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EAN : 9782070322886
169 pages
Gallimard (21/02/1985)
  Existe en édition audio
4.03/5   1757 notes
Résumé :
"Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide." Avec cette formule foudroyante, qui semble rayer d'un trait toute la philosophie, un jeune homme de moins de trente ans commence son analyse de sa sensibilité absurde. Il décrit le "mal de l'esprit" dont souffre l'époque actuelle : "L'absurde naît de la confrontation de l'appel humain avec le silence déraisonnable du monde."
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4,03

sur 1757 notes
Sitôt le personnage de ''L'étranger” abandonné à son triste sort, l'envie de rester un petit moment encore en compagnie d'Albert Camus s'est imposée naturellement.
D'un point de vue chronologique le choix de l'essai ”Le mythe de Sisyphe”, publié également en 1942 dans le cadre de la tétralogie “Le cycle de l'absurde”, semble aller de soi.

“Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide”. Malgré cet incipit quelque peu intransigeant, cet essai ne fait pas l'apologie du suicide, tant s'en faut.
Selon Camus, la passion et la révolte sont les meilleures armes pour combattre l'absurdité de la vie.
Pour échapper au tourment de sa propre finitude, à l'inutilité d'une vie, l'homme doit être habité d'un esprit tourné vers les relations humaines, épris de liberté dans la pleine conscience de ses pouvoirs et de ses limites.
L'homme conquérant doit essayer de constamment tendre vers “l'étonnante grandeur de l'esprit humain”.

Si le ton est parfois un peu péremptoire, le style de Camus n'est pas rébarbatif. Pour étayer ses dires l'écrivain se réfère souvent à d'illustres aînés, les passionnés de philosophie apprécieront.
Mes carences en la matière m'ont sans doute privé de quelques subtilités mais je n'ai pas éprouvé de lassitude à suivre l'auteur dans ses pérégrinations existentielles.

“Le mythe de Sisyphe” constitue une approche intéressante de la pensée camusienne. Le titre est éloquent mais la lecture de cette oeuvre pas le moins du monde éreintante.
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Lorsqu'une fin d'année approche, que tout et tous autour de vous vous incitent au bilan, pensée on ne peut plus absurde quand on y pense, car, après tout, pourquoi ne pas faire un bilan chaque jour, ou tous les mois, etc... ?, il se produit un phénomène récurrent chez ma petite personne : j'ai besoin de ma dose de Camus, oui, je le confesse, je suis addict, il me faut me replonger dans sa prose, son style, ses idées, pour savoir où j'en suis. Ce peut être au travers d'un roman, d'une pièce de théâtre, d'un essai, et même de sa correspondance ou journaux de voyage, j'ai déjà tout lu, et la seule façon de me donner l'illusion heureuse qu'il continue d'écrire, est de poser un nouveau regard sur un texte que j'ai déjà exploré. Ces jours-ci, j'ai relu "Le mythe de Sisyphe", et ça m'a fait du bien. J'y trouve matière à affronter la vie, que ce soit dans le plus trivial du quotidien comme dans les plus hautes sphères de la réflexion. Cela me remet également les idées en place, me "dépollue" en quelque sorte de l'avalanche d'informations, commentaires, critiques, exégèses que je suis la première à lire via les divers supports médiatiques, pour ne garder que l'essentiel, la substantifique moelle de ce que devrait être notre regard sur le monde, sur notre propre vie : une distance nécessaire, une absence de complaisance non dépourvue d'humanité, et, plus que tout, ce qui, il me semble, irrigue l'oeuvre entière d'Albert Camus : la solidarité. Cela peut paraître simple, voire simpliste, mais si vous réflechissez, si vous êtes de ceux qui essaient de mettre en cohérence vos pensées et vos actes, reconnaissez que ce n'est pas si facile que ça. C'est un voyage intérieur, dont vous êtes seul le héros, mais avec un compagnon comme Camus, les bagages se font plus légers. Alors, oui, je suis peut être droguée à mort, mais, puisqu'il nous faut bien mourir à nous-mêmes, je persiste et signe.
Il y a un peu plus d'un mois, au cours d'un voyage familial en Provence, je me suis rendue à Lourmarin. J'avais un bouquet de fleurs avec moi, que j'ai déposé sur la petite tombe de Camus, cette tombe simple qui lui ressemble, avec cette jolie végétation qui lui sert de protection les jours de grand soleil. Je lui ai dit quelques mots, rien qu'entre lui et moi, ai versé quelques larmes. Et c'était bien.
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Connaître le sort de Sisyphe nous éclaircit d'emblée sur les intentions d'Albert Camus :


« Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu'au sommet d'une montagne d'où la pierre retombait par son propre poids. Ils avaient pensé avec quelque raison qu'il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir. »


Pauvre Sisyphe –et pauvre homme absurde. Car tout homme n'est pas Sisyphe, mais l'est seulement celui qui aura été un jour frappé par un instant de lucidité féroce. A partir de ce moment-là se révèle la question philosophique majeure : la vie mérite-t-elle d'être vécue malgré son inutilité absolue et apparente ? Si non, il faut se suicider. Si oui, il faut trouver une bonne raison de continuer à vivre. Celui-là qui continue est l'homme absurde, jonglant d'un jour sur l'autre entre espoir et lassitude.


Dans son exposé de la question, Albert Camus se montre austère et très peu engageant. Cherchant peut-être à prendre de la distance avec son sujet, il détaille les arguments et les réflexions avec une rigueur scientifique qui sied peu à la question, qui rebute souvent par une impression de manque d'empathie, mais qui finit toutefois de bouleverser par la pertinence des vérités ainsi discrètement révélées.


Inspiré et nourri de figures littéraires, Albert Camus disparaît le temps de deux chapitres derrière les interprétations absurdes des oeuvres de Dostoïevski et de Kafka. Il nous donne ainsi la possibilité de renouveler notre regard et de compatir avec ces hommes absurdes qui, pour faire fuir la terreur de la mort, ont créé ce qu'on appelle parfois « l'oeuvre d'une vie ».


Le mythe de Sisyphe est utilisé à escient pour dépasser son aspect tragique. Sisyphe est-il désespéré ? Parfois, sans doute, mais « il faut imaginer Sisyphe heureux » car « la lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un coeur d'homme ». Si la seule et ultime raison qui nous conserve vivant est la vie elle-même, alors cela suffit.


Vraiment ? Il faut imaginer Albert heureux. Et si l'on y parvient, c'est que nous-mêmes le sommes encore un peu.

Lien : http://colimasson.over-blog...
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Pierre qui roule...

Je ne sais pas vous, mais lorsque je pose un acte, je doute de sa validité, du sens qu'il peut revêtir. Je me dis qu'il pourrait être tout autre et qu'il aurait cependant la même importance, le même sens ou plutôt le même non-sens...


Chez Camus, c'est autre chose, à la relecture, le Mythe de Sisyphe est toujours aussi vertigineux et son évidence apparaît dans une flamboyance sans appel.
Tout commence par la question fondamentale du suicide, selon que la vie vaut ou non d'être vécue.
Sur cette question essentielle, le philosophe (existentialiste athée) met en garde contre les risques d'une pensée, (souvent mise en action par un simple "souci") trop introspective "c'est commencer d'être miné" et d'une lucidité exacerbée (dont Char écrivait qu'elle est "la blessure la plus rapprochée du soleil"). Il se réfère à deux postures possibles : celle de la Palisse ou celle du Quichotte, l'idéal étant un mix des deux, savant équilibre de l'étude rationnelle et du lyrisme.
Le suicide est donc un aveu d'incompréhension devant l'habitude, l'agitation quotidienne ainsi que devant le scandale de la souffrance et de la finitude qui génère ce sentiment d'absurdité qu'une logique poussée à son extrême entraîne jusqu'à l'irréversible abdication.
Il souligne une anomalie, le monde est "épais", une pensée anthropomorphique ne permet pas "d'unifier" ; un animal, une pierre nous sont étrangers ; la nature, un paysage "plus lointains qu'un paradis perdu" peuvent nous nier. Ainsi, "cette épaisseur et cette étrangeté du monde" participent de l'absurde.
Tentation de l'inutile, devant les apories toujours repoussées du travail scientifique et d'une physique dont les issues s'apparentent à l'oeuvre d'art.
Nul réconfort métaphysique ; que serait une liberté donnée par un être supérieur pour qui "n'a pas le sens de la hiérarchie" ? pas plus que celui de l'opportuniste pari pascalien.
Camus comprend mal également le revirement dostoïevskien d'un Kirilov se tuant pour être déifié, face aux espoirs d'une vie éternelle des Karamazov.


