J'ai emprunté ce livre car il était mis en coup de coeur de ma médiathèque.
Couverture rouge, rouge comme un incendie, mais aussi rouge comme l'amour, comme les lèvres des femmes.
C'est de cela dont nous parle le poète guadeloupéen
Ernest Pépin, tout en évoquant l'exil, le bateau L'Aurélie avec à son bord des habitants de l'Inde venus travailler dans les plantations guadeloupéennes, fin 1854.
J'ai malheureusement eu du mal à entrer dans ses poèmes, qui étaient pour la plupart trop abstraits pour moi.
Je me suis donc laissée simplement bercer par les vagues sur le bateau Pépin, savourant ce bel incendie.