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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
En l'an 2381 l'humanité a énormément changé, ainsi que l'organisation sociale.
Au début du livre, on fait la connaissance de Charles et Principessa Mattern : ils accueillent le Dr Gortman, visiteur venu de Vénus. Au cours de la visite guidée, on apprend que les humains vivent dans des bâtiments hauts de 1 km, divisés en villes, en quartiers etc... Les étages les plus hauts sont réservés à l'élite, et plus on descend, plus les habitants sont peu reconnus socialement. Ils ne se fréquentent pas. Chacun vit dans sa ville. La sexualité est libre, ils ont énormément d'enfants, se marient très jeunes. Il y a une grande promiscuité, l'intimité n'existe plus.

En apparence tout le monde est heureux, on a oublié les passions (colère, jalousie, envie...), on reste calme et serein en toutes circonstances. Différents moyens sont mis en oeuvre pour cela.

De temps en temps, un des personnage s'interroge, comme si de vieilles mémoires enfouies essayaient de se frayer un passage vers la conscience. Et certains expriment ce mal-être. Cela est très mal vu, et souvent se termine mal.

Cette lecture est un intéressant voyage dans l'avenir, différent des projections violentes ou terriblement autoritaires que certains auteurs nous ont proposées. Encore que ...

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L'histoire de ce roman peut se résumer ainsi: Pour sauver l'humanité, les sociétés ont évolué verticalement en créant des civilisations dans des tours (les monades) de plusieurs centaines d'étages. Les habitants n'en sortent jamais.

Le problème de la surpopulation étant résolu, la sexualité n'a plus de limites et les humains se multiplient comme des lapins et couchent avec n'importe qui, n'importe comment, sans tabou et sans pudeur et ça ne dérange personne car les valeurs sont différentes de notre société actuelle.

Ce livre nous interroge donc sur la raison exacte de la présence de tabous si forts autour de la sexualité dans nos sociétés humaines actuelles alors même que nos besoins sexuels sont réels et pour beaucoup inassouvis (d'où les harcèlements, les viols ???). Pas si surprenant pour un roman écrit au début des années 70.

C'est par ailleurs un questionnement sur la notion de liberté et de son lien avec le bien-être et le bonheur qui est posé par cette oeuvre.

La lecture m'a été agréable.
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Ce roman, ou fix-up plutôt, est surprenant. Déstabilisant, au départ. Particulièrement visionnaire sur pas mal de plans. Les monades urbaines est un texte qui m'a beaucoup surprise, et qui à mon sens a inspiré beaucoup d'oeuvres postérieures.

D'abord, Les monades urbaines est un texte où le sexe est omniprésent. J'avoue que les 50 premières pages m'ont laissée perplexe… Je me demandais où ça nous menait et quel sens cela revêtait. Je ne pensais pas que l'auteur se vautrait là-dedans avec aussi peu de finesse juste pour le plaisir (relatif). Il y avait donc autre chose. En effet : le sexe aussi libéré, déromantisé, psychédélique et soi-disant libre des Monades révèle un creux émotionnel abyssal dans chaque personnage, et dans les rapports qu'ils ont entre eux.
A mon sens, cette sexualité exacerbée, délirante et intempestive est le produit même de cet environnement déshumanisant. Il est à l'image des lieux : automatique, impersonnel, prépondérant, artificiel, brut et brutal. Seul moyen de communication que les individus ont à leur portée. Et voilà comment on se retrouve avec des scènes complètement psychédéliques, des orgies et des scènes de défonce (d'ailleurs, c'est le mot utilisé) à tout va. Car pour répondre au vide ressenti et au formatage des corps et de l'esprit, pas 36 solutions : avec sauvagerie et violence, avec moult drogues pour tenter de vibrer, l'espace d'un moment.

Il faut comprendre, je pense, cela, pour le mettre de côté si besoin et apprécier ensuite le texte et ce qu'il raconte.
Les Monades urbaines reprennent les mêmes thématiques de la nouvelle Traverser la ville : la notion d'empilement urbain, le rapport entre utopie et dystopie (même souche, mêmes moyens et mêmes effets finaux), et un fond d'histoire d'amour un peu bizarre.
Simplement, au lieu de traverser la ville horizontalement, on la traverse ici verticalement, dans un huis-clos. Chaque nouvelle nous fait éprouver cette verticalité. Si l'organisation socio-professionnelle de la ville n'a rien d'extraordinaire, j'ai apprécié l'organisation des chapitres qui donne un sens à la lecture, et découvrir le microcosme propre à chaque étage et chaque bloc.
On tente même une percée dehors, ce qui amplifie la pression ressentie à l'intérieur des monades, notamment du fait du gigantisme de ces structures mais aussi de la surpopulation qui y règne.

