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Resident Evil : Marhawa desire tome 1 sur 5
EAN : 9782351428085
208 pages
Kurokawa (14/06/2012)
3.7/5   33 notes
Résumé :
Située non loin de Singapour et réputée pour son enseignement d’excellence, l’école Marhawa accueille l'élite des étudiants venus de toute l'Asie . Mais à la nuit tombée, le mal rôde dans les salles de classe. Doug Wright, professeur éminent en biotechnologies, est appelé en urgence car d'étranges symptômes commencent à se manifester parmi les élèves du prestigieux établissement. Soupçonnant un danger biologique de grande ampleur, il veut contacter Chris Redfield, a... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Allons à l’essentiel pour ce manga franchisé censé se dérouler entre "Resident Evil 5" et "Resident Evil 6" : dessins superbes de Naoki Serizawa, édition très soignée de Kurokuwa, scénario nanaresque de Capcom qui mélange school life et survival horror zombifique avec un vaste complexe urbain isolé plein de couloirs pas éclairés et de mystérieuses jeunes femmes encapuchonnées… Pourquoi ne suis-je aucunement surpris ? ^^


"Resident Evil"est une franchise vidéoludique dédié au survival horror, genre qu’elle a popularisé quasiment à elle toute seule à partir du premier opus sorti en 1996, sur le modèle d’"Alone in the Dark" du frenchie Frédérick Raynal sorti lui en 1992. Sauf que là où les Français avaient puisé leurs inspirations horrifiques dans les livres d’H.P. Lovecraft, les Japonais ont eux puisé dans les films de George Romero… Après les zombies vaudous, puis les zombies virologiques, voici les zombies bioterroristes issus du business d’Umbrella Corporation et de l’incident de Raccoon City (le virus T transformant les gens en morts-vivants et ses variantes transformant les survivants en monstres quasi invincibles se régénérant quasi indéfiniment. Pourquoi a-t-on demandé au talentueux Masamune Shirow de fermer boutique à cause de ces récits sur le terrorisme alors qu’on foutu une paix royale à Capcom qui a traité le sujet n’importe comment ? (remember l’attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo par la secte Aum Shinrikyō le 20 mars 1995) Parce que le terrorisme sans terroristes de Capcom rentre parfaitement dans les éléments de langage néo-cons alors que les terroristes de Masamune Shirow avec un visage, un nom et une histoire obligent les gens à s’interroger sur leurs motivations et les causes profondes qui les ont fait basculer dans la haine et la violence, ce qui ne rentre pas du toute sans l’idéologie néo-cons…. Mais je m’égare !

Par où commencer ?
La luxueuse école privée Marhawa, assez grande pour accueillir 5000 élèves au bas mot avec sa cathédrale œcuménique mais qui n’en comporte que 500 (mdr), est tellement à l’écart du monde qu’il faut plusieurs heures de jet et plusieurs jours de jeep pour y parvenir : c’est d’autant plus nanaresque que les téléphones portables ne fonctionnent pas et qu’il n’y a aucun moyen de communication avec l’extérieur (aucun parent au monde n’enverrait son gosse au milieu de la jungle sans aucun de joindre facilement et rapidement le monde moderne ! c’est n’importe quoi !!!).
L’école privée super moderne, super élitiste et super hype dirigée par des moines et des moniales, je ne crois pas une seconde (surtout pour une école asiatique située aux alentours de Singapour ! ^^) Je suis presque sûr que c’est pour caser des moines zombies (définitivement ringards depuis les années 1970) et des nonnes avec des flingues (qu’on ne retrouve plus qu’au xième degré dans les séries Z de Robert Rodriguez ou dans les telenovelas les plus bas de gamme : non ce n’est pas cool comme concept, c’est juste méga kitsch !).
Le professeur qui va enquêter au milieu de nulle part avec son neveu branlou sans prévenir qui que se soit… pas crédible une seconde ! Le fait qu’ils farfouillent chacun de leur côté dans les recoins sombre à la recherche du patient zéro alors que les services de sécurité se tournent les pouces… Pas crédible une seconde !
Et puis Ricky Tozawa étudiant branché, se retrouve entouré de jolies lycéennes en uniforme sexy et en manque de chibre… Evidemment cela va donner lieu à pas mal de fanservice, et ce n’ai pas comme si le mangaka n’avait pas commencé sa carrière avec une série faisant la part belle au voyeurisme. Sans commentaire.
Passons sur les bobos furyos, les lycéennes arbalétrières ou karatékas, le service d’ordre à efficacité à éclipse, le professeur principal samouraï ou l’agent d’entretien orphelin et sa masse d’armes… ^^ Car le pire c’est les dialogues et les situations dignes d’une production Asylum :
« Sammy et Scoubidou allez à gauche, nous on va droite… »
« Oh mon Dieu, les communications sont coupées ! »
« Oh mon Dieu, on a saboté notre voiture !! »
« Mais non, il faut viser la tête !!! » (Réplique déjà vue dans au moins 1000 nanars zombifiques ^^)
« Ne vous inquiétez pas, l’incendie et les deux cadavres étaient prévus de longue date. »
« Oh non, malgré la pandémie on ne va pas annuler la fête de l’école car cela serait une catastrophe… »
« Malgré la multiplication des morts, je ne vois aucune raison d’avertir les parents et d’évacuer les lieux… »


