AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Saga tome 2 sur 11
EAN : 9782365772570
145 pages
Urban Comics Editions (20/09/2013)
4.36/5   410 notes
Résumé :
Princes robots et trains dragons, mercenaires arachnides et chats détecteurs de mensonges, fantômes enfantins et vaisseaux végétaux… La diversité de la faune, de la flore et la richesse des thèmes abordés ont rapidement fait de saga la nouvelle référence comics de space fantasy. Du vertige de l’espace infini à l’intimité des querelles d’un jeune couple de parents, les auteurs vous invitent à découvrir un space opera épique, ambitieux et touchant.
Que lire après Saga, tome 2Voir plus
Descender, tome 1 : Etoiles de métal par Lemire

Descender

Jeff Lemire

4.12★ (951)

6 tomes

Drifter, tome 1 par Brandon

Drifter

Ivan Brandon

3.07★ (47)

4 tomes

R.U.S.T., tome 1 : Black List par Blengino

R.U.S.T.

Luca Blengino

4.02★ (90)

3 tomes

Deadly Class, tome 1 : Reagan Youth par Remender

Deadly Class

Rick Remender

4.26★ (545)

12 tomes

Lazarus, tome 1 : Pour la famille par Rucka

Lazarus

Greg Rucka

3.81★ (633)

8 tomes

Critiques, Analyses et Avis (49) Voir plus Ajouter une critique
4,36

sur 410 notes
5
29 avis
4
14 avis
3
5 avis
2
0 avis
1
0 avis
Avec ce deuxième tome, cette Saga de Brian K. Vaughan et de Fiona Staples poursuit sa route entre univers de science-fiction et moult créatures fantastiques.

Bien lancé par un premier tome rafraîchissant, avec une science-fiction classique mais efficace, et par un univers diablement peuplé de créatures aussi bizarres les unes que les autres, ce space opera influencé par énormément de références s'appuie de nouveau sur une narratrice pas comme les autres. En effet, nous suivons l'histoire du point de vue de l'héroïne, Hazel, fruit de l'amour d'Alana et de Marko. Et même si on nous délivre des informations précieuses sur les personnages avant le début de l'histoire, c'est toujours du fait de ce bébé destiné à représenter la paix entre deux peuples en guerre depuis des lustres.
Au niveau du scénario, il faut reconnaître la maîtrise de Brian K. Vaughan en la matière. Il utilise à plein les sentiments et les relations entre les personnages pour créer certaines scènes improbables ; ainsi, on réussit à s'attacher en seulement quelques cases aux pires personnages qui soient. de plus, ce deuxième tome démontre d'un très bon art du cliffhanger, constant sans être répétitif, et ce n'est pas ses années en tant que scénariste sur la série télévisée Lost qui démentiront le talent de Brian K. Vaughan en la matière (le cliffhanger final est peut-être le seul à être facile ou tiré par les cheveux). Enfin, l'alternance est subtile entre cruauté, violence, sexualité et humour plus ou moins fin selon les personnages concernés : il y a de tout ici et on ne s'ennuie jamais !
Enfin, du point de vue graphique, les dessins et les couleurs de Fiona Staples m'ont encore bien charmé. Non seulement elle ne s'embarrasse d'un style volontairement trop tape-à-l'oeil ou trop alambiqué comme beaucoup d'autres, mais doit en plus mettre en image toutes les créatures loufoques sorties de l'imaginaire de Brian K. Vaughan complété sûrement par le sien. le travail éditorial d'Urban Comics fait accompagner les chapitres 7 à 12 des meilleures illustrations de l'artiste.

Un deuxième tome largement aussi bon que le premier qui enrichit l'histoire et nous lie toujours mieux aux personnages rencontrés. le scénario efficace et mesuré, couplé à un dessin très agréable dans tous ses aspects, permet de ravir les passionnés de comics comme les novices du format. Une série à suivre sur la longue durée !

