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Lastman tome 1 sur 12
EAN : 9782203047730
216 pages
Casterman (13/03/2013)
4.1/5   308 notes
Résumé :
Adrian Velba, 12 ans, va enfin participer au grand tournoi annuel d'arts martiaux de la vallée des rois. Hélas, à quelques heures de la clôture des inscriptions, son partenaire le lâche, alors qu'il faut être deux pour concourir. In extremis surgit un curieux inconnu, Richard Aldana, qui propose à Adrian de combattre ensemble. Méfiante, Marianne, la mère d'Adrian, donne son accord du bout des lèvres... Projet innovant, conçu pour déborder du cadre de la seule bande ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (52) Voir plus Ajouter une critique
4,1

sur 308 notes
Il était une fois trois artistes français de talent et de passion qui au bord de l'océan de l'impossible invoquèrent ensemble les dieux du chaos pour ressusciter l'esprit des années 80/90... Depuis c'est boostés aux zygomatiques et à l'adrénaline, à l'épique et au tragique qu'ils roulent à toute berzingue sur l'autoroute de la supracoolitiude, zigzagant entre l'over the top et le too much pour éviter le WTF pour dépasser la condition de Série B... Et ces fous on en plus réalisé tout cela en suivant le mode de production japonaise puisque la saga a été chapitré de mains de maîtres pour offrir aux lecteurs 20 pages par semaine sur le site Delitoon (il paraît même que la publication de "Lastman" au Japon aurait créé là-bas une faille spatio-temporelle ^^) : bénis soient Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès d'avoir crée ce manga français addictif pour nous faire partager leur imagination décomplexée !
https://gfycat.com/fr/gifs/detail/CelebratedHarmlessAbaloneitemid=9224646

Alors que Paxtown métropole polluée,encombrée et corrompue tente de s'élever vers la lumière, de l'autre côté du miroir la Vallée des Rois terre de merveilles s'enfonce elle dans les ténèbres... Si la Vallée des Rois est le seul vrai monde que tous les autres n'en sont que des ombres (remember "Les Princes d'Ambre" de Roger Zelazny ^^), alors pourquoi les liens de causalité ont-ils été renversés tandis que disparaissent les murs de la réalité ???
Dans une Portal Fantasy complètement déjantée tout le monde accuse Richard Aldana le roi de la punchline qui emprunte autant à Bébel et Stallone qu'à Ryo Saeba et Bruce Willis d'avoir créé tout ce merdier en volant dans la Vallée des Rois la Coupe des Champions, mais c'est loin d'être le premier à avoir franchi les barrières entre les dimensions... Mais quand tout cela a-t-il vraiment commencé ? Quand un jeune branleur a promis à son mentor mourant de veiller sur sa fille adoptive hôte d'un dieu-démon plein d'ambition ? Quand un apprenti sorcier de Paxtown a invoqué de l'éther les démoniaques Roitelets ? Quand le Roi Théodore a créé la Garde Royale pour chasser les ténèbres de la Vallée des Rois ? Quand les seigneurs de la Vallée des Rois ont vendu leurs âmes au diable pour acquérir le pouvoir de vaincre la mort ? Et après tout la fin des mondes a peut-être commencé quand l'avatar noir de Dame Iguane a orchestré la rencontre du plus grand sorcier de la terre et de la plus grande guerrière de la Vallée des Roi... Et si Adrian Velba était Luke Skywalker ? Et si Richard Aldana était Obi-Wan Kenobi ? Je continue de foncer sur l'autoroute de la supracoolitude avec Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès ! Oh Yeah !!!

Je vous laisse aller consulter les critiques presse hors-sujet avec le temps et l'espace qui ont mis dans l'embarras bien des libraires et des bibliothécaires en ayant rien compris du tout au gros délire des auteurs qui passent à la moulinette Eugène Sue et Gustave le Rouge pour piocher à coeur joie chez Steven Spielberg, Quentin Tarantino et John Carpenter avant d'emprunter à "Dragon Ball", "Narnia", "City Hunter", "Ranxérox", "Robocop", "X-Files", "Die Hard", "Demolition Man" avec dans le rétroviseur "Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin" et "Les Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8ème dimension"... (la liste des références et des inspirations est sans fin, sans parler d'un naming complètement issu des actrices aux poitrines les plus conquérantes de la culture pour adultes ^^)


