Le Cheval en France au Moyen Age

Un livre numérique qui en dit plus long que l'article que j'ai lu sur le cheval de guerre médiéval dans la revue de la Guerre n°3, comme le fait qu'une épidémie sous Charlemagne fait que l'on commence à s'intéresser à la santé du Cheval ( même si dans de la Guerre on explique aussi que c'est le début de la maréchalerie, remplaçant les hipposandale, et que cette revue explique aussi que le christianisme a i des pratiques francs violentes envers les chevaux)! C'est que le cinéma, et l'absence d'histoire dans les cursus équins, trop souvent de CAP à bac pro ou monitorat niveau bac.... et des historiens sur le sujet qui ne montent pas ou bien peu à cheval... les mieux au courant de l'histoire de la cavalierie (même s'ils ne sont pas toujours cavalier) ce sont certainement les historiens militaires... pourtant peutit à petit on espère que les choses changent enfin (malgré des conditions bien plus déplorables que chez les agriculteurs qui eux ont suffisament de terrain pour leur chhevaux, rarement les cavaliers, qui n'ont même pas toujours, il faut le savir un salaire, même propriétaire d'une ou deux écuries, j'en ai connu un qui vivait sur le salaire de sa femme, secrétaire de mairie, une autre qui vivait du RSA... contrairement à ce qu'on dit... il faut que les structures soient payés par l'armée ou les collectivités locales pour que le salaire de quelques employés soient là.... excepté pour de rares écuries d'ultrariche ou hérité des parents... c''est que j'en ai vu des écuries et des jeunes brisés dans ce milieu, qui non parents, soyez en conscient ne fournit de travail que si on connait la bonne personne trop souvent... attention aux écueils malgré tout ce qui peut vous être dit, surtout si l'enfant n'a pas son 7 e galop... et même avec un monitorat, tout le monde ne s'en sort pas... éviter les désillusions... quoiqu'on vous disent... c'est moins douteux de devenir éthologue par une université de biologie, même si à l'arrivée, il y en a bien peu qui y arrive, attention.. et là on sort un peu le jeune de son rêve dans se lire puisque dès le début, on explique que oui, il ne faut pas rêver le cheval au moyen âge, c'est déjà pour les élites pas pour les petits... et pourtant, on nous y a fait croire à cette démocratisation, qui non n'est pas tout à fait là... si c'est un peu léger sur l'histoire du soin et sur la maréchalerie, pour 54 pages, on nous raconte beaucoup de chose, notamment sa forte place dans l'économie du moyen-âge... chose dont on a souvent peu conscience... oui, écriture simple facile (mise à par quelques citations en vieux français!).
Un livre pour sortir des clichés, même si on y connait pas grand chose!