Commenter  J’apprécie          430
Voilà je termine le tome 2 de « Saga » et force est de constaté que le plaisir est aussi présent qu'a l'issue du premier.
Les aventures spatio-temporels de la petite Hazel et de ces parents Alana et Marko sont une nouvelle fois aussi passionnantes que prenantes. le scénario de Brian K. Vaughn ne se relâche jamais, les personnages forts bien décrit sont complexes et profondément attachants.
Le combat d'Alana et Marko pour faire triompher leur amour est le coeur de la série, mais l'on découvre aussi d'autres personnages qui renforcent l'intrigue et notre plaisir : les parents de Marko notamment (les scènes entre Alana et son beau-père sont très réussies), un écrivain cyclope ou encore les chasseurs de nos fugitifs. Tous nourrissent l'histoire sans dénaturer l'efficacité du récit. Et que dire des graphiques de Fiona Staples vraiment magnifiques, en parfaite harmonie avec le travail de Vaughn. Une galerie de créatures impressionnante et bluffante.
Une saga qui devrait voir ces troupes de fans grandir au fil des tomes tant l'inventivité de Vaughn et Staples font merveilles. A ne pas rater pour les fans de ce genre. Et pour les autres aussi, j'en fais parti.
Commenter  J’apprécie          420
Ce tome fait bien sûr suite à Saga tome 1 (épisodes 1 à 6). Il contient les épisodes 7 à 12, initialement parus en 2012/2013, écrits par Brian K. Vaughan, dessinés, encrés et mis en couleurs par Fiona Staples, avec un lettrage de Fonografiks. Il vaut mieux avoir lu le premier tome avant de commencer celui-ci.

Le récit s'ouvre par un petit retour en arrière sur les convictions de Barr (le père de Marko) vis-à-vis de la guerre entre Landfall et Wreath, avec des commentaires d'Hazel (la fille d'Alana et Marko). Puis il reprend son cours au présent, à bord du vaisseau spatial où Alana fait connaissance avec ses beaux-parents qui découvrent leur petite fille. Marko et Klara (sa mère) se téléportent sur une autre planète à la recherche d'Izabel, pendant que Barr et Alana restent en tête à tête pour briser la glace. Il y a 2 ou 3 retours en arrière pour montrer dans quelles circonstances Alana et Marko ont fait connaissance, et l'importance du livre "A night time smoke" de D. Oswald Heist dans leur relation. Pendant ce temps là, Gwendolyn se fait fort de remettre The Will au travail, alors qu'il continue de s'inquiéter pour Slave Girl qu'il a laissée sur Sextillion.

Dans le premier tome, le lecteur découvrait un univers très riche, dans une narration au croisement de plusieurs genres : science-fiction, magie, horreur, et comédie romantique. Vaughan et Staples continuent de construire le récit sur ces bases très ouvertes.

Du point de vue de la science-fiction, ils poursuivent leur numéro d'équilibriste entre concepts innovants et imaginatifs, et approche second degré. Dans ce deuxième registre, il y a toujours ces individus avec un écran moniteur à la place de la tête (qui affiche parfois des choses inattendues, telle celle apparaissant sur la tête de Prince Robot IV au début de l'épisode 12). Il y également cette entité qui a la forme d'un cerveau hypertrophié rose avec des tentacules, qui flotte dans un liquide dans un cylindre en actionnant des leviers de commande (épisode 8). le bébé phoque anthropomorphe vaut également le déplacement (épisode 12), établissant que l'approche conceptuelle des races extraterrestres par Fiona Staples refuse de se conformer aux clichés en vigueur dans ce genre. Mais d'un autre côté, Vaughan et Staples continuent à tirer partie des spécificités du vaisseau spatial d'Alana et Marko, qui sort de l'ordinaire. C'est ainsi que le vaisseau communique par le biais de couleurs (pour indiquer un danger imminent), ou qu'il est tellement inhabituel qu'Alana finit par se demander si la pièce où elle se trouve est la salle des machines ou le cellier.

