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4,03

sur 767 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce roman m'a littéralement transportée au coeur des magnifiques contrées islandaises.
Couché sur un trottoir après avoir chuté d'une échelle, Sigvaldi se souvient … Il confie le récit de sa vie à une passante et lui parle de son petit frère, devenu poète ainsi que de sa fille prénommée Asta.
Un autre protagoniste fait ensuite son entrée dans le roman. Il s'agit d'un écrivain qui joue un rôle essentiel puisqu'il est le narrateur, celui qui raconte Asta.
Nous la découvrons alors qu'elle n'est encore qu'une petite fille puis une adolescente. Nous lisons également les lettres qu'elle adresse à son bien-aimé alors qu'elle est âgée d'une soixantaine d'années.
Ce roman est tout simplement époustouflant à bien des égards. La construction du récit permet aux époques de s'enjamber en faisant abstraction de la chronologie. La puissance de la poésie du récit donne au lecteur l'impression que les mots sont chantés. Les paysages sauvages sont décrits de façon telle que l'on s'y croirait. Les personnes sont tous aussi attachants les uns que les autres.
Malheureusement, je n'ai pas réussi à réunir toutes les pièces de ce livre-puzzle lorsque je l'ai refermé. Il m'aurait fallu une seconde lecture pour percer tous les mystères dont le roman regorge.
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J'avoue avoir eu une forte appréhension après la lecture des premières lignes d'Ásta.
Le style de l'auteur me paraissait alors cru et l'intrigue compliquée.
Je me suis toutefois laissé portée et j'ai été finalement conquise par la beauté brute et la sensualité de l'écriture de Jón Kalman Stefánsson.

La particularité de ce roman tient en sa construction narrative complexe mais bien ficelée.
C'est en effet à travers les récits de divers personnages mêlant passé et présent que nous découvrons l'histoire tragique de cette famille islandaise.
L'intrigue se présente au lecteur sans précipitation, lui demandant confiance et patience.
L'auteur donne la voix à deux générations, permettant de comprendre les conflits, les rancoeurs, qui ont gangrené cette famille au fil des ans. Un vrai roman de vie.

L'Islande, pays des fjords sauvages, est la merveilleuse toile de fond de cette fresque familiale touchante de réalisme et de violence.
La violence des sentiments, l'auteur sait la décrire, il nous l'expose toujours avec sagesse, parfois avec humour ou sarcasme.
Les relations humaines sont complexes, les individus uniques, les destins aussi, mais l'amour est universel. Amour filial, amitié ou passion amoureuse, ce sentiment humain qui peut élever comme anéantir est le sujet central du roman.

Une lecture envoûtante qui offre aux lecteurs de belles réflexions sur la vie, l'amour, la famille.
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C'est beau, poétique et sans doute à cause de ça j'ai eu du mal au départ à ne pas m'échapper involontairement du roman. Mon esprit, sans cesse, voulait vagabonder.

Cependant j'ai beaucoup aimé, et certains passages parlaient directement à mon enfance, et finalement aussi à l'adolescente puis à la jeune adulte que j'ai été.

C'était tellement beau que par moments j'ai failli croire que la mort est belle.
Il y a tant de profondeur dans ce texte !..
En fait, ça parle de la vie, du temps qui passe, de la famille et de l'amour aussi, et ça m'a ramenée sans cesse à ma propre histoire, d'où mon vagabondage quasi-permanent dans mes souvenirs. C'est LE sujet universel, la vie en somme, et finalement il faut croire que nous ne sommes pas si différents les uns des autres.

Au fond je pense que c'est un livre qui doit parler à tout un chacun, pour peu qu'on soit taraudé par des questions existentielles !

J'y ai pourtant trouvé des longueurs, un moment où je me suis traînée comme une âme en peine et où j'ai eu du mal à trouver de l'intérêt. Heureusement ça n'a pas duré longtemps.
Les allers-retours fréquents dans le passé m'ont un peu perdue par moments sans que ça ne gêne vraiment l'histoire.

J'ai envie de conclure par une phrase de Jean d'Ormesson, qui selon moi résume bien ce roman : ''La vie est une vallée de larmes. Elle est aussi une vallée de roses.''
Lien : http://mechantdobby.over-blo..
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Voilà un roman joliment envoûtant, mystérieux, un puzzle au milieu duquel le lecteur plonge sans retenue pour suivre Ásta, héroïne sublime et sacrificielle.

Nous suivons les pensées de Sigvaldi, le père d'Ásta. Peintre en bâtiment, il vient de tomber d'une échelle et pendant qu'il est étendu au sol, lui reviennent les souvenirs de sa vie avec Helga, la mère d'Ásta.

Difficile de résumer ce roman qui nous transporte à différentes époques et retrace différents épisodes de la vie d'Ásta, de ses parents, de ses amours.