La phase 2 est enclenchée nous dit une mystérieuse jeune femme encapuchonnée. Une élève de l’école privée plus élitiste tu meurs de Marahwa est assassinée et dévorée par une autre élève zombifiée… La directrice Mère Gracia (^^) fait appel par courrier papier (^^) à son ancien amant Doug Wright (^^) spécialiste en biotechnologies (^^) à l’université singapourienne de Bennett pour tirer l’affaire au clair sans faire de vagues (cette obsession de ne pas faire de vague crée presque plus de remous que les vagues elles-mêmes… mais tant que l’ego et le carriérisme régneront, il faudra subir cette politique du pire ad vitam eternam).
Ni une ni deux, lui et son neveu Ricky Tozawa en mal d’unités de valeur à valider partznt pour le trou du cul du monde pour fils/filles à papas millionnaires qui ne veut pas être associé à un scandale bactériologique (par contre le harcèlement, le suicide et la mort ça passe bien hein…).

On farfouille n’importe quand, n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment, et au bout du compte Ricky se fait agresser par une chaudasse zombie… On nous explique longuement qu’il est condamné, et qu’il va se transformer en zombie dans peu de temps : c’est donc tout naturellement qu’on se contente de bander sa blessure avant de le laisser sans surveillance (ce qui quelque part est logique puisque contre toute la logique de la franchise il ne se passera rien du tout… mdr)

Mère Gracia se débarrasse des preuves de l’épidémie zombifique de la manière la moins discrète possible et imaginable (^^), avant d’être à son tour agressé par un élève zombifié… Je passe sur les incohérences de la nonne qui porte un flingue en permanence mais qui confie des armes blanches à ses subordonnés chasseurs de zombies, sur la nonne qui demande d’euthanasier Ricky mordu par une élève zombie, mais qui ne voit pas de dangers à se voir elle et sa garde rapprochée éclaboussées de tous les côtés par des fluides corporelles contaminés, où sur la présence d’un vaste complexe souterrain qui ne sert à rien ou sur la possession de tenue de décontamination par les employés d’une institution au-dessus de tout soupçon (nanar power !!!)…
Doug et Riky essayent de fuir pour avertir les autorités de tous les trucs chelou qui se passent à Marhawa, mais leur véhicule a été saboté de la manière la moins discrète possible et imaginable (^^), donc ils n’ont pas d’autres choix que de continuer leur chasse aux zombies au sein de la cité scolaire…

On notera quelques fill-in nous montrant l’équipe du BSAA de Chris Redfield qui ne sont là que pour nous dire « eh ne partez pas, cela va être vachement bien par la suite », y compris un bonus de fin qui n’existe que pour mettre en gros plan le postérieur de Merah Biji la soldate d’élite à couettes… ^^


Bref, un gros nanar manga donc une succulente friandise si et seulement si vous appréciez les nanars ! (car dès qu’on se prend au jeu, clichés, incohérences ou WTFs mettent la suspension d’incrédulité à l’épreuve)
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Challenge petits plaisirs 28/40

L'histoire se passe quelques années après les évènements survenus dans Resident Evil 5. le professeur Doug Wright et son neveu Ricky se rendent d'urgence à la prestigieuse école Marhawa. Une élève, en état de décomposition, cherche à mordre tout ce qui bouge. Peu à peu, plusieurs élèves se trouvent contaminés et les choses dégénèrent rapidement.
A l'intérieur du campus, il devient impossible à Doug et Ricky de joindre l'extérieur puisque les communication sont étrangement coupés. de leur coté Chris Redfield et deux de ses coéquipiers du BSAA s'inquiètent de l'absence prolongée du professeur.

Ce manga se présente comme un récit assurant la transition entre les épisodes 5 et 6 du jeu. Même si ce premier volume s'avère léger en zombie, la situation s'installe petit à petit et la tension, chère au genre, grandit au fil des pages. le dessin est assuré par Naoki Serizawa et franchement c'est d'une très grande qualité.

