On sent que l'auteur a lu les classiques du hardboiled. Ça se passe dans les années 80. C'est pas mauvais, c'est pas intéressant mais ça passerait le temps si on en avait.
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Le pouvoir absolu corrompt absolument. Winston apparaissait indiscutablement sincère au départ mais aujourd’hui je ne suis pas très sûr. Il a été question de drogue, à un moment donné, mais guère plus que des ragots œcuméniques. Peu d’hommes sont à l’abri de la tentation contenue dans l’autorité absolue. Ceux qui y résistent le mieux sont peut-être les bénéficiaires d’une aide divine.
C’est une vertu qui vaut mieux que l’adresse, parfois.
Ce que j’aime surtout, dans le whisky irlandais, c’est que plus on en boit, plus ça s’avale facilement.
Le but de ce monde n’est pas le bonheur. C’est le salut.
C'est comme l'air, on se lasse jamais de le respirer.