J'ai tenu bon pendant près de 220 pages. Mais le coup du tampon dans l'anus aura eu raison de ma pugnacité. Je me suis faite bêtement avoir par la bannière publicitaire qui comparait cet auteur à
Houellebecq. Que nenni.
Arnon Grunberg raconte juste des atrocités avec un ton monotone. C'est plat et redondant et triste et pas drôle.