut du temps pour avancer. Puis j'ai commencer à en différencier certains : Cur, Neversummer, Grayab, Seldomridge, McBride, Vance et son fils Amos, Caspani, Zala Kovac ou encore Sarah...Il y en a encore tant et tant... 

Je reconnais que c'est un roman riche en histoire, en informations et en détails.C'est vraiment bien écrit mais bien trop fourni à mon goût. C'est en milieu de lecture que j'ai commencé à éprouver un certain attachement pour certains personnages. Notamment celui de Cur qui est celui qui est le plus mis en avant. C'est un de ceux dont l'auteur apporte le plus de détails sur sa vie d'avant la Forêt.Je le vois comme le fil rouge de l'histoire. Les hommes et les femmes ont chacun un passé qui les a amenés dans cette ville. Les hommes sont taiseux et durs comme du roc. Aucun d'entre eux n'évoque ses faiblesses devant les autres.Seul compte le travail et quelques pièces de salaire.C'est ce milieu dur et hostile qui amène à une révolte sourde. Une poignée d'hommes crée un syndicat et se mettent alors en danger.

Le syndicat et la forêt sert de fond à ce roman pour dépeindre une galerie de portraits différents. Ce roman aborde les thème de l'immigration (des polonais et des italiens ont quitté leur pays pour du travail et pour entrevoir un meilleur avenir pour leur famille.); du racisme (les noirs et les immigrés sont encore moins bien payés et font les corvées les plus basses), des conditions de travail pour une vie de misère, et la déforestation (la Compagnie continue de couper des arbres alors qu'il n'y a plus de demande).

Le résumé m'a donné envie de lire ce roman, et je ne regrette pas d'avoir insisté dans ma lecture car j'ai découvert une période sombre de l'histoire et les premiers syndicats. Cela m'a rappelé mon grand-père, immigré italien, travaillant à la mine et syndicaliste et dont ma mère me racontait que des collègues à lui étaient morts parce qu'ils luttaient dans le syndicat de la mine dans les années 1940...

Des passages plus calmes, plus intimistes dans la vie de certains personnages apportent une accalmie dans un mouvement trop dense. Malgré mes difficultés, c'est un roman que j'ai aimé lire. Je pense que je n'ai pas su apprécié le roman dans sa globalité tellement j'essayais de mémoriser qui était qui. Il mériterait une deuxième lecture.

Je remercie Léa du Picabo River Book Club et les Editions Albin Michel pour cette lecture. Ce roman fait partie de la collection Terres d'Amérique.
Lien : http://www.hellobeautymag.fr..
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
" Si ça tenait qu'à moi, j'interdirais les flingues à Helena. Les pistolets, je veux dire. Les pistolets, c'est des emmerdes assurées. Chaque fois qu'il y a des histoires, c'est qu'il y en a un."
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Jeté là par une main frivole, un éboulis de blocs de grès luisait d’un blanc de phosphore. Le vent mugissait et les oiseaux faisaient du sur-place tels des cerfs-volants retenus par un fil. Les crêtes se fracassaient sur la ligne d’horizon, confins de terre et de ciel arrachés du sol par la hachette de Dieu lui-même, qui avait ouvert le paysage à la présence futile de l’homme. (p. 129.)
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Cur lança la scie par-dessus son épaule, faisant vibrer la lame, et ils se mirent en route, non sans avoir au préalable ramassé des os sur le tas qui se trouvait derrière le bâtiment, afin de se badigeonner de moelle le dessous des yeux pour éviter que l'éclat de la neige ne les aveugle. Ils serraient les dents pour affronter le vent. L'aube était une traînée d'argent qui traversait le ciel comme un escargot.
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Dans les ultimes lambeaux de soleil de la journée, Old Neil montrait du doigt une balafre de granite sur le versant verdoyant, une fissure aux bords déchiquetés qui abritait des ours. (p. 129.)
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Certains arbres font 3 m de diamètre. Sur leur souche, on pourrait faire danser une dizaine de belles dames raffinées avec force révérences et courbettes. Un jour, un gars a oublié de crier : « attention !» Et j’en ai vu un rouler sur quatre ritals . On aurait même pas rempli un seau avec ce qui restait d’eux. Il les ont enterrés tous les quatre dans la même boîte et ce maudit arbre a été transformé en 1000 journaux. Des messieurs comme il faut les lisent en buvant leur café du matin, puis se torchent le trou du cul avec et les jettent dans leur cabinets.
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