Je m'aventurais le coeur ouvert, léger, prête à la surprise, à me laisser prendre au jeu, à suivre
Gilles Tibo dans les couloirs de son imagination. J'étais donc on ne peut plus partante. Mais c'était sans compter avec le travail bâclé de l'éditeur qui, à mon avis, aurait dû faire une meilleure sélection, certains des contes proposés par Les grandes heures de la terre et du vent ayant, à mon humble avis, peu ou pas d'intérêt du tout alors que certains mériteraient à eux seuls des albums comme le grand Couturier qui répare le ciel quand il se déchire ou le sculpteur de nuages.
C'est donc mitigée que je me retrouve la lecture finie. Ravie par ces deux contes, moins par les autres et d'une façon générale assez insatisfaite. Faut-il sous prétexte de contes destinés aux adolescents et aux jeunes adultes des contes obligatoirement noirs où tout finit mal (ou alors très étrangement)? C'est la question qui est restée sur mes lèvres.
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