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De mères en filles tome 2 sur 4
EAN : 9782755617603
356 pages
Hugo Publishing (15/05/2015)
3.57/5   36 notes
Résumé :
Ariane est la fille ainée d'Alice que les lecteurs ont découvert dans le premier tome de la saga De Mères en filles. Aussi indépendante que sa mère, et très complice de son père, Ariane, après avoir quitté son premier amour à Paris, sur le bateau du retour attrape la typhoïde qui l'oblige à rester à New York pour se soigner. Elle y découvre les nouveaux métiers de la radio et...la liberté. Quand elle rentrera au Québec, elle n'aura de cesse de travailler dans ce méd... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Un deuxième tome encore meilleur que le premier, voilà qui n'est pas banal.

J'avais aimé découvrir Alice et ses filles, dans le premier tome de la saga.
Mais les dernières années relatées m'avaient laissé l'impression d'un survol, avec Alice débordée par ses filles, en demandant toujours plus à Ariane, étant souvent injuste avec elle ...

Je comprenais qu'Alice et Ariane n'avaient pas une relation très étroite ni très simple, mais le personnage d'Ariane était plutôt esquissé ... alors qu'Agathe la pianiste de talent, exauçait les voeux de sa mère, qui avait dû mettre sa carrière au second plan, une fois maman d'une famille nombreuse. On se demandait aussi ce qu'avait bien pu devenir Annabelle, la "vraie" fille aînée d'Alice, qu'elle avait dû laisser derrière elle en attendant Ariane et en épousant Claudio.

Ce deuxième tome, bien loin de seulement nous apporter des réponses rapides, va nous faire découvrir Ariane, femme sensible, complexe, débrouillarde et féministe. J'ai beaucoup aimé la découvrir plus, la voir évoluer au fil des années, consciente des enjeux géopolitiques en Europe, alors que sa mère Alice semblait toujours planer loin de ces questions, loin des questions d'argent aussi. Alice avait certes été élevée par un banquier et mariée d'abord à un banquier ... Mais pour une mère de famille nombreuse de l'époque, elle présentait un détachement étonnant par rapport à ces questions. Cependant, Alice et Claudio formaient un couple passionné, passionné par les arts surtout.

Nous découvrons un peu plus, par la vision d'Ariane, à quel point le retour en France et le long séjour à Paris ont été difficile pour ce clan de filles. Combien Ariane a toujours soutenu ses parents, au détriment parfois de ses propres études et de son don pour la peinture aussi. Un personnage vraiment touchant, qu'on n'oublie pas de sitôt.
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Encore une fois, avec ce deuxième volume de « De mères en filles », de Dominique Drouin, j'ai gagné en richesse. En effet, en dehors de l'histoire contemporaine de l'héroïne, ce roman se base sur des renseignements historiques, des faits réels. J'ai beaucoup aimé ces éléments-là de l'oeuvre, tout comme le petit message féministe du récit ; exprimé autant par Ariane que par l'auteure en elle-même. Toutefois, j'ai eu l'impression de ne pas retrouver la même plume que dans le tome précédent. Une narration à profusion et peu de dialogue, cela alourdit considérablement le texte. Aussi, la période de 1928 – 1950 est mise en valeur, ainsi que la province du Québec ; c'est en grande partie ce qui en fait son originalité.

Le personnage d'Ariane est vraiment différent de celui de sa mère Alice, sa manière de penser et sa façon d'être. Elle mène des combats, dont celui du féminisme ; de donner la chance aux femmes dans les domaines professionnels réservés aux hommes. Sa jalousie envers sa soeur, Agathe, est totalement compréhensible ; néanmoins, à force de ressentir cette émotion émaner d'elle, cela m'a particulièrement agacé. J'ai tout de même bien aimé cette jeune femme, devenant mère à son tour. Elle est pleine d'ambition, de détermination et elle s'impose toujours face aux hommes ; surtout depuis ses blessures amoureuses d'adolescente et la perte de l'homme de sa vie. Elle est forte et elle a le coeur sur la main. Comme Ariane, le pire c'est de regretter certaines choses et de ne pas pouvoir revenir en arrière ; il faut trouver la possibilité de se racheter, de se pardonner soi-même et surtout de ne plus culpabiliser pour continuer à avancer.

