Nombreuses sont les otages livides rassemblées en ce lieu qui évoque une prison, un hôpital, un bordel. En haut, Têtra « la boss, la maîtresse, la femme aux mille pattes », les surveille, ricane de les voir se battre, faire l’amour ou la fête, torturer un homme coupable du viol d’une des leurs, s’entretuer. Dans « cette oasis de permission où règne la sécurité comme une peur maladive », l’alcool coule à flots pour arroser les pilules et chacune contemple ses blessur... >Voir plus