La petite famille vit dans un village qui s'appelle Deux-Acren, en Belgique.
L'oncle a réussi dans l'hôtellerie, au Congo.
Patrice a été envoyé dès la primaire dans l'enseignement spécialisé.
Il a un coeur d'artichaut, tellement il admire la féminité des filles qui l'entourent.
Lors d'une soirée, il jette son dévolu sur Clara. Il est si poétique lorsqu'il parle d'elle et de ce qu'il ressent.
Il est tombé sous son charme, mais est-ce réciproque ?
Il nourrit un tel espoir, c'en est attendrissant.
Il semble complètement perdu face à la réaction de son amoureuse.
C'est dans ces longues balades avec son berger allemand qu'il trouve le réconfort dont il souffre cruellement.
Alors qu'elle l'attend sur le marché, il répète avec son groupe de musique leurs compos. Pour se faire pardonner, il chamboule son planning, c'est trop mimi.
Un vent de nostalgie emporte notre protagoniste dans son enfance lorsqu'il passait son temps chez sa mémé.
Joli présent qu'elle lui offre, je trouve.
Pourquoi tant de mystère sur son habitation et ses parents ?
Patrice tente d'assimiler ce qu'est le sexe...
J'espère que leurs emplois du temps respectifs ne vont pas trop les éloigner.
Serait-elle timide ? Ou a-t-elle honte de lui ?
J'apprécie le partage de ses questionnements et ses doutes.
Parfois l'ignorance fait moins mal.
Un amour d'ados à une époque où tout les séparait, quelle tristesse.
Son éducation l'a forgé en un être indépendant. Il a dû apprendre de ses erreurs afin d'avancer. J'approuve complètement !
Belle représentation du jeu du chat et de la souris.
Oh bah bravo ! Ca c'est la bourde du siècle ! MDR ! Cela signe la fin de l'idylle.
Une lueur d'espoir qui à mon avis va vite s'éteindre.
Il élabore des plans afin de la reconquérir.
Elle cherche du piment, sa maladresse l'incite à rester doux et sucré.
Bien sûr que j'ai rit lorsque Patrice explique un jeu belge, je ne l'ai pas expérimenté mais j'en ai vu les ravages XD
Malgré sa nouvelle vie de famille, il ne résiste pas aux retrouvailles de sa promotion. Il nourrit l'espoir de la revoir et d'avoir de ses nouvelles. Cette amourette paraît avoir le goût d'une histoire inachevée.
Sa romance avec Clara était tellement passionnelle à ses yeux, qu'il ne veut plus revivre cela.
Une perspective d'avenir s'offre enfin à lui.
Il semble se tranquiliser dans la routine de son nouveau train de vie.
C'est dingue l'impact que peut avoir, ou pas, un amour de jeunesse.
Patrice accepte de former les jeunes recrues, dont Ana.
Des souvenirs le percutent de plein fouet. La passion lui floute l'esprit.
Ils se fréquentent régulièrement en-dehors du boulot. Que ressent-elle ? Se fait-il des idées ?
Cette rencontre a été, pour lui, un éléctrochoc.
S'il pensait que c'était de l'histoire ancienne, le destin va en décider autrement.
Ce moment confidences avec son père m'attriste.
J'ai l'impression qu'il en avait besoin de cette nouvelle étape dans sa vie.
Ouh là, il est tendu Patrice, pour la rencontre entre Ana et ses parents.
L'amour lui donne des ailes, il finit même par se révolter. J'adore ça !
Patrice s'octroie une pause professionnelle dans son boulot de facteur. Percera-t-il ?
La peur le pousserait-il à reprendre son travail ?
Ana veut devenir assistante sociale, cela effraie notre héros, pourtant, il la soutient coûte que coûte.
Changement de direction à la poste, les conditions incitent notre protagoniste à changer d'horizon. Professeur de français ou ingénieur du son ? Pari risqué dans les débuts des années 2000, je trouve.
Il prend, à 43 ans, de l'assurance et son destion en mains, j'approuve. Vaut mieux tard que jamais.
Nouvelle réunion de sa promotion, cela va-t-il mettre de l'eau dans le gaz avec Ana ?
Le destin s'en mêle, il doit la recontacter. Que va-t-il arrivé ?
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A la lecture de ce délicieux récit, chacun se retrouvera sans doute dans son adolescence, un amour de jeunesse pas vraiment oublié, une confiance en soi relative menant à une vie conventionnelle toute tracée. Pourtant, une rencontre peut modifier le cours des choses , révéler votre potentiel, c'est alors que vous osez et que la vie prend tout son sens. Pour autant, certaines blessures cicatrisées peuvent se rappeler à vous... Tout ce qui fait une vie, les moments familiaux, premiers sentiments amoureux, les endroits fréquentés , sont ici joliment retranscrits et l'on peut s'y imprégner pour les vivre et les ressentir à notre tour. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre et je vous en souhaite autant.
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Petits, nous ne nous entendions pas du tout. Il avait ses copains et moi les miens. On cohabitait sans beaucoup faire attention l'un à l'autre. Je ne sais pas si quelque chose l'irritait chez moi mais chez lui, ce qui m'agaçait au plus haut degré, c'était sa modération. Il fallait toujours qu'il pondère, qu'il calme le jeu. Il fallait toujours qu'il peigne les choses en gris. Ça me mettait hors de moi ! J'avais envie de hurler ! Récemment, il m'a avoué être agnostique, ça m'a fait rire. Même et sans doute surtout, sur une question auss fondamentale , il est évident que mon frère ne peut pas avoir un avis tranché, lui qui après avoir cligné de son oeil gauche doit obligatoirement faire pareil du droit, lui dont le signe astrologique est balance. Un frère comme ça, ça ne s'invente pas
J'ai toujours été attiré par la féminité et ses mystères, son univers exotique, son monde interdit, ses courbes, sa douceur et sa chaleur, si bien que dès que je voyais une fille qui faisait un tant peu attention à moi, j'en tombais instantanément amoureux.
Maman n'avait pas la moindre chance. Son frère, Michel, de deux ans son aîné, avait terminé avec succès des études de pilote de chasse qu'il avait d'ailleurs achevées à Mesa, Arizona, tous frais payés par l'état belge.