Les monades urbaines évoquent alors toutes les questions d'aménagement du territoire et d'urbanisme, racontent comment fonctionnent ces villes dressées, et développent l'idée selon laquelle l'utopie des uns est la dystopie des autres… Mais au fond, toute utopie ne porte-t-elle pas en elle les germes de son exact contraire ? Tout ce qui se déroule dans ces monades, les règles qui les régissent et qui régissent les relations entre les personnages, ont un petit air du Meilleur des mondes : il y a quelque chose de glaçant là-dedans, de totalitaire, car c'est de ça qu'il s'agit : un contrôle puissant des masses. Traité sous un angle particulièrement, heu, surprenant, on va dire, mais très bien trouvé et remarquablement maîtrisé selon moi.
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/r..
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Croissez, multipliez, jouissez… Les humains se sont abrités dans de gigantesques tours pour évoluer, chaque strate de population à ses étages : les ouvriers en bas et l'élite en haut. 7 nouvelles/chapitres décrivent cet « univers clos » où les libertés semblent grandes mais, mettent en lumière, au final, les failles de ce système.

La vision de Silverberg est fortement imprégnée des années 70's mais reste très contemporaine dans les questions qu'il nous pose (gestion des ressources, évolution des moeurs ; etc). Ce qui est remarquable car ses nouvelles ont été publiées pour la première fois en 1971 !

Une vraie bonne lecture !
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A travers Les Monades Urbaines, Silberberg tente de nous brosser le portrait d'un futur qui aurait vaincu la surpopulation. Sous une couche utopique, comme le ressent la majorité des habitants, se cache un malaise profond qui touche uniquement certaines personnes. Ces anomos en puissance seront les protagonistes que nous suivrons tout au long des sept nouvelles. Evoluant dans un univers inadapté, ils tenteront malgré tout de résister avec leurs moyens à la normalisation imposée. Car deux sorts attendent les anomos: la "chute", ou bien la rééducation par la pensée. Une manière de dénoncer notre système actuel, où les "fous" sont souvent confiés à des psychiatres au nom de l'ordre public.

En dehors de cette normalisation, on retiendra surtout deux messages forts. Silverberg dénonce clairement l'incitation à créer la vie à profusion, comme si ce n'était qu'une vulgaire marchandise. En tant que lecteur, on a clairement l'impression que cette société se trompe dans sa vision du monde en créant la vie sans s'occuper de la qualité de vie et de sa valeur. Résumé grossièrement, on pourrait dire que la qualité importe moins que la quantité. le second message concerne l'autre grand concept des monades : les balades nocturnes. Dans un monde où l'adultère n'existe plus, n'a plus cours puisque tout le monde couche avec tout le monde, où toutes les pratiques sexuelles - et relatives à la drogue également - ne sont plus taboues, cette liberté de forniquer avec tout un chacun peut apparaitre comme une libération immense. Paradoxalement c'est l'inverse qui se produit. Car lors des promenades nocturne, l'homme est implicitement poussé hors de chez lui, en quelque sorte chassé de son domicile.

La suite sur mon blog :
Lien : http://foudre-olympienne.ove..
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Les Monades Urbaines ou une propulsion violente dans le futur de Robert Silverberg.

En 2381, l'humanité pour faire face à la surpopulation, n'a d'autre choix que de se développer verticalement, dans de grandes tours ou les Hommes resteront ainsi enfermé. Une fois le problème de surpopulation réglé, il s'instaure dans les monades, car c'est ainsi qu'on nomme ces fameuse tour, adopte une façon de vivre très libéré. Il est encouragé à développer la population, et pour cela les moeurs sexuels sont très particulié. Les gens commence à avoir leurs premier rapport sexuel à 13 ans, et à 16 ans ils sont généralement marié. Les familles sont poussé à avoir beaucoup d'enfant, souvent 6 enfants par familles, et ceux qui n'en on pas sont jugé. La pudeur n'existe pas. Tout le monde couche avec tout le monde, et la femme ne peut se refuser à l'homme, les hommes se partagent donc leurs femmes. Une société donc tout particulière. On suit ainsi plusieurs personnages, qui tracassé vont finir par sombrer, et être exécuté pour le bien de la société.