Toutefois l'intérêt principal du récit ne réside pas dans ces composantes de science-fiction très personnelles. Comme dans le premier tome, l'horreur se tapit au coin de la page. Elle peut prendre une forme déjà rencontrée (l'apparence toujours aussi dérangeante d'Izabel, la baby-sitter d'Hazel), ou la morphologie d'un nouveau monstre (une sorte de géant difforme affligé d'une éléphantiasis des testicules d'autant plus repoussante qu'ils pendouillent à l'air libre). Fiona Staples a choisi une approche graphique remarquable d'intelligence pour rendre compte de cette dernière horreur. Elle ne s'attache pas à l'exactitude photographique, mais plutôt à l'impression générale que peut provoquer cette difformité. de près, les traits représentent vaguement ce qu'il en est ; avec un peu de recul l'impression produite devient insoutenable. Il peut donc s'agir d'une forme d'horreur très visuelle (un soldat dont le corps explose), ou plus psychologique (la prostitution infantile).

Là encore, la composante horrifique n'écrase pas les autres et c'est un vrai plaisir de retrouver ces personnages si attachants, faillibles et touchants. Il serait facile de ne s'attarder que sur la composante sexuelle des relations d'Alana et Marko (usage très original des cornes de Marko, épisode 11). D'autant que Vaughan et Staples n'ont pas peur d'être explicite, en mots comme en images. Il y a donc cette fellation très inattendue en début de chapitre 12, les testicules d'un monstre (épisode 8), mais aussi les commentaires de Marko sur le fait qu'il ne se soit pas retiré avant d'éjaculer, ou les commentaires d'Hazel (jeune enfant) déclarant que ses parents ont eu des relations sexuelles. le savoir-faire et la sensibilité des auteurs font que ces moments sont naturels : il ne s'agit pas d'un dispositif pour choquer ou racoler, pour conserver l'attention du lecteur. C'est un aspect de leur histoire parmi d'autres, tout aussi émouvants, touchants et parlants. En fonction des séquences, le lecteur pourra apprécier le caractère de Marko qui préfère établir un contact et communiquer d'abord, plutôt que de commencer par frapper et discuter ensuite (et ce n'est pas parce qu'il manque de puissance physique ou plutôt magique). Il découvrira ce qui a révélé l'amour que se portent Alana et Marko, et que cet amour n'est pas aveugle ou idéalisé (Alana a conscience des défauts de Marko, et elle ne supporte pas son habitude de rire à ses propres blagues).

Les relations mises en scène par Vaughan et Staples ne se limitent pas à épingler ou retranscrire de petits travers, ou des moments d'intimité fragile, elles évoquent également des aspects plus complexes tels que les relations entre parents et enfants (une prise de conscience touchante quand Klara se rend compte que son fils a continué d'apprendre après être devenu indépendant). Les auteurs réussissent à évoquer l'incidence des différends de la génération précédente (et même un peu plus que des différends puisqu'il s'agit d'une guerre) sur la génération d'après qui se retrouve à devoir vivre dans le cadre contraignant des haines héritées de leurs parents. Comme dans ses séries précédentes (Y le dernier homme et Ex Machina), Vaughan insère un élément venant expliciter sa démarche de scénariste. Ici, il est possible de voir dans l'usage du livre fictif "A night time smoke", un commentaire sur l'importance des ouvrages de fiction. En particulier, Vaughan insiste sur la valeur métaphorique de cet ouvrage, et sur le partage qui en découle entre Alana et Marko, un partage d'idées, un développement individuel sur la base d'un même ouvrage, ensemble, ce qui les rapproche, ce qui leur révèle des atomes crochus, une façon de voir la réalité assez semblable.