Tout commence avec ce tome 1 dans le royaume médiéval fantastique des souverains Virgil et Efira (humour évidemment ^^), et nous suivons le jeune Adrian Velba qui veut absolument participer au grand tournoi d'arts martiaux local (héritage "Dragon Ball" ^^)… Mais les combats se faisant obligatoirement en équipe il faut être deux pour pouvoir y participer, et pas de chance pour lui son binôme déclare forfait au tout dernier moment ! C'est là qu'entre en scène Richard Aldana, un mystérieux aventurier venu d'on ne sait où qui veut absolument participer à ce tournoi quitte à s'associer à notre jeune héros… Et au premier tour, ils rencontrent les terribles frères Soares (sosies des frères Bogdanov ^^) !
Comment résumer ce tome 1 concocté par le trio Balak, Salanville, Vivès ? C'est un peu un gros revival eighties sur fond de « mais qu'est-ce que je vais foutre dans un shonen nekketsu magique ? »... L'anti-héros pro de la stonba et adepte du virilisme présente des faux-airs de Corto Maltese en version badass, alors que le héros ado présente des faux-airs de Petit Prince tout en ambitionnant de devenir un nouveau Chuck Norris ! Pour les chaperonner Marianne Velba, french beauty époque Brigitte Bardot / Jane Fonda, qui n'a aucune confiance dans ce mystérieux baroudeur venu d'ailleurs (parce qu'elle sait bien plus long qu'elle ne veut bien le montrer : préparez-vous à une avalanche de twists et de révélations car SPOILERS EVERYWHERE !). Les auteurs laissent clairement entendre que Richard Aldana vient d'un autre monde, ce qui va rapidement nous amener de manière complètement déjantée vers les terres de la Portal Fantasy ! ^^

Les dessins sont certes déroutants de prime abord, mais le découpage est remarquablement fluide ! Toutefois si ça se lit très bien et très vite, je reste persuadé que la couleur aurait été un meilleur choix que le noir et blanc… Après j'ai aussi du mal à cerner le public cible de cette série car si on joue avec les classiques du shonen, le ton, l'humour et les références sont assez adulte finalement.
Lien : http://www.portesdumultivers..
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J'ai remarqué cette BD (manga ?) chez mes beaux-parents. Intriguée de la trouver en ce lieu, j'ai jeté un coup d'oeil aux premières pages. Les dessins ont des traits fins, ressemblent moins à ceux de mangas comme ce que j'aurais pu croire avec l'image de couverture. L'histoire m'a vite captivée : Adrian, un jeune garçon qui va participer pour la première fois au tournoi d'arts martiauxdoit finalement renoncer. Son partenaire est malade. Heureusement, Richard Aldana, un homme sorti de nulle part prend la place de son ex-coéquipier.
Beaucoup aimé ! Un tournoi avec des participants ayant quelques pouvoirs (boules d'énergie, flammes), mélange de jeunes et adultes. Les juges avec leurs tenues et gestes sont très étranges. Je ne sais pas où se passe cette histoire, dans un passé, dans un monde alternatif ? Richard Aldana semble ne rien connaitre de la culture ou des règles de combat et se rapproche par sa connaissance d'un homme connaissant le monde moderne. J'aime beaucoup la description des personnages : Adrian très motivé, sa mère très protectrice et Richard, homme assez rude.
Hâte de lire la suite avec un évènement qui semblait assez improbable, que me réserve la suite ?
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Voilà un manga vraiment sympa pour commencer l'année tranquillement

Adrian, garçon de 12 ans, a hâte de pouvoir s'inscrire au grand tournoi annuel de combat, parrainé par le roi Virgil et la reine Efira. Après une année passée à s'entraîner dur au sein de l'école de maître Jansen, il ne souhaite qu'une chose : se mesurer aux meilleurs. Hélas, son partenaire déclare forfait (il faut, en effet, être deux pour participer) à la dernière minute, suite à une indigestion de raclette. Heureusement, un mystérieux étranger, Richard Aldana, bien décidé à s'inscrire, débarque en ville et propose au jeune garçon de faire équipe. Pleine de méfiance, la mère d'Adrian donne son accord, mais surveille Richard de près.

Last Man est une bd très rythmée, qui se lit très bien et qui a, selon moi, deux atouts majeurs (en tout cas ce premier tome)

-le dessin, qui peut dérouter dans un premier temps. Il ne fait pas forcément manga dans l'esprit mais il s'avère très subtil, tout en nuances de gris et très dynamique et lisible lors des scènes de combat.

-les personnages : si cette histoire de tournoi d'arts martiaux, dans un monde qui est imaginaire (bien que Richard semble venir d'une réalité plus conforme à la notre, un aspect qui sera surement exploité ultérieurement) est un poncif du manga, les personnages sont bourrés de références européennes, ce qui fait de cette bd un cocktail savoureux :
Richard est un mix entre Corto Maltese (pour le côté aventurier) et Bruce Lee, Adrian une fusion entre le Petit Prince et Chuck Norris et sa mère est un hommage évident à Brigitte Bardot (du temps de sa splendeur hein !). On croise même des clones des frères Bogdanov (là, les auteurs avaient fumé le tatami).