Très intéressant, un roman qui offre une vision très terrifiante de nôtre futur.
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Hum, je ne sais pas trop par où commencer car ce livre est un peu spécial, les moeurs des hommes m'ont un peu dérangé, en tout cas, ça fait bizarre à prime abord.
La terre peuplée de plusieurs dizaines de milliards d'humains, une quête de la surpopulation voulue ayant pour solution d'entasser les gens dans de grandes tours.
Les hommes vivants dans des tours de mille étages (+- 800.000 personnes), sans intimité, où chacun peut aller baiser, car c'est bien le terme, qui bon lui semble, homme ou femme, sans choquer personne.
Ce livre reprend plusieurs personnages ayant une vision toute particulière de la monade, ça nous permet de la comprendre et de la juger sur des points de vue différents.
J'ai trouvé un léger parallélisme avec 1984 de Orwell, où toutes personnes allant à l'encontre de la vie bien réglée de la tour doit être éliminée pour éviter de perturber le bon déroulement des choses.
Si vous aimez les livres parlant de la nature humaine, de ses déviances, ses us et coutumes, un avenir possible, ... je pense que vous devriez aimer ce livre.
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Ce livre est une petite merveille d'inventivité dans la dystopie, et je me suis réjoui de la lecture de cette oeuvre qui porte beaucoup en lui ! Mais pour autant, je dois bien reconnaitre qu'il souffre de quelques défauts qui ne permettent pas de le considérer à la hauteur d'un livre culte ou immanquable.

Silverberg est un auteur qui a des idées originales, mais surtout qui s'en sert d'une façon inventive et très complète. C'est à mon avis là sa plus grande force : le fait d'exploiter jusqu'au bout son idée, en l'auscultant sous toutes les coutures jusqu'à trouver tout ce qui l'intéresse. Et dans ce cas précis, c'est remarquablement bien joué ! Partant de son principe de tours-mondes dans lesquelles l'humanité toute entière est cloîtrée, il va développer une flopée de thèmes qui vont tous tisser une image peu reluisante de cette société sois-disant idéal. Et chaque personnage du roman sera le moyen d'explorer une nouvelle facette de tout ceci : le sexe libre imposé, le tabou de l'extérieur, la ségrégation par niveau, les impératifs de naissance, le poids d'être parfait, la jalousie ... Tout ces thèmes seront vus au travers du prisme des habitants de la monade urbaine, chacun explorant une autre facette de ce monde, montrant tout les soucis que celui-ci développe pour les humains. Et la force de ce livre, c'est que chaque personne vivra finalement mal cet univers, mais chacun à sa manière. Il n'y a pas une seule manière d'asservir l'homme, et dans une société il se peut que des dIzaines de normes contribuent à transformer des vies en enfer. Sur ce point, le livre est diablement actuel, d'ailleurs.

Mais il y a aussi quelques défauts à ce livre, et je ne peux m'empêcher de les relever tout de même. le premier est une simple frustration personnelle de n'avoir aucune explication sur l'origine des monades : quel prodige scientifique, quels matériaux nouveaux, quel esprit ingénieux les fit pousser ? Certes, l'absence d'origine empêche de créer une chimère de méchant ou d'image d'antagoniste, mais cela manque un peu dans un livre de science-fiction à mon gout.
D'autre part, le style fait quand même daté, et à la lecture on sent que quelques années sont passées depuis l'écriture, donnant un ton parfois vieux à certains passages. D'autre part, le découpage en plusieurs personnages est une bonne idée, mais je l'ai trouvé souvent trop court pour avoir le temps de m'attacher réellement à chaque personne, et de fait leur destin a moins d'impact lorsqu'on les a si peu vu. Un peu plus étoffer le récit n'aurait pas nuit à l'ensemble, je pense.

