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EAN : 9782749126111
216 pages
Le Cherche midi (07/06/2012)
3.47/5   51 notes
Résumé :
Tokyo, 2010. Une garagiste, jeune, jolie, très désagréable. Son
père, ancien Béret Vert, à peine plus aimable. Une valise diplomatique débordant de billets. Un assassin américain lancé dans un safari humain.

Des yakuzas dépassés. Du béton, de l'électricité, des armes et du sang. De la musique, du cinéma. Et un professeur de la Sorbonne chargé de voler une bouteille de saké appartenant à Quentin Tarantino.

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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai eu la chance d'être sélectionnée au dernier Masse Critique de Babelio et de recevoir ce livre.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Cherche-midi pour me l'avoir fait découvrir.

Qu'est-ce qu'un chef de Yakusa entouré d'hommes de main ridicules et incapables, une garagiste experte en arts-martiaux, un professeur d'université français spécialiste de Zola, un tueur à gage américain qui exècre les japonais et un ancien militaire à la retraite ont en commun ? Une bonne dose d'humour, de massacres, un peu de sang et du spectaculaire, le tout servi par un verbe bien tourné, alliant dialogues percutants et savoureux à des mises en scène dignes de films d'action des plus jouissifs. À déguster sans aucune modération, comme on mate un bon film de Tarantino.

J'ai beaucoup aimé ce livre. J'étais très heureuse d'avoir été sélectionnée, impatiente de le recevoir et excitée de le commencer. J'avais donc placé la barre haute pour cette lecture, m'attendant à passer un excellent moment. La comparaison avec le Livre sans nom que l'auteur a traduit s'est imposée d'elle-même, même si j'aime l'idée que tout livre est unique et ne peut être réellement comparé à un autre. On y retrouve cependant un rythme similaire, une volonté de surprendre le lecteur par une ambiance alliant violence et répliques cultes dans des faces-à-faces dignes de western. On sent l'atmosphère des vieux films d'arts-martiaux, on pense au Kill-Bill de Tarantino, on sourit pour avoir deviner à l'avance les réactions tordues des uns et des autres, qui dénotent et feront basculer l'action vers cette autre chose qui caractérise si bien ce type d'histoires complètement déjantées.

Je n'ai pas été déçue, peut-être aurai-je voulu rester plus longtemps dans ce Japon décalé à côtoyer ces tueurs et ces fous et à écouter leurs échanges si légendaires. La seule autre critique qu'on pourrait lui faire est d'avoir trop bien calqué l'ambiance avec celle des films de Tarantino justement, ce qui lui ôte son originalité. Mais on passe un très bon moment, et ce n'est pas ce que je recherchais pour ma part.

À découvrir dans tous les cas, et un auteur à suivre !
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Gokan est un véritable jeu de piste dans l'univers du cinéma. Particulièrement dans celui de Tarentino et pour preuve, l'un des protagonistes se fait appeler Ron Brown et Mister Brown dans «Réservoir Dogs» n'est autre que que Mister Quentin Him-Self. (en passant, le-dit Réservoir Dogs fortement inspiré, pour ne pas dire pompé, mais génialement, de «L'Ultime Razzia» ; excellent film réalisé en 1956 par Stanley Kubrick que je vous recommande vivement, ne serait-ce que pour comparer.
Bon, revenons au livre... Mais c'est difficile tant il fait son cinéma. En gros c'est l'histoire d'un prof d'université, un certain Jean-Luc Ponty, qui se rend au japon pour faire une conférence sur Zola. À Orly, il rencontre un inconnu qui lui propose de retrouver et voler pour un de ses clients collectionneur, une bouteille de saké au nom de Tarentino dans un bar de Tokyo, contre une belle somme d'argent. En parallèle, une bande de yakusas essaie de mettre la main sur une valise diplomatique que convoite également l'américain psychopathe Ron Brown cité ci-dessus. Mais... un polar sans Nana, ne serait pas tout à fait un polar vous en conviendrez. Surgit alors une Nina aguerrie à toutes formes de combats et à laquelle il ne fait pas bon se frotter car la note risque d'être sévère. (N'aies pas de regret, Uma, il aurait fallu que tu te fasses raccourcir les tibias pour avoir ce rôle là.)
Tout ce petit monde finira par atterrir à «Orly», dans une scène finale des plus cocasses.
L'écriture est souvent proche du scénario, les plans sont vite photographiés, c'est vif, mais pas tout le temps, et j'aurais bien supprimé quelques passages qui selon moi s'éternisent un peu trop, ralentissent et n'ajoutent rien l'action. En revanche la bande-son est impeccable. Je me suis embarquée dans ce livre avec le casque sur les oreilles pour écouter les musiques d'ambiance de chaque chapitre. Frank Zappa, Cassandra Wilson (belle découverte pour moi ) Hon Shirabe ( flûte de bambou joué comme discipline spirituelle... superbe ! ), un petit soupçon d'électro, un quatuor de Ravel, et l'indispensable Ennio Moriconne pour les règlements de comptes ...etc.. etc... Et Il y a bien une question que j'aimerais poser avec malice au vrai musicien Jean-Luc Ponty : Ça fait quoi de se retrouver dans une fiction romanesque pour faire l'acteur ?
Je me suis vraiment amusée en lisant ce livre et je remercie Babelio et les éditions Le Cherche Midi pour la découverte de cet auteur, sur lequel je vais garder un oeil vigilant.
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J'ai choisi ce livre un peu au hasard en me baladant en librairie. Ce qui a accroché mon regard en premier lieu, c'est l'illustration de la 1ère de couverture : ma version représente une jeune femme de profile en position de combat, un katana à la main. La composition est très épurée et dynamique en partant tout à fait de la gauche et semble porter le titre. Couleurs en aplats sans détails et dessins sans contours. Avec des contrastes en noir/rouge/blanc sur un fond gris. Très accrocheur et efficace. Puis ensuite, j'ai lu le résumé en 4ème. Très bref, très dynamique aussi. Ça semblait vouloir en découdre et ça parlait de Tarantino et de Yakuza. J'ai sauté dessus.
Mais au final, j'ai un peu déchanté car ça se voulait déjanté mais ça n' a pas plus décollé. ;)