Un roman brillant et une plume d'une rare poésie qui nous amènent sur les traces de ce personnage féminin tourmenté, envahi de culpabilité, en quête de pardon et de rédemption et avec lequel on entre immédiatement en empathie.
Roman d'amour, qu'il soit filial, parental, entre soeurs, entre amants. Roman captivant, profond et exaltant. Ásta est de ces héroïnes qui restent en mémoire durablement.
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Jon Kalman Stefansson était pour moi un auteur familier, sans avoir jamais rien lu de lui. La faute au festival des Boréales, qui accueille en Normandie la fine fleur de la littérature nordique. Cette fois-ci je me suis lancée dans la lecture d'un de ses romans.
Asta, l'héroïne de ce roman, dont le prénom est à une lettre de l'amour. Asta, une femme à la corde mélancolique et qui pourtant a une réelle force de vie.
J'ai été déstabilisée par les cents premières pages de ce roman : la construction, la langue, les personnages. Tout était confus. Et puis je me suis laissée portée par la construction, la langue, les personnages. La suite n'est pas moins confuse mais je l'ai intégrée comme un élément du récit.
Ce qui m'a aidé, ce sont des passages sublimes, le mot n'est pas trop fort. Des citations que l'on a envie de copier, de partager, de dire à haute voix. Notamment autour du chant. Je n'avais jamais rien lu d'aussi fort et d'aussi sobre sur la voix humaine : "les cordes vocales de l'être humain partent de la gorge et mènent droit au coeur." Simple, si juste et tellement beau.
Ce sont ces passages-là qui font que ce roman a un sacré panache !
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Je viens de finir Ásta, de Jón Kalman Stefánsson. J'ai trouvé ce roman très intéressant et très intrigant... La curieuse photo de couverture (Maïa Flore / Agence VU) se présente comme un reflet du sous-titre du roman : « Où se réfugier quand aucun chemin ne mène hors du monde ? ». En tournant la page après avoir lu le titre « Les pages qui suivent », le lecteur constate qu'il s'agit en fait la première phrase du récit qui se poursuit par « renferment le début de la vie d'Ásta […] ». La déconstruction narrative apparaît avant même la lecture, en feuilletant l'ouvrage : cinq parties, oui, mais dans lesquelles on trouve, en nombre inégal, des chapitres titrés en minuscule italique eux-mêmes divisés en sous-parties par des intertitres en minuscule grasse. Les titres de tous les niveaux sont souvent le début d'une phrase. Hum… Pas simple !

La très brève première partie (36 pages) commence par nous situer à Reykjavík vers 1950. Elle présente les parents d'Ásta, Helga et Sigvaldi, dans une scène d'amour assez torride, et trente ans plus tard, le même Sigvaldi, peintre en bâtiment, tombé d'une échelle. Allongé sur le trottoir, dans un semi-coma, il va se remémorer certains moments intenses de sa vie sans ordre chronologique, dans une sorte de fouillis temporel, les racontant (peut-être) à une inconnue accroupie près de lui. Sigvaldi vit alors avec Sigrid, sa deuxième femme, et Sesselja, la fille d'Ásta. Dans cette première partie, le lecteur prendra aussi connaissance de la première lettre d'Ásta ; il apprendra qu'elle aime le même homme depuis trente-quatre ans, mais que celui-ci n'est plus là. A-t-il quitté Ásta ? Est-il mort ?

L'écrivain apparaît dès le début, intervient à la première personne (du singulier le plus souvent, mais aussi du pluriel) et pourrait de prime abord passer pour Stefánsson. Il donne au lecteur suffisamment de repères pour que celui-ci puisse trouver son chemin dans le puzzle qu'il lui présente, mais il le prévient aussi dans le titre de la page 13 : « Puis je ne maîtrise plus rien ». le lecteur comprendra mieux ce que l'écrivain veut dire dans les fréquentes considérations sur l'écriture et sur le roman en train de s'écrire. Pour faire court, je paraphrase : on ne peut pas raconter les événements de manière linéaire comme j'ai commencé à le faire. La mémoire ne fonctionne pas ainsi. Je me suis trompé, je n'aurai pas dû… j'aurais dû…

La place que tient la littérature s'affirme donc d'emblée. de plus, Ásta a été nommée ainsi à cause de l'héroïne d'un roman islandais, nous verrons que c'est aussi le cas d'autres protagonistes, et les références à la littérature islandaise, mais plus largement nordique, se révèlent constantes avec, me semble-t-il, une prédilection pour les poètes. On écrit aussi de nombreuses lettres dans ce roman, qui sont envoyées ou pas, qui sont lues ou pas, par leur destinataire ou par quelqu'un d'autre : Ásta, Jósef, le poète frère de Sigaldi, la nourrice, Helga, et j'en oublie sûrement, tous écrivent. D'ailleurs, tous lisent aussi ! Notons aussi que de nombreuses références à la musique, surtout au jazz américain des années 50 à 70, ponctuent le récit.