Côté gore, les séquences les plus flippantes s'avère très convaincantes et sanguinolentes à souhait, d'autant que cette édition offre quelques pages en couleur. Ce n'est pas du manga ultra violent, on est plus dans le thriller oppressant, et ça c'est une véritable bonne idée.
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Comme l'annonce la couverture, il s'agit là du manga officiel (vaguement) inspiré de la célèbre saga vidéoludique. Au départ, j'ai surtout choisi cette série pour ses dessins à mon goût, sans me faire trop d'illusions sur l'histoire. Cela n'a pas été facile car l'esthétique des mangas, très différente de nos BD occidentales, ne m'a jamais attiré (décors vides, traits anguleux, dessins en noir et blanc). Mais ici, les dessins sont détaillés, parfois colorés de jolies nuances noires et grises. Dans ce premier tome, on a même droit à une superbe introduction en couleur sur papier glacé (terrifiante avec la découverte de la première élève-zombie dans une salle de classe !). le dessinateur utilise les techniques habituelles des mangas comme ces jolies filles dessinées de la tête aux pieds dans des poses lascives, incrustées devant les cases reléguées en arrière-plan. Pour un manga, les dessins sont agréables à l'oeil. Comme beaucoup de mangaka, Naoki Serizawa se sert de nombreuses onomatopées ; certaines abusivement tels ses trois points de suspension dans les bulles pour exprimer le silence.

Mais la vraie surprise vient du scénario. Loin d'être une énième invasion de zombies, l'histoire rappelle un peu « Harry Potter » et son école où les zombies auraient remplacé les sorciers. La directrice d'une célèbre école demande l'aide d'un éminent professeur en biotechnologies pour étudier le cas d'une jeune élève qui présente les symptômes de zombification par le virus-T. Accompagné de son neveu (et élève), le professeur se rend dans cette école. L'établissement est un gigantesque internat isolé qui fonctionne en complète autarcie. Certains élèves n'en sont jamais sortis ! La mission s'annonce agréable pour le neveu, un beau gosse branché, au milieu de toutes les étudiantes sexy, vêtues de marinières, jupes plissées, collants et chaussures noires… A ce sujet, je signale une scène d'un érotisme torride et… gore. Les deux enquêteurs doivent découvrir l'origine de la contamination, identifier le patient zéro. Mais la Soeur qui dirige l'école Marhawa (par ailleurs ex-amante du professeur en biotechnologies…) ne veut pas que le nom de l'établissement soit associé à un quelconque scandale bactériologiste. Un flash-back nous révèle pourquoi elle tient tant à la réputation de son école. Tout doit donc se régler en interne. La Soeur interdit le professeur de contacter le BSAA, une organisation spéciale de lutte contre le bioterrorisme et notamment l'agent Chris Redfield. Difficile dans ces conditions d'empêcher le virus de se propager dans l'école comme le montre les dernières pages du livre. Dans ce premier tome, il n'y a pas encore de zombies en masse. Mais l'image d'une jeune élève zombifiée montrant les dents, enchaînée dans une cave vaut bien une horde de zombies. le mélange des genres (horreur et histoire de campus) fonctionne grâce aux personnages de plus en plus nombreux au fil du récit comme cet agent de sécurité et ce professeur principal armés d'une masse et d'un sabre japonais, tous deux totalement dévoués à la Soeur. Là aussi un flash-back poignant nous explique cette dévotion. le suspense est bien présent. Quel secret cache la directrice ? Qui est cette mystérieuse fille vêtue d'un K-way ?

Je comparerais ce manga à une friandise sucrée, une nourriture totalement superflue pour l'organisme (nocive diront certains) mais addictive. Si les dialogues calibrés pour les jeunes sont parfois agaçants ; l'histoire et les relations entre les divers protagonistes sont tout sauf simplistes.
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C'est le deuxième manga que j'ai l'occasion de découvrir grâce à l'opération Masse Critique et je remercie donc Babelio ainsi que les éditions Kurokawa pour cette découverte.

Je lis de plus en plus de mangas donc ce format m'est maintenant familier et j'apprécie beaucoup ce type de lecture.

Au risque de passer pour une inculte totale (ça ne serait pas la première fois), je ne connais absolument rien des jeux Resident Evil. Il faut dire que ce n'est pas le genre de jeux que j'affectionne spécialement. Je n'ai pas vu les films non plus donc autant dire que j'ai complètement découvert l'univers dans ce manga.

Pourquoi avoir sélectionné ce manga alors? Parce que son résumé m'a attiré et intrigué et que les partenariats sont justement l'occasion de découvrir autre chose que nos lectures habituelles.

