Bon… J'ai fini cette BD il y a presque une semaine et je ne sais pas trop quoi en dire. Pire, je ne sais plus trop de quoi ça parle précisément. Enfin, j'ai encore des souvenirs, mais c'est assez vague. Pas bon signe vous allez me dire.
Et pourtant, j'ai bien aimé ma lecture. J'ai apprécié de replonger dans cet univers post-apocalyptique que j'ai découvert il y a déjà un moment avec le premier tome de la série. Pour mémoire, nous sommes en France, je ne sais pas précisément quand, dans le futur en tout cas. La population a été décimée par une maladie apportée par les oiseaux. Nous suivons Jan, un ancien militaire, survivant, qui trace sa route à la recherche d'un refuge sûr dans un premier temps, puis de réponses par la suite.
De mes souvenirs relativement nébuleux, je me souviens quand même d'une chose. A travers ce second tome, nous voyons Jan continuer sa route, faire des rencontres et découvrir des choses. Des hypothèses sont apportées quant à l'origine de cette maladie étrange, apparemment une mutation de la grippe aviaire qui se transmet désormais aux hommes.
L'intrigue est toujours aussi intéressante. le fait qu'on ait quelques réponses aux questions est une bonne chose, et les auteurs sont parvenus à ce que, malgré ces quelques réponses, on soit toujours curieux de savoir ce qu'il en est vraiment.
Voilà, je vous avais prévenus, je n'ai pas grand-chose à en dire. C'est une série à suivre en tous cas !
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Un second tome très intéressant car l'histoire se densifie. Ce n'est plus une simple grippe aviaire qui a exterminée l'espèce humaine... je n'en dit évidemment pas plus...
L'originalité de l'histoire tient aussi à son personnage principal qui n'a finalement aucune empathie (des restes de son ancienne vie de militaire ?) mais Pécau ne développe pas les autres personnages ce qui est dommage.
Le principe des flashbacks étaient sympas dans le premier tome mais je n'aime pas trop quand on abuse sur ce style : en gros, c'est comme si on commençait la lecture à la page 30 et quand on arrive à la fin, on lit la page 1... quel intérêt scénaristique ? Aucun en tout cas ici.
Un récit qui se développe, un rythme plus soutenu... l'histoire devient plus intéressante, on peut espérer une bonne suite.
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Dans un monde post-apocalyptique ou l'humanité a pratiquement été éradiquée par le virus de la grippe H5N4, un homme erre seul avec une machine de guerre transformée en animal de compagnie. Il est à la recherche de survivants et d'explications sur l'origine du virus. le premier tome était surtout concentré sur la mise en place de la situation. Dans celui-ci, l'enquête avance, de nouveaux personnages apparaissent dont certains ont un début d'explication. Pas mal.
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Soleil froid est de ces albums qui incrémentent un genre en cultivant ses thématiques principales tout y apportant une petite pointe d’originalité.
Lire la critique sur le site : BDGest
Bonne suite, LN monte d’un cran dans la survie, qui part dans l’affrontement là où le tome 1 avait cette idée de contournement des obstacles.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Aucun virus au monde ne peut rendre folle toute une espèce, ça n'existe pas.
Les plantes s’étaient infiltrées dans le béton en le faisant éclater...
Aidées par l’eau...
Car l’eau est le grand ennemi de la ville...
L’eau se glisse partout, entraînant la rouille et la décomposition.
Sans eau pas de vie...
Et la vie a horreur de la ville.
"Jour J, qui a tué le président ?", Fred Duval, Jean-Pierre Pécaud, Colin Wilson, éditions Delcourt
Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie