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Orcs & Gobelins



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Orcs & Gobelins, tome 24 : Orouna

BANDE DESSINÉE FANTASY / DARK FANTASY.

Ce 100e album consacré au monde d'Aquilon (et oui déjà !) nous raconte les tribulations de la belle mais farouche orc Orouna. C'est en fort mauvaise posture qu'on fait sa rencontre, convoyée au palais forteresse du collectionneur Horeb Asha située au coeur du désert. Et au sein de son harem cosmopolite elle souhaite gravir les échelons le plus vite possible pour régler son compte au sosie du Baron Vladimir Harkonnen…



Mais la majeure partie du récit est centrée sur le passé d'Ourona et sur sa relation difficile avec sa fille adoptive elfe Elünn. le thème des relations orcs / elfes avait déjà été exploré dans les albums précédent avec le personnage d'Ora, mais ici c'est abordé de manière différente. En effet la partie en flashback détaille ce qui unit et se qui sépare la strong independant woman et la turbulente adolescente durant leur cavale commune pour échapper au chef de gang Karkey. Elle est tellement détaillée d'ailleurs que la narration est déséquilibrée entre le récit du passé et le récit du présent qui fait presque figure d'interlude.

Finalement les deux récits finissent par se rejoindre et on comprend qu'on est dans une histoire de vengeance. Mais n'est pas "Le Comte de Monte-Cristo" qui veut, et la vengeance est réglée en quelques pages avant que ne débarquent les troupes de King Kronan qui vont nous amener vers le tome 3 des "Guerres d'Arran". Mais ceci est une autre histoire…



Les phylactères de Jean-Luc Istin sont toujours riches en introspection mais il est un peu moins bavard que d'habitude, du coup on gagne au change. Et pour terminer je tiens à signaler que l'ensemble est grandement tiré vers le haut par les superbes dessins de Sébastien Grenier colorisés par J.Nanjan !

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Orcs et Gobelins, tome 25 : Kalderok

Même si ce tome s'inscrit dans le cycle des Guerres d'Arran, il n'a que peu de rapports et de liens avec les événements.

Car en effet, nous suivons les pas de Kalderok dans sa dernière traque.

Aux commandes de ce tome, Nicolas Jarry, qu'on ne présente plus, nous conte donc le baroud d'honneur de cet orc sur la fin, qui cherche les moyens suffisants de réaliser son rêve tout en faisant honneur à sa lignée.

Là où l'auteur fait fort, c'est qu'il nous balade tout le long du récit, d'épreuves en épreuves, sans jamais révéler l'identité du dernier contrat de son héros. Le doute s'installe jusqu'à tourner les soupçons sur un personnage en particulier. Mais là encore, le lecteur se trompe et même si on s'en doute un peu, car la cible en question est plus qu'évidente au vu de sa notoriété, Jarry nous livre le contrat sur un plateau.

Au fil des pages, on finit par s'attacher au personnage de Kalderok, lui même s'attachant au fil du voyage qu'il entreprend à la gamine dont on lui confie la formation. On comprendra d'ailleurs que cet acte n'est pas un hasard et même une stratégie bien ficelée de la part du commanditaire. On finit également par s'attacher à Ashïa, la gamine en question au fort potentiel, qui n'est pas la fille de n'importe qui.

Le récit tourne donc autour de ce duo improbable qui va nous faire comprendre que, même si Kalderok lui enseigne que chez les Orcs, on se trahit et on s'étripe, et qu'ils ne valent pas mieux que les hommes, finalement, il y a bien un sens de l'honneur qui guide leurs pas et leurs actes.

Ce tome est plutôt bon dans l'ensemble mais j'ai noté tout de même quelques longueurs bien inutiles, des épreuves que subissent les Orcs, la multiplication des pièges tendus par les Tannhoser dans lesquels tombent les Orcs, ne sont là que pour ralentir l'avancée de l'histoire, et nous permettre de comprendre un certain pan du passé du personnage. Cela aurait d'ailleurs mérité d'être un peu plus approfondi.

Pour finir, je trouve que Marco Itri s'en sort très bien, spécialement pour les décors et fonds. Quelques planches sont justes superbes.
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Orcs et Gobelins, tome 1 : Turuk

C'est ma première incursion dans le monde des terres d'Arran et je dois dire que je n'ai pas été déçu. D'abord, l'histoire est accrocheuse dans ses moindres détails. Et les dessins !!! C'est d'abord cela qui m'a attiré, je dois le dire. Les dessins sont magnifiques! Le héros, Turuk, est de ce genre que j'apprécie. Un héros sans foi, ni loi, sauf la sienne et qui vient atténuer cette caractéristique par un humour ravageur (surtout lorsqu'il décrit lui-même l'aventure).



Les dernières cases créées un momentum qui nous donne envie de commencer immédiatement le deuxième tome. L'avertissement de Turuk à la fin vaut vraiment la peine d'être lu!



Une superbe lecture, des dessins accrocheurs. Je crois bien que je suis partie pour une belle aventure dans les terres d'Arran!!!
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Orcs et Gobelins, tome 25 : Kalderok

Kalderok est un orc et traqueur depuis longtemps, trop longtemps. Il a décidé de prendre un ultime contrat et de prendre sa retraite. Perclus d'arthrose, il commence à avoir du mal à courir, à se mouvoir. Indépendant, il ne s'est pas vraiment occupé de la guerre qui vient de naitre, de la volonté des humains d'anéantir les races anciennes. C'est donc le hasard si son contrat le même à Dal Darum, haut lieu de la résistance mené par Redewin. Un autre hasard si un ancien collègue lui confie l'éducation d'Aisha, sa fille un peu trop impulsive et dont l'apprentissage de la traque permettra de canaliser son énergie. Mais ces deux se ressemblent et Kalderok finit par convenir que la jeune orc est douée, très douée. Il se prend même un peu d'affection pour elle. Mais le fameux contrat est toujours de mise, et pour le vieil orc, se résoudre à son dernier assassinat sera finalement plus compliqué que prévu.

