Cette courte fantaisie, sous-titrée par l'auteur lui-même « tragédie avec coup de tonnerre, coup de foudre, coup de chapeau et coup du sort, à l'usage des garçons et des filles qui savent lire en dépit du bon sens » est une belle déclaration d'amour. La fin est un peu triste, car « deux maisons pour deux escargots/ c'est toujours une maison de trop ».
J'ai beaucoup apprécié les images de
Philippe Davaine, en accord parfait avec un texte délicat et qui mise sur les répétitions pour obtenir un bel effet de litanie.