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EAN : 9782823615982
128 pages
Editions de l'Olivier (09/01/2020)
3.98/5   23 notes
Résumé :
Il salive devant les produits alignés sur les rayons du supermarché. Il prie pour être le gagnant d’un jeu-concours organisé par une marque de nourriture mexicaine. Il adore lorsque les vigiles le palpent à l’entrée du magasin. Il se jette sur les distributeurs de friandises, les buffets en libre-service et les stands de dégustation.
Qui est-il, ce garçon qui sue à grosses gouttes et qui rit même quand on se moque cruellement de lui ? Pourquoi cherche-t-il la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Sous le coup d'une critique babeliote je me jette sur ce livre un premier roman d'un inconnu il paraît une pépite
Ah lala
Un garçon un peu simple d'esprit "vit avec sa mère" ne fait rien dans la vie erre dans les centres commerciaux traine dans le café du coin
Ah lala
Il aime se faire tripoter par des agents de sécurité se détend en suçant de la glace
Ah lala
Il rêve de Leslie ne rate pas la Matinée Mexicaine au Carrefour a toujours envie de faire un tour d'âne mécanique à deux euros
Ah lala
Il possède un DÉMON goulu dans le ventre qu'il doit souvent contenter au prix fort
transpire comme une nana ménopausée
Ah lala
Valérian Guillaume écrit en apnée sans ponctuations quel culot et ça marche
Ah lala
J'sais pas si j'ai aimé ou non mais pour être original c'est original j'sais pas quoi vous dire pas vraiment enthousiasmée n'en ai pas vraiment saisi l'intérêt m'a laissée un certain sentiment de malaise
Ah lala
Et si c'est ca la vision du monde de la jeunesse d'aujourd'hui
Ah lala

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Je consomme, donc je suis

Le premier roman de Valérian Guillaume tient en une phrase. Mais son originalité n'est pas seulement stylistique. Il nous entraîne dans un centre commercial où, à côté de tous les produits qui s'offrent à lui, il va tenter de trouver l'amour.

Une longue phrase pour une longue déambulation. le narrateur de ce roman au ton très original se promène dans les centres commerciaux, tue le temps en passant d'une boutique à l'autre : «Je me laisse voyager de produit en produit de boutique en boutique de vendeur en vendeur je n'achète que très rarement mais le plaisir de la découverte et de la connaissance est unique j'ai envie de tout savoir et pour ne pas manquer les opportunités je tente d'apprivoiser mon environnement un peu comme les chiens quand ils arrivent vers vous pour vous sentir et ça peut paraître idiot mais à chaque fois je sens que ça me fait du bien c'est comme des petits voyages mais faut y aller doucement car c'est bien connu les voyages ça creuse l'appétit». Des pérégrinations qui le mènent au Corner, le café où il croise Martine, la serveuse qu'il apprécie beaucoup et retrouve des connaissances. Reste l'une des attractions phare de ce temple de la consommation, la piscine. Un endroit qui devient en un instant magique, car il fait la connaissance de Leslie, la plus sympathique des caissières puisqu'elle va jusqu'à lui offrir un bonnet de bain afin qu'il puisse se baigner. de quoi tomber immédiatement amoureux!
Encore faut-il trouver un moyen d'engager la conversation, de se signaler. Trop tard, elle a déjà fini son service. Gontrand l'extirpe du coup de son rêve pour le ramener au Corner où s'échangent les potins, où se noient aussi les illusions. Quant aux intrépides et aux optimistes, ils y forgent leurs ambitions.
Oui, c'est décidé, il va prendre son courage à deux mains, offrir à Leslie les DVD de Feedjy school, sa série préférée et lui avouer son amour! Mais avant, il ne manquera pas la semaine mexicaine à Carrefour où il a bourré l'urne de ses bulletins de participation au concours pour tenter de gagner un voyage.
La déception de n'avoir pas remporté l'un des prix de cette belle animation commerciale sera estompée par le sourire de Leslie. Un sourire magique qui l'exalte, l'emporte, le transforme. Pourtant il ne peut rien contre les démons qui l'habitent, qui le font transpirer, qui le font pleurer, qui l'entrainent à se jeter sur la nourriture pour satisfaire leur énorme appétit.
En choisissant d'oublier toute ponctuation, Valérian Guillaume fait de ce premier roman un symbole de la boulimie consumériste, une logorrhée impossible à arrêter et qui va finir par tout engloutir, y compris cet amour pour lequel le narrateur aurait tout donné. On passe alors de la fantaisie au drame, des couleurs au noir. Un premier roman choc et un nouvel auteur à suivre!


