Avec un dessin au trait souvent trop gras, trop épais (dommage dans une bande dessinée où l'art est au cœur des choses et où est louée la beauté des réalisations du héros sculpteur), Arnaud Floc'h met en images un scénario de Didier Quella-Guyot malheureusement sans trop de surprises.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Une histoire de vie et de mort, d’art et de pudibonderie dans une société encore sous le choc d’un affrontement dévastateur.
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Les amants de la terre sans nom