Le héros de cette histoire, le peintre Moritz Wank, a cessé de peindre. Entre lui et le monde, le torchon brûle.
Suivant ce personnage dont le prénom évoque la fine ironie de Wilhelm Busch, et le nom le vacillement (Wank doute même de faire partie des vertébrés), le roman zigzague, sur fond d'humour et de désespoir, entre deux points de vue: d'une part la nausée, l'exécration d'un monde vulgaire et prévisible, d'un univers social défini par la bêtise,...
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