J'ai fini
Petiote de
Benoît Philippon il y a quelques jours, et c'est un GIGANTESQUE coup de ❤.
💣💣
La
Petiote ... elle dépote, elle bouscule !
L'ordre établi, et l'ordre des choses.
En Technicolor.
T'as Gus. le père Looser avec un L.
- Sans compter sur son amour -
Émilie, la fille. Sa
Petiote. Un Elle. Deux ailes.
Charlotte, la mère. Ses bras, non ballants.
La JAF....
Cerise - si tu suis le road movie/R&G/Mamie, tu reconnais, oui -
l'Hôtel, (Love & loose 🎶🎺)
George... - on l'aime et il est un pilier, en tant que mur, gardien; protecteur et attentif -
et d'autres,
Bondu. Sergueï. Hubert. Dany. Gwen. Fatou.
Mia. Qui orchestre sa partition comme le M, monte tel un missile et redescend mais reste stable et équilibré. En mesure. Parfois en dé (...)
FRONTIÈRE....
Un Philippon ! C'est souvent un poil exagéré, cinématographique à mort, et oui, c'est la patte, un ton, une gouaille unique, ce qui fait prendre la poudre.
Tu souris, tu pleures, tu ris, t'es embarqué .
Dans la merde, jusqu'au cou mais un pied dans la poésie. Car ce qui compte, c'est toujours derrière. Même quand tu te dépêtres, tu le vois, tu le sens, il y a une luciole au bout,
et ça, c'est une facette de sa force; les âmes
cabossées, il les rend fines.
Sincèrement, comment rendre un geste aussi con infiniment tendre?
Les travers maladroits, c'est sa touche, ils rendent le monde plus humain.
C'est de la douleur, du bon, du bien, de l'amour, toujours, et une tonne de vérité brute. Une illustration que dans la vie, ce qui compte, ce n'est pas forcément le tableau qu'on voit.
C'est GÉANT, et ça doit être lu. ❤❤❤