L’art décoratif est donc d’une difficulté prodigieuse. En quelques mots, nous avons indiqué ses chefs-d’œuvre; tandis qu’un livre ne suffirait pas à dénombrer les merveilles de la peinture ou de la sculpture. Qu'on veuille bien se rappeler la loi architectonique qui condamne le monument à réaliser exclusivement une âme collective; on comprendra que l’art industriel ne comporte pas l’individualisme et qu’il n’exprima jamais autre chose que les mœurs d’un temps, tandis que l’architecture incarnait sa foi.
La beauté ne paraît aux arts mineurs que si elle surabonde aux arts majeurs : et l'art décoratif n'a jamais été que le rejeton de l'architecture, littéralement sa dilution et sa monnaie.
Trois préludes du Fils des Étoiles, wagnérie kaldéenne du Sâr Péladan.
Nicolas Horvath au piano.