Penelope SkyLoup tome 2 sur 3
/5 41 notes
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Résumé :
Les tensions s’accroissent, et j’ai maintenant deux ennemis qui souhaitent ma mort.Mais je ne me suis jamais sentie plus en sécurité. Mon loup me protège. Il me chérit. Et je crois qu’il m’aime.Ce mariage arrangé, nous le détestions tous les deux, mais je le vois à présent sous un nouveau jour. Mon mari est fort, intelligent, et beau. Ses yeux couleur café me font fondre. Mon cœur s’attendrit pour cet homme, et je tombe de plus en plus. Je suis en train de tomber am... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Un second tome en demi teinte pour moi.
Les points positifs: on voit la relation entre Arwen et Maverick s'intensifier. Elle évolue petit à petit. Maverick s'ouvre un peu plus à Arwen. Il baisse ses défenses face à elle, parait moins froid. J'ai bien apprécié.
Les points négatifs: comme je m'en doutais, Arwen perd de sa morgue et de son caractère. J'ai eu plus de mal avec avec elle car je n'en pouvais plus des "mon mari c'est le plus beau", "mon mari c'est le meilleur"... Il n'y a qu'à la fin qu'enfin elle retrouve son caractère du premier tome. Elle m'a beaucoup exaspérée. Ça en devenait ennuyant de toujours la voir penser les mêmes choses. Cela donne pas mal de longueurs.
Et alors le gros point noir c'est la surabondance des scènes de sexe, mais surtout des "son gros engin" et autres joyeusetés du même genre. On n'est pas obligé de faire un mec monté comme un arbre pour apprécier une scène de sexe. Ça en devenait ridicule et d'ailleurs je sautais allègrement les pages de ces scènes.
Forcément la fin appelle à se jeter sur la suite, mais j'espère qu'elle sera un peu plus intéressante que ce tome là.
Les points positifs: on voit la relation entre Arwen et Maverick s'intensifier. Elle évolue petit à petit. Maverick s'ouvre un peu plus à Arwen. Il baisse ses défenses face à elle, parait moins froid. J'ai bien apprécié.
Les points négatifs: comme je m'en doutais, Arwen perd de sa morgue et de son caractère. J'ai eu plus de mal avec avec elle car je n'en pouvais plus des "mon mari c'est le plus beau", "mon mari c'est le meilleur"... Il n'y a qu'à la fin qu'enfin elle retrouve son caractère du premier tome. Elle m'a beaucoup exaspérée. Ça en devenait ennuyant de toujours la voir penser les mêmes choses. Cela donne pas mal de longueurs.
Et alors le gros point noir c'est la surabondance des scènes de sexe, mais surtout des "son gros engin" et autres joyeusetés du même genre. On n'est pas obligé de faire un mec monté comme un arbre pour apprécier une scène de sexe. Ça en devenait ridicule et d'ailleurs je sautais allègrement les pages de ces scènes.
Forcément la fin appelle à se jeter sur la suite, mais j'espère qu'elle sera un peu plus intéressante que ce tome là.
Citations et extraits (23)
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Elle avait été la plus belle femme de la soirée, et j’en ressentais de la fierté. Elle était mon trophée, un objet que je possédais et que tout le monde m’enviait. Cela m’avait ennuyé au début d’avoir une femme, mais elle se montrait utile. Au moins, elle aidait mon image et mes affaires.
Et je ne pouvais m’empêcher d’être d’accord avec tout le monde… Elle était exceptionnelle.
Ses cheveux étaient bouclés, ses yeux charbonneux, et elle avait mis un rouge à lèvres si foncé qu’il tirait sur le bordeaux. Son look était complété par des diamants à ses lobes, et par une robe qui épousait son corps sexy.
Et je ne pouvais m’empêcher d’être d’accord avec tout le monde… Elle était exceptionnelle.
Ses cheveux étaient bouclés, ses yeux charbonneux, et elle avait mis un rouge à lèvres si foncé qu’il tirait sur le bordeaux. Son look était complété par des diamants à ses lobes, et par une robe qui épousait son corps sexy.
Il m’embrassa si délicieusement, caressant mes lèvres comme si j’étais la seule femme qu’il voulait embrasser. Son haleine chaude titillait mes lèvres, et sa langue sensuelle se glissa dans ma bouche. Tout ce qu’il faisait était sexy, de sa respiration à ses caresses. Quand il me dominait comme ça, j’avais l’impression d’être un animal captif n’ayant nulle part où aller.
Je ne voulais être nulle part ailleurs.
Je ne voulais être nulle part ailleurs.
J’observai son visage, la voyant sous un nouveau jour. Elle était si ravissante quand on la baisait : ses joues rouges, ses lèvres entrouvertes. Parfois, elle se mordillait la lèvre inférieure de plaisir quand ma queue frottait au bon endroit, et ses hanches ruaient toutes seules. Ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau, et un gémissement étouffé s’échappa de ses lèvres quand le plaisir la submergea.
Maverick et moi étions redevenus des étrangers.
Il vivait sa vie et faisait comme si je n’existais pas. Quand il n’était pas à la maison, il passait son temps au travail, parfois jusqu’à tard dans la soirée. Il semblait rester au bureau juste pour ne pas me voir.
Cet homme me détestait.
Les femmes allaient et venaient, me remplaçant dans son lit.
Je n’étais pas jalouse de ses maîtresses. J’étais jalouse d’avoir perdu mon loup. Nous étions comme d’illustres inconnus qui ne se parlaient jamais, qui avaient oublié le lien qu’ils partageaient autrefois.
Il vivait sa vie et faisait comme si je n’existais pas. Quand il n’était pas à la maison, il passait son temps au travail, parfois jusqu’à tard dans la soirée. Il semblait rester au bureau juste pour ne pas me voir.
Cet homme me détestait.
Les femmes allaient et venaient, me remplaçant dans son lit.
Je n’étais pas jalouse de ses maîtresses. J’étais jalouse d’avoir perdu mon loup. Nous étions comme d’illustres inconnus qui ne se parlaient jamais, qui avaient oublié le lien qu’ils partageaient autrefois.
Je posai les mains sur sa taille et l’attirai sur mes genoux, l’invitant à chevaucher mon bassin. Sa robe remonta sur ses hanches, et je l’aidai en la retroussant sur sa taille. Hier soir, mon désir avait été étouffé par ma rage. Mais aujourd’hui, je la désirais plus que tout. La musique s’était tue, mais j’étais toujours sous le charme, hypnotisé par sa voix.
Je m’adossai au canapé et la contemplai, explorant ses formes avec mes mains. Je commençai par son cul, caressant la courbe de ses fesses, puis serpentai vers la vallée de son dos.
Je m’adossai au canapé et la contemplai, explorant ses formes avec mes mains. Je commençai par son cul, caressant la courbe de ses fesses, puis serpentai vers la vallée de son dos.
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