Bref, une agréable surprise qui, j'espère, sera confirmée par les tomes suivants.
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Lastman reprend les codes du manga : un tournoi d'un sport de combat avec utilisation de la magie est organisé, un jeune enfant rêve d'y participer pour la première fois, un étranger taciturne vient y participer. Il y a une académie de ce sport. L'univers mélange fantasy et science-fiction d'une façon qui n'a pas peur des incohérences, on mélange les époques juste pour l'exotisme qu'elles apportent. Les personnages jouent sur lee stéréotype du manga, le héros taciturne, l'enfant qui n'a aucune chance et qui va pourtant crever l'écran, le femme belle au caractère fort, et quelques personnages secondaires qui tombent dans le ridicule…
Le format du livre est petit, proche du A5, en noir et blanc avec un trait minimaliste. le style de Bastien Vivès diffère quand même du style manga, économe par la quantité, les pages restent d'une dominante blanche,on retrouve les stéréotypes pour les personnages, comme les grands yeux pour les femmes et les enfants, mais le style est plus naturaliste, les postures et les silhouettes sont étudiées avec un réalisme naturel assez différent de l'académisme du manga, et le coup de pinceau, la manière de poser le trait est plus naturelle et donc plus expressive et plus vraie. J'aime beaucoup le dessin de Bastien Vivès, très marqué par l'observation et s'attachant à l'essentiel, ce qui lui donne une forte instantanéité.
Il y a aussi un aspect “Pulp” qui dénote avec le manga, le petit garçon va perdre de son innocence, le scénario nous offre quelques moments bien crus, et le côté rituel des combats, cher aux mangas, est plutôt tourné en dérision.
Lastman fait du manga en s'en moquant légèrement, et ça, c'est plutôt pour me plaire.
Enfin, l'histoire est mouvementée, dynamique, les combats sont assez épiques, à la manière du combat sabre contre fouet dans Indiana Jones, il y a de l'humour et du second degré.
Voici donc un premier tome qui m'a vraiment emballé, pourtant le thème serait plutôt du genre à me rebuter, une bonne surprise qui me donne envie de me précipiter sur la suite.
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Le rêve du jeune Adrian est de remporter le grand tournoi annuel pour aider sa mère à subvenir au quotidien. Mais pour pouvoir participer il faut être une équipe de deux joueurs et les espoirs d'Adrian s'effondrent lorque son coéquipier est porté malade. Heureusement arrive un homme, Richard Aldana, surgit de nulle part qui lui propose de remporter ensemble la coupe. le problème est que ce dernier ne semble même pas connaître les règles du jeu...

Une livre qui ressemble à un manga par son format médium et sa graphie en noir et blanc mais qui se lit comme une bande dessinée. le graphisme est moderne, loin des personnages souvent clichés du manga japonais, il mélange nonchalance pour les décors et détails significatifs du monde décrit. La couverture n'est pas très attirante mais il faut absolumment ouvrir ce livre !


Le contenu est tout aussi original. A la manière d'un conte il nous emporte. le monde est centré sur un village de type médiéval mais le tournoi introduit de la magie et tout indique qu'Aldana vient d'un futur proche de l'époque de la notre. le centre du récit est formé par les combats pour remporter la coupe mais on sent que l'intérêt principal est ailleurs. le lecteur de tout âge ressort intrigué par les nombreuses énigmes et fasciné par le héros. Les auteurs de cette réussite sont français. Vite, vite la suite !



