Désormais, tu marches
sans appui.
Des arbres écartés du chemin
tu ne feras ni feu ni canne.
Dans l'attrait de l'étoile
ne brille aucun berger.
Du pain mâché,
tu ne gardes plus provision
de parole.
Seule compte la coupe
d'eau vive que tu offres
à la soif de tes jours.