Dans ce manga, on suit le professeur Wright, accompagné de son neveu, appelé en renfort par la Mère Garcia suite à une attaque de zombie ayant eu lieu dans son école et qu'elle ne souhaite pas ébruiter. Mais le professeur craint une vaste contamination et veut faire appel à une de ses connaissances du BSAA. Mais la Mère Garcia ne l'entend pas de cette oreille et elle veut tout faire pour étouffer l'affaire.
Ce premier tome est un tome de mise en place car l'histoire démarre doucement. Pas mal d'interrogations sont posées et on sent bien qu'il va nous falloir attendre pour en obtenir les réponses. On saisit rapidement les liens entre les divers protagonistes et on a un rapide aperçu de leur personnalité. Ainsi on se rend vite compte que certaines apparences sont trompeuses tandis que d'autres personnages sont à peine esquissés et, on le devine, plus développés par la suite.
J'avoue ne pas être très fan des histoires de zombies mais j'ai trouvé qu'ici il y avait un bon équilibre entre les scènes sanglantes et l'intrigue. Je craignais justement que l'aspect "attaque de zombies" soit trop présente dans le dessin mais finalement ce n'est pas le cas, à ma plus grande joie.

Mon impression lors de la lecture du résumé a été la bonne puisque j'ai beaucoup aimé ce premier tome. L'histoire m'a plu et donné envie de lire la suite qui ne peut réserver que de bonnes surprises.

Au niveau de la forme, je n'ai rien à redire, les dessins sont très réussis et plus fins que certains mangas.

Il est difficile d'en dire plus, surtout sur un premier tome, mais cette mise en bouche m'a séduite, suffisamment pour que je pense à acheter le tome 2.

Voici un manga que je recommande aux amateurs du genre ou à ceux qui voudraient le découvrir.
Lien : http://sweetsblog-homesweeth..
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Grand admiratrice de la culture et littérature Z, je me suis penchée sur la lecture de ce premier volume. A noter et c'est important pour le dire: la sortie de cette série (au nombre de trois pour le moment) a coïncidé avec la sortie au Japon. Chose extrêmement rare pour qu'on le dise.
Resident Evil c'est d'abord un jeu vidéo: un survival horror. sous genre du jeu d'action qui reprend les codes du film d'horreur. Un joueur vulnérable, sans armes face à un environnement hostile.

Le manga reprend les codes du jeu (équipe de Chris Ridfield) même si l'histoire est différente..Dans une école réputée , une école d'élite isolée au fin fond de l'Asie, on fait état de phénomènes étranges inquiétants. Dans le prologue (impression en couleur), on rencontre une mystérieuse femme dont le visage est masquée par sa capuche mettre en application une phase II à l'aide d'un boitier. S'en suit ensuite un premier cas d'infection qui n'est pas s'en rappeler les effets du virus T. La directrice de l'établissement, mère supérieure Gracia fait appel alors à Doug Wight professeur de biotechnologie à l'Université de Singapour pour comprendre ces phénomènes.
Il part donc avec son neveu de vingt ans, un jeune comme on les aime. Drôle, animé par ses hormones et en échec scolaire à qui Doug promet de valider son U.E si il l'aide. le professeur se heurte vite à l'autorité de l'établissement qui ne souhaite pas que l'affaire s'ébruite et qui va tenter d'étouffer l'affaire avec des manière peu pédagogues.
Ajouté à la prolifération du virus dont on ne connait toujours l'origine, au fait que les portables ne passent pas, à cette étrange femme masquée qui se promène dans l'enceinte de l'école est vous obtiendrez un manga anxiogène comme on les aime avec un joli graphique et de bonnes pointes d'humour.
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critiques presse (2)
BulledEncre
10 août 2012
Loin d’être une simple commande mercantile, cette série justifie son existence par un travail soigné.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
16 juillet 2012
Kurokawa nous offre […] une série d’horreur qui démarre bien. Si la suite est du même niveau, le manga devrait rencontrer un joli succès qui ne devra pas tout à son nom.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
" - Oui... l'école Marhawa est mon sanctuaire... je ne permettrai à personne de le souiller... sous aucun prétexte !
Ceux qui tenteront de salir son image... de la traîner dans la boue... n'auront droit à aucune pitié !
Commenter  J’apprécie          102
- Survivant du massacre du manoir de Raccoon, légende de la BSAA, Chris Redfield…son long combat est-il une vocation ou une malédiction ?
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Un zombie… ?! Merde !! On est dans un mauvais film, là, ou quoi ?!
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Cette école est un sanctuaire pur dont je suis le centre...
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