Taïga

C'est une histoire qui raconte un crash d'avion dans la Taiga,il y a un seul survivant,un jeune garçon prénomé Ivan.Une louve ayant perdu c'est petits le receuil et le sauve du grand froid de la Taiga
Ce livre m'a plus car l'auteur d'écrit très bien la Taiga et les autres personnage cependant il n'y a pas beaucoup d'originalité dans les prénom

Je n'ai pas vraiment accroché.
J'ai trouvé que c'était trop décousu.
En effet, on passe d'un personnage à l'autre et on n'a toutes les informations que petit à petit. de plus, la Taïga est également considérée comme un personnage, ce qui rajoute à la difficulté de compréhension.
Tous ces éléments font que je me demande comment les lecteurs de 10-11 ans ,à qui est adressé le récit, se retrouvent dans tout cela : est-ce qu'ils arrivent à s'attacher à cette histoire ?....pas certain...

Ce roman a une valeur sentimentale pour moi : c'est le premier livre que ma fille a lu seule et elle l'a tellement aimé qu'elle l'a lu un nombre de fois incalculable. Et je la comprends parce qu'il est vraiment très chouette.

Je ne m'attendais pas à ça… je pensais bien que la rencontre avec l'enfant tournerait ainsi : que Louve, malgré la faim, ne le dévorerait pas et qu'elle ressentirait le besoin de le protéger.
Par contre, en ce qui concerne celle avec le chasseur, c'est différent de ce que j'imaginais : il chasse Louve après qu'elle ait mangé une des proies qu'il avait piégé. La confrontation ne se fait qu'à la fin. C'était super angoissant.

La plume de l'auteure est vive, les phrases courtes. Ça donne un rythme à la fois punchy et essoufflé qui reflète parfaitement les émotions des personnages.
Au fil des pages, on découvre les raisons qui motivent chacun des trois protagonistes de ce roman : la survie (la faim, le froid, la vente des fourrures qui permettent de survivre tout l'été, etc.). Tout est une question de point de perspective : leur manière de faire est différente, mais leur but est identique. Ça les rend sympathiques.
Il y a un quatrième personnage dans cette histoire qui n'en est pas vraiment un : le décor, Taïga. Dans ce récit, elle semble avoir une volonté propre, c'est déroutant mais intéressant.

Le seul bémol pour moi, c'est l'âge de l'enfant : 8 ans… pourtant, il ne prononce que deux mots “Ivan” et “chien”. Alors d'accord, il a subi un choc, mais quand même, j'y ai moyennement cru. Je l'aurais vu plus jeune, c'est déjà grand pour que lui confonde chien et loup et n'en ait pas peur et pour que Louve le compare à ses petits et accepte de le protéger.
Si ce n'est ce détail, j'ai pris un plaisir énorme à lire ce roman que j'ai adoré.
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Première lecture pour le Cold Winter Challenge de cette fin d'année 2017 et une lecture jeunesse avec Taïga de Florence Reynaud.

Taïga nous conte l'histoire de Louve et d'un jeune garçon, l'une est en quête d'une proie pour se nourrir et l'autre à survécut au crache d'un petit avion. C'est l'histoire d'une rencontre, celle d'un prédateur et d'un jeune garçon perdu, ne se souvenant pas au premier abord, pourquoi il est là. La taïga se veut féroce avec les faibles, ils devront donc tous deux s'entraider pour survivre.

Court roman jeunesse, où l'on nous transporte dans un monde de froid. Je dois avouer ne pas avoir accroché avec la plume de l'auteur. J'ai lu ce roman avec l'âge de vingt-deux ans et non pas l'âge requis pour cette lecture, j'y es trouvé un manque de cohérence avec le public ciblé. La taïga est considérée comme un personnage à part entière, les bribes de souvenirs du petit garçon parsemé avec parcimonie pendant le roman, tout cela peut finalement perdre un jeune lecteur pendant la lecture. Ajouter à cela une histoire douce, mais qui pour m'à part a manqué d'un attachement au personnage.

J'ai finalement survolé ce roman sans être prise dans l'histoire, sans m'attacher au personnage et sans réellement apprécier ma lecture. Vite lu mais qui seras vite oubliée.
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C'est un curieux petit texte...
Un enfant, seul rescapé d'un crash aérien, survit grâce à la louve qui va prendre soin de lui, lui tenir chaud, le protéger et tenter de le nourrir. Et puis le trappeur qui recherche le loup qui lui a volé une belle pièce dans un piège, qui arpente Taïga et jure contre cette terre du diable, cette terre de malheur, âpre... mais qu'il a du mal à quitter quoi qu'il dise.
Ce qui m'a perturbée dans le récit c'est que le petit garçon, Ivan, a 8 ans et que, même si on apprend qu'il est petit pour son âge et pas très éveillé, ses émotions, ses réactions et même ses mouvements sont ceux d'un bébé, il a la maladresse et l'allure d'un petit de 3 ans tout au plus (de mon point de vue). Je n'ai pas compris la raison de ce décalage.