Voilà donc un roman passionnant, mais qui me laisse ambivalente... Je ne ressens d'empathie envers aucun des personnages, sauf par moment pour Sigvaldi qui, bien plus qu'Ásta, me semble le fil conducteur ou le point d'ancrage de ce récit, celui auquel on revient toujours. Pourquoi ne me suis-je pas laissé emporter par cette écriture souvent magnifique ? Sans doute parce que j'ai trouvé la déconstruction du récit artificielle, comme le retour de ces titres qui sont des débuts de phrases... Par ailleurs, la personnalité des femmes est tellement négative et parfois si stéréotypée que cela a fini par m'agacer. Si on excepte la soeur d'Ásta, la nourrice et peut-être la vieille Kristin avant sa folie, elles sont toutes séductrices, menteuses, irresponsables, instables sinon un peu folles, égoïstes ou, surtout Sigrid, dominatrices ! Toutes aiment avec passion, c'est vrai, mais abandonnent leur amour pour des convenances personnelles. Signalons un certain humour, parfois très noir. Je me suis surprise à sourire dans le passage où Ásta tente de se suicider, trop ivre et trop abrutie de médicaments pour parvenir à faire un noeud coulant, et à rire dans les passages très drôles sur l'écrivain renommé, sollicité par le propriétaire d'un gîte touristique pour devenir lui-même attraction locale au même titre que la nuit, les sources d'eau chaude, les macareux moines, les pluies d'étoiles filantes et les aurores boréales : il habiterait gratuitement une maisonnette bien rénovée près du phare, dédicacerait des livres à l'avance, et s'absenterait pendant les visites des touristes en mal d'exotisme islandais… Va-t-il accepter la proposition ?

Bref, j'ai lu ce livre avec intérêt, mais pas avec passion, contrairement à l'expérience exaltante que j'avais connue en me plongeant dans le Confiteor de Jaume Cabré, roman tout aussi complexe, mais à mon avis, infiniment plus riche et enthousiasmant ! Si je les rapproche, c'est à cause de la complexité du récit, bien sûr, mais aussi de la place que prennent l'écrivain, l'écriture et la littérature dans l'un et l'autre.

Merci au Grand Prix des lectrices de Elle et à la maison Grasset de m'avoir permis de découvrir ce livre.
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Au début des années 50, Sigvaldi a choisi le prénom de sa seconde fille après avoir lu Gens indépendants de Halldor Laxness paru en 34/35, parce que la fin l'avait fait pleurer, même si l'héroïne avait eu un triste destin. Helga avait accepté, pour la simple raison que sans le a final, ce prénom signifie amour en islandais. A cette époque, Sigvaldi et Helga s'aiment et Asta est le fruit de cette passion. Mais la suite de leur histoire est chaotique et Asta est confiée à Steinvör qui l'élève avec amour. Devenue adolescente, Asta qui rejette, entre autres, sa nourrice, est envoyée en séjour dans une ferme, où elle rencontre Josef, un garçon de son âge.

Ce roman est un collage ; morceaux de vies mêlés, d'histoires qui s'entrelacent, se complètent, se superposent, pièces mélangées d'un puzzle, qu'il faut assembler avec patience et minutie. Car la narration ne suit pas l'ordre du temps, tout comme les vies nous prévient l'auteur »Dès que notre premier souvenir s'ancre dans notre conscience, nous cessons de percevoir le monde et de penser linéairement, nous vivons tout autant dans les évènements passés que dans le présent. » Nous, lecteurs, aurons à ordonner les souvenirs que Sigvaldi, tombé d'une échelle et allongé sur un trottoir livre au visage d'une inconnue penchée sur lui, et ceux que nous conte Asta. Il nous faudra aussi trouver une place aux lettres qu'elle écrit à un amour parti et les chapitres que l'auteur consacre à l'écriture de son roman. Les époques se mélangent, ce n'est pas toujours facile de démêler l'écheveau de cette histoire de famille, il faut chercher les indices pour comprendre. Et ne comptez pas sur les titres délicieusement énigmatiques des chapitres ! Acceptez de vous laisser porter par la magie de l'écriture, l'Amour/Ast/Asta est ce qui lie les personnages de ce roman.
Lien : http://www.levoyagedelola.com
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Ce livre est l'histoire d'Asta, née dans les années 1950 à Reykjavík, mais pas seulement : c'est aussi l'histoire d'Helga la mère d'Asta, de Zigvaldi le père, de Josef…..

Le livre débute avec une scène d'amour fou entre Helga et Zigvaldi. Dans le deuxième chapitre, on apprend sans transition que les parents se sont séparés peu après cette scène et qu'Asta a 20 ans.