Lien : https://collectiondelivres.w..
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Le lecteur est dans la tête d'un narrateur qui vit dans une cité, passe ses journées dans les boutiques du centre commercial qu'il connaît toutes par coeur, et est un peu simplet ; il prétend avoir un démon dans le ventre qui le force notamment à être boulimique. (Cette phrase de résumé trahit le livre car elle met des étiquettes - cité, simplet, boulimique - là où l'auteur se garde bien d'en mettre.) ● Le choc de ce premier roman profondément original, on l'éprouve déjà par son style inouï qui reproduit de façon inédite le flux de pensée du narrateur. Poétique et déstabilisante, cette écriture au style très parlé n'a jamais été lue ailleurs. L'absence de toute ponctuation, loin d'être une afféterie comme on pourrait de prime abord le penser, est parfaitement cohérente avec le projet de l'auteur. Les trouvailles poétiques abondent et l'ensemble du livre peut se lire comme un gigantesque poème en prose ; mais cela ne doit pas rebuter les lecteurs, car l'intérêt narratif est maintenu tout au long : on se demande en quoi consistent réellement les problèmes de ce personnage, ce qu'il en est de sa mère, comment va se terminer son histoire avec Leslie, comment vont évoluer ses relations avec les garçons qui le tourmentent, quelle est sa sexualité, comment va se terminer l'histoire. Il me semble que ne faire du narrateur qu'une métaphore de la société de consommation est réducteur, même si cette dimension est bien présente ; je crois que le livre va bien plus loin que cela et questionne la normalité et jusqu'au sens de l'existence. Une réussite complète.
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Ce court roman met le lecteur face à la bêtise humaine et à certaines réactions vis à vis des différences. Il met aussi le lecteur en face de notre société de consommation, en face des comportements addictifs et des difficultés à les gérer...C'est un livre marquant.

Tout le monde n'adhérera pas à ce style à base de phrases interminables mais qui donne réellement l'impression d'être immergé dans le cerveau du narrateur. Pour autant, les messages que l'auteur veut faire passer viennent bien percuter le lecteur de plein fouet.

On éprouve de la compassion pour le narrateur face à ses démons, de la colère face au comportement de certains protagonistes, de la tristesse aussi, parfois on rigole mais cela relève clairement plus du rire nerveux, on est révulsé également face au mauvais côté de notre société avec ce consumérisme à outrance. Certains passages peuvent paraître grotesques, burlesques, trop exagérés peut-être et pour autant cela existe (je ne citerai pas d'exemple pour ne rien dévoiler).

Un certain sentiment de malaise devrait saisir le lecteur à la lecture de ce roman car justement c'est un roman court mais très fort qui, avec son style particulier, interpelle le lecteur et le pousse a réfléchir sur des sujets ô combien importants.

Une vraie découverte et surtout un petit tour de force de l'auteur qui nous livre ici un véritable OVNI littéraire.
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Je viens de découvrir "nul si découvert" de Valérian Guillaume un roadtrip captivant dans le monde de la consommation, l'humain au coeur de cette machine qui nous ferait-elle devenir inhumain ? Je suis séduite par l'écriture singulière et poignante de ce jeune auteur, il a su instaurer directement sa "plume" et son style.
Ce livre nous fait passer par toutes les émotions et je vous assure, on n'en sort pas indemne.... plus qu'une révélation !! une évidence !!! je suis ravie d'avoir découvert cet auteur à suivre et " à consommer sans modération"
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Sur le chemin la lumière du jour baignait dans ma tête et je sentais mon humeur folle et j’étais fier car jusqu’ici je trouvais que je faisais ma journée dans l’ordre et dans le plaisir sans me tromper avec méthode tout à fait normalement une chose après l’autre je me sentais enfin prêt pour glisser vers l’inconnu et tout en sentant battre mon cœur à l’intérieur de ma peau je ne pouvais pas m’empêcher d’écouter le vent qui au-dessus des parkings remuait le ciel et c’est étonnant et bizarre de dire ça mais émotions-là me faisaient pousser comme une boule dans la gorge et c’était pas très pratique pour avaler la salive qui commençait je l’avoue à déborder partout autour alors là encore petite prière mais ça n’a pas marché tout de suite j’ai attendu trente secondes puis j’ai réessayé et cette fois-ci le miracle ça a fonctionné et très drôlement tout mon souci que je vous parle s’est stoppé et la lumière du ciel a changé c’est drôle c’est bizarre la vie autant quelquefois ça peut rien que d’autres fois si c’est dingue ça me rappelle comme des fois les oiseaux dans le ciel sont obligés de beaucoup remuer les ailes pour aller là où ils veulent et comme d’autres fois ils n’ont qu’à se laisser porter par les courants chauds du sentiment de l’amour qui est le sentiment suprême sur cette comme terre comme dans les cieux.
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Avec toutes ces idées qui me brûlaient le cœur je me suis dit qu’il fallait vraiment que je me bouge que je fasse quelque chose alors je suis parti au Corner voir s’il y avait quelque chose à voir et pour un jeudi matin c’est clair il y avait pas grand monde il y avait même carrément personne