Marcel Lepage est un traducteur de publicité, un homme aux airs sympathiques. Mais je me suis méfiée de lui durant tout le roman, quand on est de temps en temps plongé dans sa tête, il se plaint énormément. Je ne l'ai pas apprécié et sa personnalité m'a laissée pantoise, je l'ai trouvé arrogant, prétentieux et sans aucune reconnaissance envers les autres. Ses réactions pour la naissance de sa fille, de l'adoption d'une autre, m'ont donné froid dans le dos. Toutefois, il n'est pas bien méchant ; mais son éducation et son ambition l'entraînent sur une pente malsaine. de plus, son côté hyperactif, ses sorties de toutes les nuits, son inconscience envers sa santé ; démontre un personnage immature.

Eugène Boyer est aussi un protagoniste important dans ce livre. C'est le meilleur ami de notre héroïne. Je me suis prise d'affection, aussi j'ai ressenti de la peine pour lui. Il est amoureux et n'ose pas le dire, son secret le dévore et il supporte de moins en moins ses sentiments. Ils ne s'éteignent d'ailleurs jamais. Certes, il est présent seulement au début du livre, ensuite on le retrouve que vers les dernières pages ; et pourtant, il m'a séduite bien plus que Marcel. C'est un grand rêveur et un artiste, malgré tout son talent ; il ne perce pas dans ce monde de bohème.

Les longueurs peuvent réellement gêner pendant la lecture, c'est le cas que j'ai rencontré avec cet ouvrage. Parfois, les informations sont très pesantes, me déconnectant plusieurs fois du récit. Pourtant, les aventures d'Ariane sont intéressantes et ne manquent pas d'action, et l'apprentissage de fait est tout de même enrichissant ; juste que les détails prennent énormément de place dans le roman. En dehors de ça, c'est un voyage, plein de secrets, de rencontres, de vies, de pertes et de pardons. Plusieurs scènes touchantes, en revanche les émotions restent en arrière-plan, en oublient. Une petite bulle de sentiment qui s'envole aussi simplement qu'elle est venue, je trouve ça regrettable pour ce style de livre. À l'inverse, le mystère est un point non négligeable dans cette suite, avec des surprises au bon moment et des révélations au compte-gouttes. La trame se veut inédite grâce à la période et aux lieux abordés, tout en étant dans la même thématique que « Alice ».

Dominique Drouin détient une plume généreuse, à mon goût cela est même dans l'excès. Des développements copieux, entraînants, assurément une perte de rythme ; de plus, les chapitres sont longs. Heureusement, il y a des séparations dans ces derniers, pour rééquilibrer l'ensemble. le vocabulaire est riche, il n'y a pas de simplicité dans l'écriture de cette auteure. Cette fois, c'est la rédaction, l'inégalité entre la narration et les dialogues qui m'ont déplu. Dominique écrit une histoire à la fois historique et contemporaine avec des thèmes forts, les messages sont puissants.

« Ariane » est avant tout une histoire d'existence, exprimant plusieurs périples. Des passages bouleversants et inattendus, les sentiments ne sont pas entièrement animés ; en différence, le suspense est palpable du début jusqu'à la fin. le commencement de ce roman est assez complexe, on jongle entre deux périodes ; le passé au Canada d'Ariane, et l'avant-départ de la France pour retourner dans son pays. Je n'ai pas toujours suivi ces changements. Ariane est une héroïne porte-parole pour les femmes de l'époque 1928 – 1950, son caractère franc et dynamique gagne en force au fil des années et des pages. La plume de l'auteure ne correspond pas à mon style ; le manque d'interactivité entre les personnages, la moindre émotion s'effaçant derrière les développements. Je n'ai pas détesté l'écriture, juste l'absence d'harmonie. Quoi qu'il en soit, cela présente un second volume instructif et impressionnant.
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J'avais beaucoup aimé découvrir cette saga familiale avec le premier tome, Alice, paru en début d'année. Alice m'avait totalement séduite, et Ariane, sa fille, laissait déjà transparaitre un fort caractère qui me donnait encore plus envie d'en découvrir la suite.