Même si le cas de conscience final est un tantinet capilotarcté, l'intrigue est sympathique et parvient à rendre ses personnages réalistes (Kalderik et ses rhumatismes!) et quasi émouvants (cela reste un tueur mais moins égoiste que prévu). Le graphisme est impeccable.

je me répete un peu mais ces derniers tomes relancés par la guerre des humains sont d'une très bonne qualité. A lire.

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Orcs et Gobelins, tome 25 : Kalderok

Ce 25ème tome d’Orcs & Gobelins nous présente le personnage de Kalderok, un traqueur aux allures de chasseur de primes. Ce dernier est vieillissant et cherche à honorer un dernier contrat avant de tirer sa révérence. Le récit se déroule pendant les guerres d’Arran ce qui nous permet d’apercevoir des personnages bien connus de l’univers du Monde d’Aquilon. L’histoire est prenante et agréable à suivre. Les dessins sont très beaux et accompagnent parfaitement le récit.
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Orcs et Gobelins, tome 25 : Kalderok

Kalderok est un orc traqueur réputé mais ses plus belles années sont derrière lui. La vieillesse, l'arthrose et la solitude lui font accepter un dernier contrat lucratif afin de payer sa retraite hors des terres d'Arran ravagées par la guerre. Et ce contrat l'amène à Daldarum, la cité reconstruite par Redwin pour mener la résistance contre les hommes.



Un nouveau tome sympathique avec une figure assez forte. C'est assez rare de voir un héros rattrapé par la vieillesse et une certaine lassitude, surtout pour un orc. Il nous est relativement sympathique. Il va prendre sous son aile la turbulente Aïsha à qui il va apprendre les astuces de la traque. Même si le suspense est gardé jusqu'à la fin, on comprend très vite qui a le contrat sur sa tête et le cas de conscience qui va s'ensuivre pour Kalderok.

Le dessin est efficace et la colorisation soignée.
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Orcs et Gobelins, tome 21 : Orak

Cela fait longtemps que je n'ai pas lu un tome des Terres d'Arran et je crois bien que celui-ci est le tout premier de la nouvelle série Guerres d'Aran. C'est dans doute la magnifique page de couverture qui m'a attirée.

Et j'ai bien fait car cette histoire peut se lire indépendamment de toutes les autres et elle se lit très bien !



Les personnages d'Orak et de Duna, l'un semi-orc à la peau rouge et sa régulière à la peau verte sont vraiment attachants. On tombe facilement sous le charme de ce couple d'Orcs dont les fils ont le caractère aussi bien trempé qu'eux et qui n'ont pour seul souci que de se nourrir et de faire la guerre à la harde de sangliers du coin.



C'est sans compter la guerre qui sévit un peu partout sur les Terres d'Arran. Les humains ont décidé d'éradiquer les anciennes races et la petite vie tranquille d'Orak et de Duna risque d'en pâtir, à moins que ce ne soit pour une toute autre raison...



J'ai bien aimé cet album. Les auteurs des Terres d'Arran nous ont donné l'habitude de découvrir un bon nombre de personnages charismatiques et Oral fait partie de ceux-là. Un dur à cuire au coeur tendre ! Ce sont mes préférés ! Néanmoins, j'ai été un peu déçue par le dénouement de l'histoire. Je suis un peu lasse de toutes ces histoires de mages aux pouvoirs nécromanciens. C'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai lâché cette série.



Ce fut tout de même une lecture réjouissante alors qui sait ? J'y reviendrai sans doute.
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Orcs & Gobelins, tome 24 : Orouna

Orouna est une orc forte qui a participé à de nombreuses batailles mais parce qu'elle est aussi très belle la voilà vendue comme esclave sexuelle à un riche collectionneur. Un immonde vicelard qui enrichit son harem en femmes d'anciennes races toutes plus belles les unes que les autres qu'il drogue pour les rendre dociles, qu'il mate par la force si nécessaire, pour mieux les posséder.



L'autocollant sur la couverture annonce que ce tome est le 100e du monde d'Aquilon. Ca commence à faire un sacré paquet surtout que ce n'est pas fini. Ce tome s'inscrit désormais dans les guerres d'Arran, et l'on voit les premières tensions apparaître entre les hommes et les anciennes races en Terre des Ogres.

Mais la n'est pas vraiment l'important du scénario. On va suivre Orouna sur deux périodes différentes. La première, sa vie d'esclave au sein du harem d'Horeb Asha, le seconde quelques temps avant et qui nous explique au fur et à mesure comment elle en est arrivée là. Cette réponse ne sera donnée que dans les dernières pages.

Orouana, si elle se bat comme une orc, est dotée d'une sensibilité peu commune à sa nature. Elle dessine, se lit d'amitié avec ses voisins, elle sauve un bébé elfe et l'élève comme sa fille. Ce lien mère-fille est très beau et on ne le rencontre pas souvent dans Orcs et gobelins.

Un épisode très dynamique riche en action mais sans oublier une petite dose de psychologie des personnages. Quelques clins d'œil sont fait à d'autres personnages de la série pour notre plus grand plaisir.

Les dessins sont de qualité. En somme un très bon cru!
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