La construction en aller-retour dans le temps m'a un peu déroutée mais c'est un parti pris de l'auteur : en effet, l'histoire est racontée essentiellement du point de vue de Zigvaldi, celui-ci vient de tomber d'une échelle et il repense à sa vie et à celle d'Asta. Par conséquent, comme il est blessé très gravement, son histoire n'est pas pas du tout racontée dans l'ordre chronologique mais dans l'ordre où ses souvenirs lui arrivent : un jour Asta a deux ans, on la retrouve dans les pages suivantes à 40 ans puis à 20 ans avec une petite fille Sonesja, puis à 17 ans à nouveau.
Au début ce va et vient temporel m'a gênée car j'avais envie de savoir ce que devenait Asta quand elle est adolescente. A 17 ans c'est une jeune fille rebelle et elle est envoyée dans une ferme dans le nord de l'Islande, une sorte de « punition » pour son comportement quelque peu violent.

Plus tard, je me suis laissée aller et emporter par l'histoire d'Asta sans plus faire attention aux changements d'époque sans transition. Asta se livre également dans quelques chapitres où on lit des lettres à son « amour » (dont on ne connaîtra pas le nom, on peut juste deviner (ou pas)).

Ce livre met en scène Asta et ses relations avec les hommes : En particulier le tendre et mystérieux Joseph qui sera dans le même ferme l'été de leurs 17 ans. Petit à petit on va découvrir ce qui est arrivé et pourquoi elle a laissé sa fille à la charge de son père et sa belle-mère.
C'est un roman aussi très dur sur les choix de vie que l'on prend à un moment et qui font totalement basculer une vie en un clin d'oeil.

Un passage m'a fortement marqué : celui où la mère d'Asta, Helga profite de sa ressemblance avec Elizabeth Taylor pour faire croire à sa belle-mère que la photo d'Elizabeth Taylor qu'elle a chez elle est une photo d'elle-même (difficile d'être une femme au foyer en Islande dans les années 50 quand on voit – ou croit voir- une vie idéale sur grand écran).

En conclusion : un livre déroutant mais très intéressant une fois que j'ai accepté de me laisser guider par les souvenirs de Sigvaldi…
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En 2017, l'auteur islandais Jón Kalman Stefánsson publie Ásta, une histoire familiale où les voix s'enchevêtrent pour faire jaillir les secrets et les peines.
Ásta, c'est le nom que donnent à leur fille Helga et Sigvaldi, parce que dans ce mot se cache celui de l'amour. le roman commence par une scène de sexe passionnée entre eux deux, moment que se remémore le vieux Sigvaldi tombé d'une échelle alors qu'il est au travail. Les quelques secondes qui le séparent de la mort sont le contenu du roman : il se souvient de son amour pour Helga, qui était si belle mais qui l'a abandonné en même temps que ses deux filles. La voix d'Ásta nous fait parcourir aussi les époques de la vie, de son adolescence à aujourd'hui, d'une manière jamais linéaire : Jón Kalman Stefánsson a vraiment une façon bien à lui de mener les récits, de nous perdre, de nous faire nous interroger jusqu'au dévoilement des réponses.
Les vies sont faites, chez lui, de renoncements, d'absences, de silences, d'amour qu'on aurait voulu voir durer ou naître. Comme dans Ton absence n'est que ténèbres, l'auteur a le goût de la formule, souvent mise en exergue pour débuter les chapitres ; la musique, sous forme de chansons de variété, est aussi présente dans la vie de ses personnages. Il nous conduit dans les fjords de l'Ouest, crée des personnages que l'existence brime ou qui, sous des airs simples, cachent certains secrets.

La suite sur le Manoir des lettres
Lien : https://lemanoirdeslettres.f..
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J'avais ADORE "entre ciel et terre" pour sa magnifique écriture poétique et son histoire.
Cette fois, en raison de la narration complexe , j'ai eu plus de difficulté à entrer dans l'histoire malgré l'écriture toujours aussi sublime et envoutante.
Ce choix d'alterner plusieurs histoires sur plusieurs époques nécessite un effort de concentration et je comprends que certains ont été déroutés.
Il y l'histoire d'Ásta (sublime femme libre) personnage éponyme, la retranscription de ses lettres d'amour( d'une beauté à pleurer); l'histoire de ses parents Sigvaldi et Helga( couple déchirant ); les souvenirs que voit défiler Sigvaldi au seuil de sa vie, l'histoire d'un écrivain ( l'auteur?) qui analyse son choix de roman , évoque ses doutes, nous parle de la société Islandaise ,de politique et de l'influence de Trump sur le monde, ...
La vie s'engouffre dans ce roman tel un tourbillon dévastateur et nous laisse comme un goût de bonheur perdu
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