À nouveau, ces éléments de réflexion, d'introspection ne constituent pas la composante essentielle du récit, n'écrasent pas les autres. En particulier, ce tome représente aussi une lecture très drôle. Alana a conservé son franc parler, quitte à froisser le père de Marko, Gwendolyn traite Mama Sun de Mama Cellulite pour un effet des plus cocasses, les réparties de Lying Cat (détecteur de mensonge incarné sous forme féline) font mouche à chaque fois en mettant à nu l'hypocrisie d'un interlocuteur, et Staples n'est pas en reste avec cette apparition ectoplasmique qui fait un doigt d'honneur discret.

L'aspect purement graphique du récit s'est amélioré par rapport au tome précédent. Staples se montre plus habile et sophistiquée dans sa façon de dessiner les éléments les plus extravagants du scénario (oui, je pense encore à ces testicules), ou les plus malins. Vaughan s'amuse à montrer que les personnages ne parlent pas tous la même langue (certains parlent bleu, littéralement, c'est-à-dire que le texte dans le phylactère est écrit en couleur bleu). Staples a amélioré en particulier sa conception des arrières plans, et son dosage entre leur aspect détaillé, ou leur caractère flou comme si la mise au point était mal faite. Elle a atteint un point d'équilibre où son travail à l'infographie présente le bon niveau d'information visuelle en fonction des nécessités de la séquence. L'encrage n'est utilisé que pour détourer les silhouettes des personnages, pas pour les décors. Ces derniers sont représentés directement à la couleur, les différentes teintes permettant de distinguer une forme d'une autre, de figurer les variations de luminosité et d'installer une ambiance spécifique par l'usage de plusieurs nuances d'une même teinte. Par l'utilisation de couleurs identiques, elle peut ainsi évoquer rapidement le décor détaillé de la case précédente par quelques aplats géométriques, en focalisant l'attention du lecteur sur les personnages au premier plan, établissant ainsi une hiérarchisation de l'information visuelle.

Avec ce deuxième tome, Brian K. Vaughan et Fiona Staples intègrent harmonieusement toutes les composantes de leur récit dans une narration riche, originale, élégante et très personnelle. Vaughan prouve qu'il a progressé en tant que scénariste, ses 2 précédentes séries souffrant un peu de l'alternance systématique de parties portées soit plus par l'intrigue, soit plus par une thématique (l'exercice du pouvoir et ses responsabilités, ou la place de la femme dans la société). Staples a également progressé dans sa maîtrise de l'outil infographique pour des planches mieux équilibrées, plus sophistiquées sans être surchargées, plus efficaces et tout aussi séduisantes.
Commenter  J’apprécie          90
Second tome de la série Saga. On retrouve nos personnages là ou on les avait laissé a la fin du premier volume, avec l'apparition des grands parents de la petite Hazel. Ces deux nouveaux personnages assez différents l'un et l'autre, vont permettre a nos deux héros de se développer un peu plus. Ici, contrairement au premier volume, on est plus dans la découverte des personnages, avec notamment quelque flash-back qui nous racontent la rencontre des parents d'Hazel.

On va également continuer l'aventure avec le chasseur de prime, ainsi qu'avec le robot prince.

Beaucoup d'action, un zeste d'humour, du gore et du sexe, et voilà comment on passe une superbe lecture avec ce deuxième tome !
Commenter  J’apprécie          310
Alana et Marko sont toujours dans l'arbre-vaisseau mais ils ont de la visite… Pendant ce temps, le Testament essaye de récupérer la fillette-esclave de la planète Sextillion. Hazel est encore un bébé mais c'est elle qui nous raconte l'histoire de ses parents. Elle revient même au moment de leur rencontre pour qu'on puisse savoir comment est né leur idylle.
Quand un premier tome est aussi réussi, on craint pour la suite. Sera-t-elle à la hauteur ? C'est oui, le scénario est toujours aussi magique, des réparties cinglantes, des personnages toujours aussi originaux (je vous laisse découvrir ça sachant que certaines créatures pourraient dégouter vos chastes yeux), un scénario qui tient ses promesses. Qu'est-ce qu'on pourrait lui reprocher ? Trop vulgaire ? oui c'est vrai mais jamais trop. Une histoire d'amour de l'espace savamment orchestrée par Vaughan et Staples. Bref, c'est génial, il faut que je trouve la suite. Vite, le 3 !
Commenter  J’apprécie          290


