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San Antonio tome 71 sur 175
EAN : 9782265089259
256 pages
Fleuve Editions (22/04/2010)
3.53/5   32 notes
Résumé :

J'aime mieux vous prévenir, les gars :
Des histoires pareilles, vous n'en trouverez pas souvent.
Ce qui vaut mieux pour votre santé.
Mamma mia ! A la fin de ce circus effarant, je ne savais plus bien si je m'appelais San-Antonio, Edouard ou la Joy !
Y' a fallu que je me cramponne aux branches !
Et surtout que je garde la tête froide, ce qui n'était pas fastoche avec la lampe à souder... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ca démarre sur les chapeaux de roue !
Pensez donc :
D'abord Il y a Marie-Marie en appât pour pincer des ravisseurs d'enfants, le Boss, inquiet de la situation mais consentant, Béru en renaud contre icelle.
Ensuite, Marie-Marie disparait elle aussi et Pinaud entre en scène en tenue de pêche à la ligne…
Enfin, « Faut-il vous l'envelopper ? paraît en fin des années 60, 1968 pour être plus précis ; la période que j'ai longtemps considérée comme la meilleure de la série.

Pschitt !

Malgré une bonne intrigue et les personnages vedettes réunis ici, on reste sur sa faim : Marie-Marie enlevée, on est privés de sa malice qui avait donné un coup de frais depuis son entrée en scène dans « Viva Bertaga », Béru fait une apparition minimum au début et à la fin de l'histoire.
Restent Pinaud des grands jours et SanA. « fatigué ».

Ajoutons à cela le peu de calembours, quelques digressions fantaisistes (peu), des notes en bas de page toutes sur le même thème… Bref, un San-A. un peu décevant. Vivement le prochain, « En avant la Moujik » dont le souvenir m'est encore présent, cinquante ans après ma première lecture. Et puis, vu l'actualité …
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Un démarrage en fanfare pour cet opus de 1968. Une opération d'envergure mais délicate est programmée pour arrêter un kidnappeur d'enfants responsable de trois disparitions. Sous le contrôle de San-Antonio, Bérurier et Achille, le grand patron pas vraiment rassuré, un appât doit être lâché sur un chemin forestier, un émetteur dans une chaussure, sous la surveillance d'une équipe de policiers, chacun ayant reçu un nom de code pour les communications radio. San-Antonio est Big Boss, les autres : Écureuil Sauvage, Gland Doré, Pivert Vorace. Il faut préciser que le petit chaperon rouge qui s'apprête à appâter le loup n'est autre que Marie-Marie, la nièce de Béru, et que c'est elle qui a choisi les noms.

Bien que parfaitement préparée, l'opération tourne au fiasco total, et les dégâts sont considérables avec un policier au tapis, la môme évaporée, Bérurier massacré par Berthe à coup de vaisselle - le service de leur mariage en Sèvres-Babylone décoré main -, le patron en instance de démission, et même San-Antonio au bord de la dépression nerveuse.

Heureusement, Pinaud vient à la rescousse, abandonnant sa canne à pêche, une carpe de six livres, et Mme Pinaud, pour rebooster un commissaire à la dérive, et se lancer avec lui à la recherche de miss Tresses. Moins traumatisé par cet échec lamentable, et grâce à un étonnant esprit d'initiative, Pinuche ne tarde pas à trouver une piste que même les chiens n'avaient pas flairée.

La traque commence avec un San-Antonio remonté comme une pendule, que son impétuosité légendaire place rapidement dans une situation périlleuse et inédite, dans laquelle l'enseignement d'une méthode de concentration, dite du brakmahr bouddheur, qu'il a reçue d'un vieil Indou qui travaillait pour Pinder et la C.I.A., lui est d'une grande utilité.

Un épisode un peu statique, malgré un début prometteur, des aventures du célèbre commissaire, dans lequel la quasi-absence de Béru entraîne une baisse de l'intensité humoristique habituelle, et où Marie-Marie, que je retrouve toujours avec plaisir depuis ses débuts fracassants dans « Viva Bertaga », disparaît trop rapidement du récit après une courte mais superbe prestation.
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71ème roman de San-Antonio publié le 30/12/1968.
L'histoire se déroule pendant l'automne 1968.
Mission : 3 enfants disparaissent dans une forêt sans aucune nouvelle. Marie-Marie se propose volontaire pour démasquer les ravisseurs. Mais elle aussi disparaît sans laisser de traces. San-Antonio et Pinaud enquêtent ...

Un roman avec uniquement San-Antonio et Pinaud. Bérurier a simplement un petit rôle au début et à la fin de l'enquête.

Ce livre diffère des précédents car il y a moins d'actions et de gags. Mais il est intéressant car San-Antonio a un rôle inhabituel.

Un San-Antonio à part qui clos l'année 1968.
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71ème San-Antonio paru en 1969. Une intrigue plutôt modeste autour de disparitions d'enfants mais une construction originale qui, au final, en fait un bon numéro de la série.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Quel est le rôle d’un veilleur ? C’est de veiller. Oh là là, ma matière grise ! Vous auriez pas une vessie de glace pour en assurer le refroidissement ? J’ai peur de couler une bielle, mes fils.
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Jamais, au grand jamais, je n'ai été pareillement couillonné au cours de ma prestigieuse carrière. J'ai honte de moi, mon orgueil endolore, mon énergie poisse, mon respect humain coule comme du Brie, ma volonté s'invertèbre, je me démembrane, me débandade, me disloque, me neutralise, me disperse. J'ai la sensibilité qui se sclérose. L'altruisme qui défaille. Je volcanise du sentiment. Je lave en fusion. Mes bas instincts trémolent. Le néant me fait de l'oeil. Ma peau m'insupporte. La vie devient glaireuse. Je défonctionne, rêve de m'abstraire. Je m'annule. Je me proteste, me dénie, me punis, m'abomine, m'invective. Je renonce à moi. Je voudrais pouvoir bouffer l'humanité pour la déféquer. Je hais ce qui est. Je suis la fermentation acétique qui transforme le vin en vinaigre.
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Il est quelquefois moins pénible à un soldat de se rendre au cours d'une bataille qu'à un civil de se rendre à l'évidence.
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Vidéo de Frédéric Dard
*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* : San-Antonio, _Réflexions définitives sur l'au-delà,_ morceaux choisis recueillis par Thierry Gautier, Paris, Fleuve noir, 1999, 120 p.
#SanAntonio #FrédéricDard #Aphorismes #LittératureFrançaise #XXeSiècle
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