On découvre plusieurs personnages assez différents mais qui ne se croisent que vers la fin. Mis à part le professeur Ponty qui en fait ne sert à rien, alors que j'aurais cru le voir emporté dans une histoire incroyable à la Tarantino justement ; les autres personnages évoluent tous plus ou moins dans le milieu de la mafia tokyoïte. J'avoue avoir eu du mal à faire la différence entre certains :
Jikokuten, Le Noir, etc. Pas dans le sens où je ne les reconnaissais pas mais plutôt où ils sont assez similaires et pas très creusés. Les personnages qui avaient un potentiel incroyables sont Nina et son père.
Bon sang ! Mais je veux en savoir plus !!! Il y a tellement à dire et à raconter ! Alors oui, on risque de faire classique mais ça peut être fait de façon tellement géniale ! Nina n'a rien de la femme idéale japonaise même pour la mafia. J'ai en tête le personnage d'O-Ren Ishii, chef de clan dans le film Kill Bill. Elle a la classe élégante à la japonaise traditionnelle. Ben pour Nina, effacez ça ! Rien à voir ! Gros contraste et c'est super. Haute en couleurs.
Le personnage le plus horrible et qui détonne vraiment, (je ne sais pas si lui a besoin d'être plus creusé) : Ron Reno. Psychopathe nazi raciste anti-japonnais. Un taré, un monstre, on se demande comment il fait pour que les flics ne soient pas un minimum sur ses talons car une chose est sûre il ne fait pas dans la dentelle. Là où il passe tout le monde trépasse.
On a qu'une envie, qu'il crève mais surtout qu'il se taise !! (oui oui dans cet ordre là XD) Ce type adoooore s'écouter parler. Il me rappelle Negan du comics The Walking Dead mais avec un langage bien plus beau (quand il veut) que celui de Negan.
J'en reviens à Jean-Luc Ponty, lui c'est un peu le perso 'What the Fuck". Il est là pourquoi ? Non mais vraiment, faut être un peu fou/idiot/paumé/les trois à la fois/ou choisissez la bonne réponse, pour accepter le deal d'aller retrouver cette maudite bouteille signée Tarantino. Et puis, je le redis, il ne sert à rien. On le voit à peine alors que je pensais qu'il ferait partie des protagonistes principaux.

En ce qui concerne le récit, à la fois, on est tenu en haleine parce qu'on attend de voir les personnages se croiser et d'en apprendre bien plus sur eux mais en réalité même le pourquoi des tensions entres clans est à peine effleuré. S'en suit une grosse frustration.
En effet le livre est court, l'écriture fluide et dynamique, agréable et il est sûr qu'on ne peut certes pas développer plus au vue de la taille du roman. C'est un parti pris. Mais j'ai cette impression d'être sur ma faim, un peu comme quand je fais un rêve déjanté digne d'une série tv ou d'un film hollywoodien où il n'y a pas vraiment de début ni de fin, où je débarque et que cela a déjà commencé.
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Un tueur américain raciste lâché dans les rues de Tokyo qui élimine des yakuzas, une garagiste capable de tuer trois types à l'aide d'une baguette, un universitaire français à la recherche de la bouteille de saké de Quentin Tarantino, un yakuza déterminé à se faire découper une phalange.

