Fin de la route en Californie au terme de ce cinquième opus... une conclusion assez tragique, où les morts violentes se multiplient, et où l'on apprend enfin (mais comment pouvait-il en être autrement ?) l'identité de Sacha (dont on se doutait un peu par élimination...). Un dernier album qui constitue comme une synthèse des précédents, permettant de mieux relier entre eux certains des éléments passés. Si cette série a démarré sur les chapeaux de roue, mêlant avec réussite l'Amérique des années 60 (et ses sublimes voitures !) et contexte de guerre froide, elle s'est, à mon sens, un peu essoufflée à compter du troisième volet...
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Trop de choses dans ce 5ème tome.
Trop de révélation en très peu de pages.
Trop de résumé de tout ce qui n'a pas été raconté dans les tomes précédents.....
Ca ressemble à une série finie plus tôt que prévu...
Je suis donc déçue.... Même si l'histoire globalement est sympa, je trouve la façon un peu expéditive de la raconter frustrante.
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Le dernier tome d'une série qui a le mérite de ne pas trainer en longueur. L'auteur a su garder de la force pour chacun de ses tomes, y compris pour le dernier qui est au moins aussi bon que le premier.
La chute de l'histoire est dure à avaler, mais ça valait le coup de la lire jusqu'au bout .....
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Lundi 10 Octobre 1965.
Il est là.
Son vrai nom est Vladimir Illich Kaptchenko. Les journalistes l’ont surnommé « Le clown ». Mais ceux qui le connaissent, l’appellent Serguei.
Il est né à Paris en 1912, d’une mère anglais et d’un père Russe, compagnon de Lénine pendant ses années d’exil en Europe….
Son père a été exécuté pendant les purges de Staline. Serguei n’en a pas voulu à son maitre. C’est lui qui avait dénoncé son père comme Trotskiste….