A cette absence de finalité et d'espoir (qui n'est pas le désespoir), répondent cependant une conscience cherchant sa direction, des intentions au coeur d'un présent, un mouvement, un devoir d'intelligence, des échanges humains et pour ne pas "ruminer", l'imagination, source de créations, fussent-elles éphémères.
Choisir entre "la croix ou l'épée", la contemplation ou l'action, bien que les sachant inutiles mais, dans dans une certaine mise à distance de l'événement, "faire comme si" et devant un hasard toujours "roi",savoir user de l'esquive...
Préférer encore la mutilation d'Oedipe, résistant ainsi au désespoir et à la tentation du suicide ; cette résistance devenant l'affirmation que "tout est bien".
C'est donc précisément l'absence de sens de l'existence qui en fait son intérêt.
Ainsi, pour Camus comme pour les stoïciens, l'homme peut et doit affronter le destin, enrichissement vers une certaine liberté intérieure :
"Il faut traiter le destin par le mépris"


Sauf que...
Peut-être ne convient-il pas de trop taquiner l'absurde ni provoquer
le fatum, les concepts ont parfois la susceptibilité exacerbée.
Le quatre janvier mille neuf cent soixante, la Facel Vega dans laquelle Albert Camus avait pris place s'est heurtée à l'épaisseur du réel ("ce qui résiste" - Serge Leclaire) et l'absurde, ainsi dépossédé de son objet s'est naturellement dissout.
L'écrivain a rejoint le minéral, tant chanté dans Noces et l'eté, avec lequel il aspirait parfois à se confondre.
La pierre délaissée a cessé son mouvement.
"Ce monde n'a plus son reflet dans un univers supérieur, mais le ciel des formes se figure dans le peuple des images de cette terre."
A noter que quelques mois plus tard, Sagan de justesse fut épargnée mais pourtant prévenus, Nimier ( "Il n'y a que les routes pour calmer la vie") et Huguenin abandonnèrent à l'asphalte beaucoup de leur superbe.


Bon voilà, j'ai terminé mon devoir de vacances, m'en vais sagement reprendre ma petite auto, puis maintenant que sont posées partout des limites et même aux vitesses, j'aurai l'absurde modeste, le destin besogneux ; pas de désir de suicide excepté peut-être une pendaison à un cou.
D'ailleurs, je n'intéresse guère les dieux, impassibles et somnolents dans la torpeur estivale.


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Ce fut une lutte intellectuelle pour le comprendre : mais où veut-il en venir ?
Camus est un homme qui interroge. Avant lui, je ne connaissais pas l'importance de "l'absurde". Là, comme Sisyphe, comme les existentialistes, il se révolte contre la mort, contre les dieux. Pourquoi nous donner une vie pleine de passions, si nous devons mourir après ? Alors autant qu'elle soit la plus longue possible.
.
Il est en colère. Et je ne comprends cette révolte qu'au milieu du livre. Furieux comme avec Faulkner ou Nietzsche, je lui donne une étoile. Puis, au bout de cent pages, mon incompréhension cesse, le déclic se fait, je me fais une opinion, pas forcément vraie, et je lui donne quatre étoiles. Je comprends que ce livre est un coup de gueule. Camus, comme Nietzsche, Kierkegaard, Sartre, etc... est révolté. Il se sent piégé. Pourquoi donner de la vie, de la passion, de l'intelligence, pour mourir après, puisque comme dit Nietzsche, "Dieu est mort" ? Alors, dit-il, on connait l'alternative de cette métaphysique : soit il n'y a pas de dieu, nous sommes seuls, mais libres, soit dieu est là, mais alors, ce n'est pas le dieu d'amour des "philosophes mystiques", comme il les appelle, mais un ingrat qui comme pour Sisyphe, nous soumet en esclavage, et nous rend "prolétaire des dieux". Que choisit-il ? Il ne le dit pas. Il martèle l'absurdité de la situation : l'homme, l'artiste, le conquérant heureux inconscient devient l'homme absurde quand il prend la mesure du piège. Camus est en pleine "crise existentielle", et quand j'ai lu "La chute", je suis passé à côté de ça.
.
Reprenons, en tenant compte qu'en 1942, quand ce livre sort, un de ses premiers, Hitler a provoqué "L'hiver du monde".
Je trouve que "Le mythe de Sisyphe" est une oeuvre brute de décoffrage, une belle analyse, un coup de gueule de la jeunesse, mais il manque la patine de l'expérience. Celle de Kafka, par exemple, un des maîtres du roman existentialiste, de "l'oeuvre absurde" ...
.
... dont il écrit merveilleusement, pour "La métamorphose" :
" Cette complicité secrète, au tragique, unit le logique et le quotidien. Voilà pourquoi Samsa, le héros de la métamorphose, est un voyageur de commerce... La seule chose qui l'ennuie dans cette singulière aventure qui fait de lui une vermine, c'est que son patron sera mécontent de son absence. Des pattes et des antennes lui poussent, son échine s'arque, des points blancs parsèment son ventre et cela lui cause "un léger ennui". Tout l'art de Kafka est dans cette nuance."
.
"Le Mythe" est une oeuvre qui m'a bien interrogé sur la place que donne Albert Camus à la religion. Il ne faut pas confondre Dieu et la liturgie. Celle-ci n'est qu'une construction humaine, artificielle : les supporters ne sont pas les joueurs. Cette question est posée depuis "Le siècle des Lumières". Voltaire a enfin séparé Dieu de la liturgie.
.
Quant à la promesse "d'âme éternelle", la question reste en suspens depuis Kierkegaard et Nietzsche. Pour Camus, sont-ce les limbes, comme pour Sisyphe, qui attendent "l'âme" après la mort ?
Je pense, mais ce n'est que mon humble avis, qu'après avoir été rapidement passé en jugement dernier en 1960, il se sent bien là-haut, et fait des clins d'oeil à certains Terriens : )