J’ai dit bonjour à Martine et au sourd elle m’a demandé si ça allait et elle m’a donné un petit verre à sa façon pour me changer l’esprit

Depuis que Maman est morte c’est vrai j’avoue j’arrive plus trop à parler et puis j’ai tout le temps mal au cœur et puis je sais pas j’ai tendance à me projeter à m’imaginer des choses et j’étais pile en train de divaguer quand est entré le fils Pasquier avec son air du grand monde je me suis dit tiens lui ça fait un bout j’étais surpris de le voir parce que je me demandais où c’est qu’il était parti je savais seulement qu’il s’était retiré parce que monsieur étudiait monsieur fréquentait les hautes sphères de l’intelligence maintenant il revient ici pour aider sa sœur à faire le tri et les choses et finalement après avoir causé un peu il m’a raconté ses déboires avec l’existence humaine il m’a dit que c’était pas simple qu’il y en a une qui s’est barrée avec son gosse qui finalement n’est peut-être même pas le sien comme quoi ça sauve pas tout d’avoir eu le bac avec mention il a pris une goutte de William Peel et il s’est taillé il avait pas l’air super bien mais ça m’a quand même fait plaisir de le voir et puis surtout ça m’a diverti après ça j’ai donné un coup de main à Martine on a rentré les chaises parce qu’il commençait à pleuvoir j’en ai profité et je lui ai raconté un peu mes tristesses elle m’a dit que c’était normal va qu’à mon âge il fallait pas s’inquiéter avec les choses de la vie et que j’avais juste besoin de détente et de souffler puis elle m’a dit d’aller à la piscine parce que ça soulage les nerfs et elle m’en a remis un petit