Mais en dehors de ces quelques petits détails, je reste admiratif du talent de Silverberg dans le développement de son idée. Il a une réelle façon de mettre en scène son idée d'un bout à l'autre, jusqu'au moment où l'on à notre tour convaincu de la folie de ces villes-mondes qui ont avalés l'humanité. Certes, y voir une métaphore est tentante, mais à mes yeux ce serait une erreur puisqu'on y perdrait la véritable force du récit : nous représenter un monde qui n'est pas encore existant mais qui peut le devenir.
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J'ai eu du mal à rentrer dans ce roman. L'idée de base m'a immédiatement fait penser à IGH de J. G. Ballard, qui m'avait beaucoup plu, mais les sujets abordés et la construction sont finalement très différents. Les 3 premières nouvelles (sur 7) qui le composent sont peu connectées entre elles et servent surtout d'exposition. Une phase d'exposition par conséquent assez lente, mais aussi perturbante tant le mode de vie dans les monades urbaines est différent du notre.
Passée cette phase, les nouvelles viennent s'enrichir les unes les autres, reprennent les mêmes personnages puis finissent par former un tout très cohérent (comme les nouvelles qui constituent "Demain les Chiens de Clifford D. Simak). le ton change également au fil des nouvelles, les monades urbaines sont d'abord présentées comme une solution (la seule ?) aux problèmes qui frappaient la Terre au XXème siècle, ce qui a permis l'émergence d'une société plus adaptée et aussi plus libérée. Cependant, plus on avance dans les nouvelles, qui devienent finalement des chapitres, plus on déchante. Ce qui a changé c'est l'environnement (des immeubles de 1000 étages au lieu de villes) mais pas la société : les classes sociale sont toujours présentes et les inégalités persistent. La solution présentée n'en est pas une : l'humanité s'est adaptée mais ne s'est pas remise en question.
Les personnages sont en réalité esclaves de leurs libertés et se retrouvent écrasés et impuissants, comme on pouvait l'être au XXème siècle et comme on peut l'être aujourd'hui. C'est d'autant plus vrai pour les femmes, qui jouissent en théorie d'une liberté totale et des mêmes droits que les hommes, mais qui se retrouvent réduites au rôles de poules pondeuses. Un bon moyen d'exposer les conséquences d'une politique natiliste sur la place des femmes.
Bref, une véritable dystopie qui mériterait d'être analysée comme un essai plutôt que comme un roman tant il y a de choses à dire. Un plaisir de lecture limité au début du roman mais qui s'accroit paradoxalement lorsqu'on découvre les limites et les failles de cette société.
Seule message d'espoir : La Terre est capable de nourrir 75 milliards d'être humain !
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2381. Les hommes, désormais au nombre de 75 milliards, ont trouvé la solution au surpeuplement qui menaçait la pérennité de leur monde. Ils vivent entassés par centaines de milliers dans des tours de 3000 mètres de haut qu'ils ne quittent jamais, ces "monades", ainsi qu'on les appelle, étant auto-suffisantes, avec leurs écoles, leurs lieux de travail, et leur propre approvisionnement en énergie, fournie par les déjections de ses habitants.

Pour assurer la viabilité de ce système vertical, la notion d'intimité et le sens de la propriété ont été bannis, et afin d'éviter les frustrations forcément engendrées par la promiscuité, le sexe est devenu "libre". Aussi, bien que vivant toujours en couple, les individus entretiennent des relations sexuelles avec les partenaires de leur choix. Ainsi, à la nuit tombée, nombreux sont ceux qui errent dans les couloirs de la monade pour aller rejoindre celui ou celle choisi(e) pour cette fois, dans un lit conjugal qu'ils se partagent alors à trois... Avec quelques restrictions tout de même : les étages supérieurs évitent de se mélanger avec les niveaux inférieurs, la verticalité des tours matérialisant par ailleurs une hiérarchie sociale rigide et cloisonnée.

Continuer à se multiplier est devenu la principale activité humaine, la valeur des êtres se mesurant à l'importance de leur progéniture.

Il semble régner au sein de la société dépeinte par Robert Silverberg une harmonie et une sérénité laissant supposer que l'homme aurait enfin atteint une certaine forme d'utopie... mais la neutralité émotionnelle que suppose ce système laisse perplexe. L'individu serait-il parvenu à niveler ses émotions, à oublier ses passions, sa jalousie, sa hargne ? Même le langage a perdu ses couleurs, ses sous-entendus, ses connotations... on "défonce" dorénavant le "con" de sa partenaire sans la transgression ou la grossièreté que cela suppose, et simplement pour assouvir un besoin organique.

Ceux -rares- qui s'écartent du chemin, ou remettent en cause le bien-fondé du fonctionnement de ce nouvel éden, sont jetés, sans jugement ni fanfare, dans une fosse où ils contribueront à alimenter la monade en énergie...

L'auteur s'attarde sur quelques-uns des habitants de la monade 116 (presque 900 000 habitants), qui expriment d'une manière ou d'une autre leur inadaptation au système. Sigmund, très jeune, surdoué, promis au plus haut niveau, marié à la magnifique Mamelon, commence à se poser des questions sur le sens de son ascension. Micaël rêve de découvrir le monde extérieur. Auréa est quant à elle terrorisée à l'idée d'être obligée de changer de monade, parce qu'elle ne parvient pas à enfanter...

Mais -et c'est l'un des aspects le plus intéressant de ce récit- il montre aussi la facette positive de cette société qui ne connait ni guerre, ni insécurité, ni famine, où règne une sorte de totalitarisme qui n'a pas besoin de leader, étant volontairement admis par l'ensemble de la population.

Il laisse ainsi le lecteur juge de la légitimité morale de ce système où ne règne aucune réelle liberté, cette dernière étant incompatible avec son bon fonctionnement, mais qui dans l'ensemble fonctionne, justement... On pense bien sûr au "Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, mais plus qu'une critique des totalitarismes il m'a semblé ici que l'auteur invitait à une réflexion sur l'équilibre à trouver entre sacrifices des libertés individuelles et survie de l'espèce.

Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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