Voilà résumé, en gros, le roman de Diniz Galhos. On s'en serait douté, tous ces personnages vont être amenés à se retrouver à un moment ou un autre.
Galhos ne dissimule pas ses influences. Même si aujourd'hui – et nous avons déjà eu l'occasion d'en parler – la référence à Tarantino est devenue la tarte à la crème du polar, elle est ici prégnante et, disons le tout de suite, plutôt bien exploitée. On nous indique par ailleurs que Diniz Galhos est le traducteur du Livre sans nom. de là à voir une influence des histoires de l'auteur anonyme dudit livre sur Gōkan, il n'y a qu'un pas que l'on franchit allègrement. À ceci près que Diniz Galhos écrit autrement mieux que l'auteur qu'il traduit.

C'est donc une histoire calibrée pour le cinéma que déroule Galhos avec un enthousiasme communicatif et en rendant hommage à Tarantino, scènes et dialogues évoquant tour à tour Kill Bill, Pulp Fiction ou True Romance (en particulier la confrontation finale concernant ce dernier film).
Cela fait de Gōkan un roman sans grandes surprises pour les amateurs du cinéaste et de ses émules mais qui gagne l'adhésion du lecteur par ses dialogues décalés, ses scènes d'action dépourvues de réalisme et, au final, un ensemble bourré d'énergie et jubilatoire condensé en 200 pages (et il n'en aurait sans doute pas fallu plus).

Bref, voilà la version livresque d'une série B de bonne qualité. Pas de message particulier, juste de l'action et beaucoup de second degré. du pur entertainment. Ni plus, ni moins.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
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Diniz Galhos est un jeune auteur qui a débuté par la traduction et qui semble être passionné de cinéma.
Autant le dire tout de suite, Gokan est un roman dont la narration aurait de quoi me rebuter. Effectivement, je ne suis pas très fan des romans, des films ou des séries qui suivent plusieurs personnages qui n'ont rien à voir entre eux et qui vont finir par se rencontrer.

Pour autant, j'ai décidé de tenter l'aventure pour l'humour et les références cinématographiques qui semblaient pulluler dans le texte.

Et c'est pour ces mêmes références et ce même humour et ces personnages jusqu'au-boutistes, que j'ai achevé ma lecture.

Car, malgré le système narratif qui m'est rébarbatif, certains personnages, notamment, l'américain, étaient source de répliques et de scènes assez drôles et décalées.

On a d'ailleurs l'impression de lire un mélange entre un roman et un scénario, ce qui permet de faire passer l'histoire pas très évoluée, mais très visuelle.

Pour autant, le problème du livre est inhérent au parti pris des multiples personnages : on ne s'accroche à aucun d'entre eux.

Avec une histoire qui ne vole pas haut, des personnages stéréotypés auxquels on ne peut s'attacher, reste les éclairs de violences et certains dialogues savoureux pour maintenir l'intérêt du lecteur.

