Il suffit de se tourner « vers l'Océan de notre propre essence et développer un accord pratique avec notre propre nature » dit Yangshan. Alors « l'action et le repos de ceux qui ont atteint le Chan est comme le flux des nuages dans l'espace, sans conscience de soi, comme la pleine lune qui illumine tout. » Tout est alors le Bouddha, tout est alors le Chan.