J'ai pourtant connu bien plus de difficultés à rentrer dans ce tome, comparé au premier. Peut-être y avait-il le goût de la découverte en moins, mais dans tous les cas j'ai eu beaucoup de mal à apprécier complètement Ariane. Très libre, très féministe (bien trop par moment d'ailleurs), elle sait ce qu'elle veut et fait tout pour l'obtenir, parfois en dépit du bon sens.

Ariane vit à cette période, en 1933, où les femmes commencent à vouloir s'émanciper de cette société patriarcale. Émergence du féminisme, indépendance de la femme, Ariane est à fond dans ces principes. C'est une passionnée, une battante, elle se donne à cent pour cent dans tout ce qu'elle entreprend, quitte à se mettre de nombreuses personnes à dos, y compris sa famille. Et c'est ce que j'ai eu le plus de mal à apprécier chez elle. Je n'ai pas réussi à la comprendre, et je me suis même parfois complètement détachée d'elle.

Pour autant, elle ne m'a pas totalement laissée de marbre. Les difficultés qu'elle va rencontrer sont très dures, mais très touchantes, et j'ai eu énormément de compassion pour cette femme. La vie ne lui offre que peu de répit, et sans les buts qu'elle se fixe continuellement, elle aurait pu décrocher totalement. On espère ardemment qu'elle s'en sorte, et c'est bien cela qui m'a fait poursuivre l'histoire.

En dehors d'Ariane, Dominique Drouin a encore une fois su me subjuguer. La façon qu'elle possède de dépeindre cette période est vraiment remarquable ; ce sont de véritables tableaux qu'elle nous livre, et j'ai véritablement aimé découvrir cette époque à travers ses yeux.

En définitive, j'ai été moins enjouée par Ariane que par Alice ; en fait je me suis sentis moins proche d'elle que de sa mère. Pour autant, elle m'a énervée comme elle m'a énormément touchée, j'ai aimé son évolution petit à petit, mais je n'ai que peu apprécié son caractère trop téméraire, trop indépendant qui faisait bien trop "guerrière amazone". Heureusement, Dominique Drouin nous ravit de ses descriptions, et c'est bien ce qui m'aura le plus marquée dans ce tome.
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J'ai apprécié ce tome 2 de cette saga. En effet, si le tome 1 m'avait paru convenu et assez insipide, en revanche le tome 2 m'a beaucoup plus entraîné au travers de la vie d'Ariane, qui connait les joies comme les turpitudes d'une vie. Une vie qu'elle n'avait pas imaginé ainsi et qui lui amène un épanouissement professionnel auquel elle ne s'attendait pas, tout comme elle n'avait pas imaginé qu'une vie est courte et longue à la fois et permet de faire plusieurs expériences.
La maturité aidant, Ariane accepte de porter un nouveau regard sur les relations entretenues avec sa soeur Agathe et sa mère.
Je serai donc volontaire pour continuer la découverte de la saga par le tome 3. Toutefois, j'ai besoin de lire un autre style et je reprendrais après la suite de cette saga qui devient très agréable.
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Ce deuxième tome de la saga de mères en filles est consacré à l'histoire d'Ariane, la fille ainée de Alice. On découvre rapidement une femme forte, de caractère, qui va faire le choix de sa vie, conciliant sa vie de mère et d'épouse avec sa vie professionnelle.
Dans une période tourmentée, la crise de 1929 puis la seconde guerre mondiale, on voit émergée la radio, à la fois moyen d'information et moyen de divertissement.
Les arts occupent toujours une place importante de cette histoire.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
La radio a permis aux grévistes de s'informer sur l'état des négociations et de rester mobilisées. Grâce à leur solidarité et leur courage, les midinettes ont eu gain de cause : la semaine de travail a été abaissée à cinquante heures, les salaires de misère sont passés de onze à seize dollars par semaine et les machines s'arrêtent désormais à l'heure des repas.