Lien : http://cdilumiere.over-blog...
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critiques presse (11)
Syfantasy
22 juillet 2021
Last man est une belle histoire française servie par un dessin très cash et sans fioriture qui nous immerge totalement dans l’histoire. Histoire qui se rapproche des codes du shônen japonais, tout en mixant fantasy et science-fiction dans un cocktail détonnant et très humoristique !
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Bedeo
02 janvier 2014
Un plaisir court mais intense qui nous tient en haleine de part le très grand nombre d’interrogations qu’il laisse en suspens.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Auracan
14 juin 2013
Graphiquement, Lastman est un petit bijou en scènes d’action. Avec un trait pur, les auteurs collent au style manga. Les personnages attachants fascinent.
Lire la critique sur le site : Auracan
Du9
13 mai 2013
Drôle de mélange donc que Lastman, véritable bande dessinée pour adultes qui s’accoutre des couleurs flashy [...] visant les pré-ados, véritable œuvre d’auteur qui se pare des artifices de la culture populaire, échouant vraisemblablement à séduire sur la durée les uns et les autres.
Lire la critique sur le site : Du9
BulledEncre
02 mai 2013
Une fois que vous aurez mis le nez dedans, vous ne relèverez la tête qu’à la dernière page sans vous en rendre compte. Les auteurs sont jeunes mais leur maîtrise de l’art séquentiel et le trait, épuré au maximum, qu’ils utilisent, frappent fort et juste.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Actualitte
24 avril 2013
En deux mots, « Lastman » se dévore sans effort et semble bien parti pour rencontrer un engouement phénoménal auprès d'un très large public.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LeMonde
05 avril 2013
Petit génie de la bande dessinée tricolore, Bastien Vivès a placé la barre très haut pour Lastman, un "manga européen" dont le premier tome vient de paraître.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Sceneario
22 mars 2013
On a ainsi un trio habitué à des techniques graphiques très rapides, sur leur Cintiq, qui maîtrisent parfaitement la narration très enlevée et fluide, qui se sont nourris aux jeux, aux bd de combats, mais surtout qui veulent développer un "produit" efficace, avec un rythme de publication assez soutenu, qui puisse ensuite se décliner.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
15 mars 2013
Les trois auteurs bâtissent tranquillement un univers plaisant et dynamique [...] même si le petit format impose quelques redondances et un certain systématisme dans les cadrages et le découpage.
Lire la critique sur le site : BoDoi
LaPresse
13 mars 2013
La série Lastman est un nouvel ovni dans la BD franco-belge, qu'elle veut bousculer en adoptant le rythme trépidant des mangas et en se déclinant sur le web ou en jeux vidéo.
Lire la critique sur le site : LaPresse
BDGest
12 mars 2013
Les trois compères livrent un modèle d’album truffé de séquences débordant de punch, où le détail n’apparaît jamais comme une fin en soi, ce qui ne veut pas dire qu’il soit systématiquement exclu.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- J’ai pas réussi à gagner un round depuis le début.
- C’est normal, Adrian, tu te bats comme une quiche.
- Une quiche ?
- Avant de penser à gagner des matchs, y’a un truc que tu pourrais faire. Déjà d’une, tu vas arrêter de te plaindre parce que ça me gonfle. De deux, il va falloir te mettre dans le crâne qu’on est sur un ring et plus dans les jupes de maman. Et de trois, désolé de te le dire mais tu fais 1m20, tu pèses 30 kilos, donc contre des mecs taillés comme des bœufs… c’est difficile… Mais si tu écoutes, je pourrai te donner 2, 3 clés pour pouvoir t’en sortir.
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- Penses à pourquoi tu te bats ! Tes objectifs ! Les femmes, l’argent, la gloire, l’envie d’être le meilleur ; je sais pas moi… Cherche. Et une fois que t’auras trouvé, là tu pourras commencer à te battre.
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_Regarde moi, je vais te montrer. Vas y, attaque moi
_Hummm, Shaii
_Dans un premier temps, tu vas arreter ca tout de suite
_Ah?! Mais c est l appel de l esprit des arbres!
_Alors les arbre, ca pousse, ca fait des fruits, tu fais pipi dessus, c est joli tout ca..Mais pour le combat ca sert a rien.
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p.182.

Marianne à Richard Aldana :

Si vous lui faites du mal, d’une manière ou d’une autre… Si vous essayez de l’entourlouper, de l’utiliser… En piétinant ses sentiments comme une enflure d’égoïste… Il n’y aura pas un seul endroit au monde où vous pourrez vous cacher. Je vous trouverai et je vous botterai vos jolies petites fesses, c’est compris ?
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- tu sais, Adrian, avant qu'on commence le tournoi j'voudrai te poser une question.
- de quoi ?
- t'as conscience que ta mère est juste une bombe ?
- Une bombe ?
- ouais, c'est impressionnant. Je sais pas comment tu fais au quotidien.
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La philosophe Claire Marin et le chorégraphe Angelin Preljocaj sont la marraine et le parrain de la 8e édition des Nuits de la lecture sur le thème du corps.
Claire Marin développe une pensée du sensible et interroge la notion d'identité à travers les épreuves existentielles que nous traversons au cours d'une vie : naissance et deuil, maladie et accident, rencontre et séparation amoureuse, rupture et découverte… qu'elle analyse comme les moments-clés de transformation de soi. Elle est notamment l'auteure de « Hors de moi » (Allia, 2018), « Rupture(s) » (L'Observatoire, 2019), « Mon corps est-il bien à moi ? » (Gallimard Jeunesse, 2020) ou encore « Être à sa place » (L'Observatoire, 2022).
Angelin Preljocaj a chorégraphié 58 pièces depuis le début de sa carrière. Multi-récompensé, il a reçu de nombreux prix dont le « Grand Prix National de la danse » (1992) et « Les Victoires de la musique » (1997). Son premier long-métrage, « Polina, danser sa vie », réalisé avec Valérie Müller et adapté de la bande dessinée de Bastien Vivès, est sorti en salle en novembre 2016. En avril 2019, il a été nommé à l'Académie des Beaux-Arts dans la nouvelle section chorégraphie.
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