Au final, si le roman ne laissera pas une trace indélébile dans l'esprit du lecteur, il offre, malgré tout, un agréable moment de lecture et c'est déjà pas mal.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Non. Ce n'est pas à cause de tout cela que Jean-Luc Ponty a le souffle coupé, que son coeur bat sensiblement plus vite, et que ses mains sont un peu froides, un peu moites.
C'est à cause des filles de Shibuya.
Sur le catwalk des diagonales piétons, un défilé infini de jambes fendant la foule, de mollets ciselés à chaque foulée, de genoux délicats, blancs, blanc-crème, jaunes. Des jupes courtes, vraiment, vraiment courtes, et qui par magie ne dévoilent rien de ce qu'elles doivent cacher. Des corolles de jupons, par dizaines de strates, frémissant dans leur course, des mi-bas noirs, simples, à jarretières, à dentelles dont les arabesques fleurissent sur la neige du bas des cuisses. Et entre le bord des bas et le bas des jupes, cette ligne de cuisses claire qui transperce la foule comme un éclair déchire un nuage noir. de loin en loin, une jarretelle barre le ruban de peau pour y accrocher plus sûrement le regard. Et lorsque le pauvre regard n'arrive vraiment pas à s'en arracher, ce sont de brefs coup d'oeil par-dessus l'épaule, dans un glissando de frange, le visage impassible, les lèvres closes, et dans les iris noirs, noisette, marron clair, ce que Jean -Luc Ponty tremble de prendre pour de l'(exaspération, de la curiosité, de l'intérêt. Un abandon, léger comme la brise de cette nuit de printemps de Tokyo.
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«Pourquoi tu as choisi Nana, au fait ?
- Le dernier Zola que j’ai fait étudier était mon préféré. Nana est le deuxième de la liste.
- Et c’est lequel, ton numéro un ?
- L’Oeuvre.
- Pourquoi ?»
Aki éclate de rire : «Ah ! Le fameux «pourquoi» des Français !»
Jean-Luc ne comprend pas, et ça se voit. Aki s’explique:
«Ça pour un japonais, c’est très exotique. Même pour moi, et pourtant ça fait douze ans que je vis avec Garance. Un japonais demande à un autre japonais sa couleur préférée. «Vert», on va dire. Un acquiescement, quelques «hm», à la rigueur. Fin de la conversation. Un Français pose la même question: L’interlocuteur n’a pas fini de répondre que le Français lui demande déjà «pourquoi ?». Parce que pour lui, c’est ça, la vraie question.
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Ce n'est même plus l'absence d'Hélène. Ce n'est qu'une conne, je crois que les faits en témoignent assez objectivement. J'ai eu peur que l'abstinence sexuelle ne me précipite dans les bras du prochain désastre sentimental, mais en fait, la masturbation suffit amplement aux besoins d'un homme normal. Aux miens, en tout cas. Ce qui me démolit, c'est la certitude que personne ne m'attend nulle part. je sais, c'est super cucul. Avoir la certitude que quelqu'un m'attend, et s'impatiente de mon retour, c'est ce qui me manque le plus. Je m'en serais jamais douté avant, mais c'est un des trucs que je préfère dans une relation. Même si c'est assez con, dit comme ça.
(P113)
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Le Boss se détourne, et Hiroshi s’assied aussitôt face à la Pieuvre. Il sait ce qu’on attend de lui. Il campe ses mains bien en haut de ses cuisses, comme il l’a déjà vu faire si souvent, relève ses épaules, et la tête légèrement penchée, à deux doigts du visage de cet homme qui pourrait être son père, se met à l’agonir de reproches. Il lui rappelle ses dettes, ses trahisons, ses lâchetés. Il insiste sur ses devoirs, ses promesses, ses succès, et à qui il les doit. Et il conclut sur son ingratitude, en l’insultant en bonne de due forme, dans une rafale de postillons que la Pieuvre ne cherche ni à éviter, ni à essuyer. Hiroshi se lève enfin, et lui crache carrément dessus.
Le Boss a tourné le dos à toute la scène. Il n’est pas censé tirer plaisir de ces séances dégradantes. Mais la vérité, c’est que la Pieuvre a une impressionnante collection de DVD. Coincé entre les dix opus de "Étudiantes japonaises en chaleur" et la double trilogie "Star Wars", tout Sergio Leone. Le Boss se retient de piocher dedans. Ce ne serait pas correct.
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Big Joe Turner. Début 1954, il enregiste la première version de Shake, Rattle and Roll : grille blues, voix blues, et un soupçon de cuivres. Fin de la même année, Bill Haley reprend le morceau. les paroles sont châtrées, et l'accompagnement jazz se voit remplacé par ce qui peut se faire de pire en country music. Le tout pour toucher un plus large public, jeune et blanc./.../
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Vidéo de Diniz Galhos
Dans cette compilation, cinq romanciers partagent leurs conseils pour les apprentis auteurs. Nicolas Mathieu (lauréat du Goncourt), Jacky Schwartzmann et Diniz Galhos évoquent les erreurs à éviter et les bonnes pratiques à adopter pour améliorer son écriture.
Entretiens réalisés durant Quais du Polar 2021.
INTERVIEWS COMPLETES 00:09 Jacky Schwartzmann https://youtu.be/WpHbv9wTiQ8 01:40 Diniz Galhos https://youtu.be/RwBj8sM9nMY 04:06 Nicolas Mathieu https://youtu.be/2JvNbD_ClBQ
Qui sommes-nous ?
Les Artisans de la Fiction sont des ateliers d'écriture situés à Lyon. Nous proposons un apprentissage artisanal des techniques d'écriture, avec pour objectif de rendre nos élèves autonomes dans la concrétisation de leurs histoires. Notre approche s'inspire du creative writing anglophone, en mettant l'accent sur l'apprentissage et la transmission des bases essentielles de la narration : structure de l'intrigue, principes de la fiction, construction de personnages, etc.
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