Nous ne pouvons vivre dans un, monde compartimenté. L'autre devient un problème précisément parce qu'il fait irruption dans m : vie et est irréductible à ma manière de voir. Si un extrême est d ; penser que nous sommes dans le vrai et que les autres sont dan l'erreur, un autre extrême est de considérer que nous sommes tous adaptés à une sorte de village global.
Hommage à Raimon Pannikar par sa fondation catalane