Non sans fierté, Ariane constate à quel point le travail d'information effectué par la radio constitue la voix et les yeux du peuple.
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Ce qui la frappe aussi, c'est le courage de ces femmes, cousant, rapiéçant, cuisinant, budgétant et s'ingéniant pour parvenir à joindre les deux bouts.
Un certain nombre d'entre elles travaillent en plus à l'extérieur, doublant leurs heures d'ouvrage afin de compléter le salaire de leur mari. Et comme elles accueillent un enfant de plus chaque année, elles font preuve d'une force héroïque.

Pour ces mères, ces épouses et ces filles, Ariane se sent un devoir de se joindre à celles qui réclament les mêmes conditions de travail entre les sexes et revendiquent de parler en leur nom.
Car bien qu'elles touchent des salaires moindres que ceux des hommes dans les usines, ce sont les femmes que l'on remercie quand vient le temps de couper des postes. Après s'être éloignée si longtemps, Ariane sent que son attachement à son pays et à son peuple lui revient, plus vif que jamais.
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Sais-tu que tu peux être fier de l'héritage que tu nous as laissé, mon cher papa ?
Car si aucune n'est riche, toutes, nous vivons libres d'aimer nos maris, d'élever nos enfants, de réaliser nos rêves.
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Son nouvel emploi répond enfin à ses objectifs. (...)
- Je n'ai pas le luxe d'être jeune, a-t-elle laissé échapper un jour, en croisant un couple enlacé. Je n'ai de temps que pour gagner ma vie et tenter de la réussir. (...)

Passionnée par son nouveau job, Ariane ne compte pas les heures, s'enracinant dans les studios pour pouvoir assimiler leur fonctionnement. Le fait de gagner un salaire régulier et assuré lui procure un sentiment de sécurité immense. Plus jamais elle ne s'en privera, elle s'en fait la promesse.

Le poste qu'elle occupe fait appel à son intelligence et à ses connaissances. Comme elle relaie les décisions du réalisateur, la découverte du pouvoir qu'elle a sur bien des gens la grise.
Elle doit coordonner les horaires, planifier les répétitions, puis les enregistrements. Rien ne doit lui échapper.
Et elle y parvient avec brio.
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Elle s'était engagée droit devant, se perdant dans la ville, comme pour épuiser ce corps avide d'amour et de tendresse. Honteuse d'avoir exposé la partie vulnérable de son âme, d'avoir révélé son attirance, elle s'en voulait à mort. L'envie de sangloter ne manquait pas, mais sans la bienveillance de autres, pleurer ne sert à rien. Perdue au milieu de cette foule d'étrangers, elle ne voyait pas à qui s'accrocher. Elle regrettait intensément sœur Monique, Eugène, ses amis des Beaux-Arts, ses collègues du magasin, la famille réunie, la maison chaude, les chiens, les chats, les poules. Elle revoyait la petite cour intérieure, partagée avec les voisins, où les comptines des filles se répercutaient, joyeuses, naïves, sans inquiétude. Montréal lui manquait douloureusement : le centre de la ville avec ses magasins, la rue Sherbrooke, qu'elle se plaisait à parcourir, le parc La Fontaine, le soir, tout près de l'appartement de la rue Saint-Hubert, l'épicerie du coin. Elle aurait tout donné pour apercevoir Claudio, là, au détour de la rue, pour entendre sa belle voix, calme, posée et grave lui murmurer quelques mots. 'Ne te décourage pas' se serait-il contenté de lui souffler, 'un jour, tu trouveras celui qu'il te faut pour emplir ta vie', aurait-il ajouté, tout en passant affectueusement la main dans ses cheveux.
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