Martine elle est pas croyable tant elle connaît les gens et les vérités
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En sortant des vestiaires je m’étais résolu à enclencher la phase finale de séduction […] je lui ai fait un sourire avec toutes les dents pour les lui montrer douces et blanches puis dans une danse du quotidien bras au ciel et pas à pas j’ai quitté la piscine mais au moment de m’engager dans les portes automatiques je me suis retourné et dans un éclat de gentleman je lui ai dit Leslie vraiment c’est un plaisir et elle d’amour a baissé les
yeux ce qui est un signe d’inclination amoureuse et je me suis éclipsé comme un mage aux multiples ressources et en vitesse car l’absence favorise l’amour Je ne sais pas qui sont les gens qui m’ont croisé ce jour-là mais sans aucun doute ils ont dû penser que j’étais complètement fou et c’est vrai je marchais ivre de tout et tous les trois pas j’effectuais un petit bond pour exprimer la joie dans laquelle mes passions versaient Tout était propice à remplir le ciel de mon amour Mon démon aussi était de mon côté et pour une fois me laissait tranquille je n’avais aucune voix aucune transpiration pour me nuire C’était le plus beau moment de toute ma vie
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INCIPIT
Avec toutes ces idées qui me brûlaient le cœur je me suis dit qu’il fallait vraiment que je me bouge que je fasse quelque chose alors je suis parti au Corner voir s’il y avait quelque chose à voir et pour un jeudi matin c’est clair il y avait pas grand monde il y avait même carrément personne
J’ai dit bonjour à Martine et au sourd elle m’a demandé si ça allait et elle m’a donné un petit verre à sa façon pour me changer l’esprit
Depuis que Maman est morte c’est vrai j’avoue j’arrive plus trop à parler et puis j’ai tout le temps mal au cœur et puis je sais pas j’ai tendance à me projeter à m’imaginer des choses et j’étais pile en train de divaguer quand est entré le fils Pasquier avec son air du grand monde je me suis dit tiens lui ça fait un bout j’étais surpris de le voir parce que je me demandais où c’est qu’il était parti je savais seulement qu’il s’était retiré parce que monsieur étudiait monsieur fréquentait les hautes sphères de l’intelligence maintenant il revient ici pour aider sa sœur à faire le tri et les choses et finalement après avoir causé un peu il m’a raconté ses déboires avec l’existence humaine il m’a dit que c’était pas simple qu’il y en a une qui s’est barrée avec son gosse qui finalement n’est peut-être même pas le sien comme quoi ça sauve pas tout d’avoir eu le bac avec mention il a pris une goutte de William Peel et il s’est taillé il avait pas l’air super bien mais ça m’a quand même fait plaisir de le voir et puis surtout ça m’a diverti après ça j’ai donné un coup de main à Martine on a rentré les chaises parce qu’il commençait à pleuvoir j’en ai profité et je lui ai raconté un peu mes tristesses elle m’a dit que c’était normal va qu’à mon âge il fallait pas s’inquiéter avec les choses de la vie et que j’avais juste besoin de détente et de souffler puis elle m’a dit d’aller à la piscine parce que ça soulage les nerfs et elle m’en a remis un petit
Martine elle est pas croyable tant elle connaît les gens et les vérités
On a un peu parlé du fils Pasquier évidemment elle se souvenait parfaitement de lui normal car Martine n’est pas de celles qui sont oublieuses elle vous verrait une fois ne serait-ce que vous reviendriez deux heures trois semaines vingt ans plus tard ce serait pareil qu’elle vous remettrait j’ai jamais vu quelqu’un qu’avait autant de mémoire d’ailleurs dès qu’il y a un truc c’est elle que les flics viennent voir pour demander tant elle sait tout sur tout le monde mais elle leur lâchera jamais le morceau c’est un être à qui on peut donner sa confiance aveuglément parce que d’une part elle ira jamais répéter et d’autre part elle viendra jamais juger qui que ce soit c’est pour ça que tout le monde l’adore c’est elle qui nous a vus grandir
On arrivait au bout de l’averse et le sourd s’est mis comme il le fait parfois à sauter en l’air de droite à gauche en faisant ses sons sa musique et rien que ça ben ça a fait rire Martine elle m’a demandé si j’avais pas faim je pouvais rester avec eux si je voulais mais je ne voulais pas gêner alors j’ai dit non merci et elle m’a dit que c’était pas bon de ne pas manger alors je lui ai dit que c’était pas ça mais que j’étais attendu pour le déjeuner alors elle a fait semblant de me croire parce qu’évidemment c’était pas vrai personne ne m’attendait Martine m’a dit qu’il fallait que je voie du monde alors j’ai dit oui et je me suis dépêché j’ai bu puis j’ai donné ce que je devais j’ai dit au revoir puis je suis sorti
Dehors la pluie s’était calmée mais le ciel tirait la gueule entre gris clair et gris foncé on ne savait pas ce qu’il voulait dire je ne savais pas tellement non plus où aller alors pour ne pas attraper froid j’ai suivi mes pas et j’ai fini par arriver sur le parking du Centre et c’est là que j’ai marché doucement vers les distractions et le contact humain
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qu’on n’a même pas besoin de sortir du Centre et que l’on peut y manger avant ou après avoir rempli son caddie alors bon pour l’entrée je faisais pleinement confiance à la sélection du moment qui proposait une assiette de deux belles tomates aux crevettes mais dans la queue des plats j’étais complètement stressé parce que j’arrivais pas à choisir entre le Tennessee rösti burger la pièce du boucher et le couscous aux trois viandes certes le couscous c’est chaleureux c’est oriental mais j’ai trouvé que les merguez étaient trop petites et sur le coup je dois bien dire que j’ai eu peur de me faire arnaquer pour le burger je redoutais qu’il n’y ait pas assez de Sauce Spéciale car j’aurais eu peur d’en demander en rab c’est pour ça que j’ai fini par opter pour la pièce du boucher garantie tendre que j’ai demandée bien cuite mais en allant chercher mon Pepsi au distributeur de boissons j’ai glissé sur une frite ce qui fait que je suis tombé sur le carrelage avec mon plateau dieu merci j’ai sauvé l’entrée qui ne s’est pas renversée mais on ne peut pas dire la même chose de mon morceau de viande qui a valdingué sur le carrelage à trois ou quatre mètres de moi je dois dire que j’ai trouvé tout le monde vraiment hyper gentil parce que personne n’a ri et y a même un très jeune monsieur Flunch qui m’a relevé et il m’a dit ça va et j’ai dit ça va il m’a pris par l’épaule jusqu’au buffet et il m’a rempli l’assiette d’un autre morceau encore plus gros puis il a demandé à sa collègue de lui passer les sauces barbecue et samouraï et avec les tubes il a réalisé un très joli cercle de sauce pour faire le pourtour de mon morceau ça faisait décoration d’assiette donc trop sympa déjà et de voir la gentillesse comme ça ben ça m’a ému en plus et pourtant c’est pas mon genre de dire ça comme ça mais j’ai pensé et je le pense encore d’ailleurs mais le garçon je dois bien le dire il était vraiment craquant et attentionné c’est rare aujourd’hui
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