Orbital, tome 8 : Contacts

Pas déçu par ce 8ème opus de la série : toujours des décors surprenant, une intrigue solide, des inventions originales, des personnages emblématiques, tous les ingrédients qui en font, selon moi, une des meilleure série de Space Opera en bande dessinée.

Caleb et Mezoke partent sur la planète mère d'Angus, le nevronome qui leur sert de vaisseau. Tous ses congénères se sont postés sur de grandes villes. 3 d'entres eux ont implosés faisant des milliers de victimes. Orbital leur demande de faire des recherches pour découvrir la raison de cette attitude totalement incohérente avec le pacifisme des Nevronomes.
Malgré un dessin parfois brouillon, cela sert une enquête plus classique que leurs précédentes aventures de réprouvés.
Ici mise en avant du personnage de Dernid le nouveau chauffeur d'Angus qui part dans le grand bain originel pour découvrir pourquoi les névronomes deviennent des machines à tuer.
La relation entre Caleb et Mezoke progresse doucement, après leurs aventures "amoureuses" sur le tome précédent, moins de place aux sentiments et plus à l'action pure... Mais comme d'habitude cette série qui nous avait surpris avec ses révélations sur la famille de Caleb, s'achève avec un triste cliffhanger .
Très bonne lecture de science fiction.

Toujours pas trop d'humains dans le paysage.
Un tome bien rempli au niveau action, et un nouveau monde à décourvrir.
Et les deux héros ne sont plus des parias.
Alors évidemment il y a un couac à la fin, mais je ne doute pas que la suite de la série ne permette de trouver une solution.
Mais pour le moment elle s'arrête là, et ce fut un petit délice à lire.

C'est peut être moi qui suis mal renseigné, mais je suis étonné du manque de buzz autour de cette série qui vaut vraiment le coup. le format des histoires en diptyque permet de mieux développer les histoires (missions).
Au début j'ai pensais à "Sillage"
Plus les albums sortent, plus je suis fan de cette BD
C'est bien construit, le scénario et le dessin sont top !
Longue vie à Orbital