critiques presse (3)
Très bien écrite par Brian K. Vaughan, bourrée d’humour et de tendresse tout en étant très inventive et en mixant brillamment les genres, l’histoire de Saga est une vraie petite pépite de “space fantasy”, tant les deux genres sont intimement liés, et s’entremêlent ici avec réussite.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Bedeo
16 octobre 2013
Après ce second opus prometteur, on est plus qu’impatient de lire la suite, surtout après le final qui nous est proposé
Lire la critique sur le site : Bedeo
Sceneario
28 août 2013
Au travers de cette série on retrouve donc tout ce qui constitue les grandes qualités de ce scénariste, cette façon de caractériser avec beaucoup d'adresse ses personnages, de tisser entre eux un canevas très subtil et surtout cet art de construire une trame très porteuse, avec un vrai fond social, tout en étant finalement assez simple et claire.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
- J’ai toujours voulu appeler mon fils Barr.
- Comme un bistrot ? Comme un poisson ?
- Mon père s’appelle Barr.
- Oh. J’adore ce prénom !
À cet instant, ma mère a prié de toutes ses forces pour que leur premier-né soit une fille.

Commenter  J’apprécie          420
Barr: Je veux passer ce temps à faire ce qui me plaît pour les gens que j'aime le plus.
Alanna: Mais... vous ne me connaissez même pas.
Barr: Peut-être pas, mais dieu que vous parlez dans votre sommeil. Il est clair que vous aimez beaucoup mon fils.
Alanna: ça n'a pas toujours été le cas.
Barr: Ah?
Alanna: Au début, il m'agaçait profondément. Marko est parfois un connard prétentieux, il ne sait pas comment rester en place, et pire que tout, il rit à ses propres blagues.
Barr: Alors pourquoi avez-vous tout risqué pour être avec lui?
Alanna: Parce que votre fils est beau comme c'est pas permis.
Barr: Ah. Je vous assure que les rides n'épargnent personne.
Alanna: Oh, je sais. Je ne parlais pas de son apparence.
Commenter  J’apprécie          100
Papa m'a dit un jour qu'une rupture, c'est comme une bataille. En général, il y a des débats collatéraux. Quand d'anciens amants se battent, des innocents sont pris entre deux feux. La fin d'une relation à long terme est si destructrice qu'elle peut avoir un impact sur des amis, des collègues, des gens qu'ont n'a jamais rencontrés. Mais c'est le côté positif des dommages collatéraux. Par définition, ils sont totalement secondaires par rapport à la mission. Tant que les vainqueurs sont ceux qui doivent l'être, qui se soucie de ceux qui ont souffert dans la mêlée. Pertes acceptables, etc.
Commenter  J’apprécie          90
Je sais que ça ne sera pas facile, mais existe-t-il plus beau symbole de paix qu'un enfant issu de nos deux peuples ?
Un enfant n'est pas un symbole, c'est un enfant ! Il lui faut de la compote et un parc et une brouette d'autres choses qu'on ne peut pas avoir tant qu'on est en fuite !
Commenter  J’apprécie          110
N’oublie jamais. N’oublie jamais les innombrables héros qui ont tant sacrifié. Et plus important, n’oublie jamais ces maléfiques enculés avec leurs ailes.
Commenter  J’apprécie          210

Lire un extrait
Videos de Brian K. Vaughan (37) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Brian K. Vaughan
Paper Girls - Bande-annonce officielle I Prime Video
autres livres classés : comicsVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (762) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz

Comment les émotions des personnages sont-elles retranscrites ?

Grace aux expressions du visage
Grace aux bulles
Grace aux cartouches
Grace aux mouvements

5 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : The Private Eye de Brian K. VaughanCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..