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Citations et extraits (404) Voir plus Ajouter une citation
« L’important n’est pas de guérir mais de vivre avec ses maux »



« la vie sera d’autant mieux vécue, qu’elle n’aura pas de sens »



« On doit frapper à mort l’espérance terrestre, c’est alors seulement qu’on se sauve par l’espérance véritable »
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Nous prenons l’habitude de vivre avant d’acquérir celle de penser.
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Ce qu’on appelle une raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir.
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On a compris déjà que Sisyphe est le héros absurde. Il l'est autant par ses passions que par son tourment. Son mépris des dieux, sa haine de la mort et sa passion pour la vie, lui ont valu ce supplice indicible où tout l'être s'emploie à ne rien achever. C'est le prix qu'il faut payer pour les passions de cette terre. [...]
Tout au bout de ce long effort mesuré par l'espace sans ciel et le temps sans profondeur, le but est atteint. Sisyphe regarde alors la pierre dévaler en quelques instants vers ce monde inférieur d'où il faudra la remonter vers les sommets. Il redescend dans la plaine.
C'est pendant ce retour, cette pause, que Sisyphe m'intéresse. [...] Cette heure qui est comme une respiration et qui revient aussi sûrement que son malheur, cette heure est celle de la conscience. A chacun de ces instants, où il quitte les sommets et s'enfonce peu à peu vers les tanières des dieux, il est supérieur à son destin. Il est plus fort que son rocher.
Si ce mythe est tragique, c'est que son héros est conscient. Où serait en effet sa peine, si à chaque pas l'espoir de réussir le soutenait ?
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Il y a beaucoup de causes à un suicide... On se suicide rarement par réflexions. Ce qui déclenche la crise est presque toujours incontrôlable. Les journaux parlent souvent de "chagrins intimes" ou de "maladies incurables"... Mais il faudrait savoir si le jour même un ami du désespéré ne lui a pas parlé sur un ton différent. Celui-là est le coupable. Car cela peut suffire à précipiter toutes rancœurs et toutes lassitudes encore en suspension...

Se tuer, dans un sens, et comme au mélodrame, c'est avouer. C'est avouer qu'on est dépassé par la vie et qu'on ne la comprend pas... Que cela ne vaut pas la peine... On continue à faire les gestes que l'existence commande, pour beaucoup de raisons dont la première est l'habitude. Mourir volontairement suppose qu'on a reconnu, même instinctivement, le caractère dérisoire de cette habitude, l'absence de toute raison profonde de vivre, le caractère insensé de cette agitation quotidienne et l'inutilité de la souffrance...

Ce divorce entre l'homme de sa vie, l'acteur et son décor, c'est proprement le sentiment de l'absurdité. Tous les hommes sains ayant songé à leur propre suicide, on pourra reconnaitre, sans plus d'explications, qu'il y a un lien direct entre ce sentiment direct et l'aspiration vers le néant...
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