Les Gestionnaires de l'Apocalypse est une saga qui trouve sa source au Québec, mais qui se déroule sur la planète entière. Elle se compose de 4 fois deux tomes.
Ce tome est la deuxième partie de l'Argent du Monde, c'est à dire le Quatrième tome au total.
Cette saga décrit les affrontements entre l'Institut (les gentils) et le Consortium (les méchants).
Ce tome est consacré aux analyses financières et politiques d'une part et aux disparitions et meurtres qui y sont liés.
Le roman, comme les autres, est passionnant avec le travail en équipe, les personnages, leurs bons et leurs mauvais côtés.
C'est long, près de 600 pages pour ce tome, mais on ne s'ennuie pas du tout.
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Sur le strict plan de la collecte de renseignements, l'opération était un succès. L'équipe de la banque avait effectué un travail impeccable. Du point de vue politique, par contre, c'était un fiasco. Le lendemain, ce qui intéresserait les médias japonais, ce ne seraient pas les réseaux de trafic d'organes et d'esclaves sexuelles démasqués par les forces policières, mais l'ampleur des dégâts causés par les interventions ainsi que l'identité des responsables de ces bavures. S'il fallait que le nom de l'Institut y soit encore mêlé...
Que les choses se déroulent bien. Que je dois profiter de l'occasion qui m'est donnée de ne rien pouvoir faire pour transformer cette contrainte en instrument de pouvoir.