Textes dont j'avoue que j'ignorais l'existence.
Auto-ironie, sans trop de cruauté, joliesses de style par moment, mais le plus souvent fermeté. Portraits rapides et incisifs. Critique sociale surtout dans les deux textes concernant les hôpitaux, et bien entendu pages qui sont le récit de la conversion qui a amené "
sagesse".
Intérêt pour ce qui est dit, et plaisir, presque toujours, des mots.
Le plus émouvant, le meilleur, à mes yeux, étant le second des textes : "Chroniques de l'hôpital"