quel bonne lecture j'ai bien aimez ce genre d'histoire
une bonne partie du livre est bien vrais tout femme
qui divorce et qui on des enfant a bas age mieux bien
vivre et pour presté plus leur attention sur les petit.
mes la femme de cette histoire pensais jamais
tomber l'amoureuse et belle fais la rentre
de cette homme qui est tres passioné.
en gros j'airais aime etre a la place de helene ;O)
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Ah! Ce temps des fêtes qui arrive toujours trop vite et qui nous étourdit sur son passage! J’ai souvent l’impression qu’il déboule à toute vitesse et que je ne serai jamais prête pour le jour «fatidique».Il y a les cadeaux à trouver dans des magasins bondés de gens pressés; le neveu qui désire un jouet précis en rouge et dont il ne reste que le bleu; les déplacements sous la neige ou la pluie ou un horrible mélange des deux. Sans compter les files interminables aux caisses et dans les stationnements. Une course de dernière minute peut prendre des heures, nous croulons sous un stress hautement toxique et tout cela pourquoi? Pour pouvoir enfin dire ces mots porteurs de magie et de félicité: enfin les vacances!!!
De plus en plus de gens fuient cette période épuisante, comparant parfois les réceptions familiales à des travaux forcés. Ils trouvent les réunions en famille plus pénibles qu’heureuses, alors ils prennent l’avion pour le Sud. Direction le Mexique où les attend un Noël au son des mariachis. Certains préfèrent le ski et les pentes enneigées alors que d’autres choisissent les grandes villes telles New York ou Paris. L’idée est simple: combiner vacances et temps des fêtes, et laisser à d’autres le soin de tout préparer.
Cette année, j’allais fêter Noël pour la première fois sans mes enfants.
En plus, c’était une jeune femme aimée de tous. Elle avait le don de nous faire sentir bien à ses côtés. Elle avait épousé notre grand patron, Adrien Weber, et nous étions heureux de voir ce bonheur s’épanouir devant nos yeux. C’était une sorte de rêve, une forme d’espoir aussi: celui que l’amour existe et qu’on peut y croire.
Mon mariage avec Martin, qui était un gars de la ville, m’avait éloignée de mes amis d’enfance restés en Gaspésie, et puis, avec l’arrivée de mes deux enfants, je n’avais pas eu le temps de me faire de nouvelles relations.
Maintenant que j’étais séparée, je ne m’imaginais pas reprendre contact avec des personnes que j’avais abandonnées en cours de route. Pourraient-elles me pardonner? Je m’en voulais d’avoir laissé la vie m’éloigner des gens qui étaient si précieux à mes yeux.
Une séparation après 12 ans de vie commune, c’est une épreuve qui laisse des traces. Je les voyais à l’œil nu: des ridules apparues récemment autour des yeux avaient été creusées par les nuits sans sommeil et les larmes qui venaient avec. Honnêtement, j’étais contente que ce chapitre de ma vie soit bel et bien terminé.
Je ne saurais sans doute jamais d’où je tenais ce petit côté mutin qui, malgré tout, me donnait cet air jeune et lumineux qui dépannait sérieusement les jours comme celui-là, où le maquillage ne suffit plus.