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Henri Plard (Traducteur)
EAN : 9782253047568
412 pages
Le Livre de Poche (01/09/1988)
3.72/5   34 notes
Résumé :
D'Héliopolis, on pourrait dire que ce livre est le bréviaire de tous ceux que fascine depuis plus d'un demi-siècle l'oeuvre d'Ernst Jünger. Là sont contenus tous les grands thèmes de ses livres passés et à venir. Dans un univers où se mêlent intimement le romantisme le plus ésotérique et les techniques les plus fabuleuses de la science-fiction, l'auteur a campé une série de personnages « en situation » (le soldat chevalier; le sage détenteur des jardins secrets, le ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Il s'est passé quelque chose à Heliopolis, mais on ne saurait dire quoi. Heliopolis n'accueille pas tout le monde, et il manque à l'amateur, dont je fais partie, une exégèse qui permettrait de comprendre non seulement le déroulement factuel de l'histoire, mais aussi ce qui s'est passé dans l'évolution psychologique et spirituelle des personnages.


Je ne saurais résumer sans tricher le motif d'Heliopolis. Cela se passe dans une société futuriste très dirigiste dans laquelle la population semble partagée en plusieurs castes relatives à leurs niveaux spirituels. La technologie émerge à peine -la probabilité de vivre entourés de téléphones portables est évoquée, traversant l'esprit de Jünger dès 1949- et paraît comme l'horizon d'une humanité progressant par paliers.


Les personnages sont aussi indiscernables que l'intrigue qui les retient. Leurs statuts ne sont jamais clairement définis et laissés à l'appréhension du lecteur. Je pensais que leur rôle se résoberait ou s'éclaircirait au fil des pages, mais ce ne fut jamais le cas. Dans l'étroit mélange de philosophie et d'aventure qui constitue Heliopolis, les divagations spirituelles des personnages ne sont pas seulement de savoureux passages laissés à la délectation du lecteur. Ils semblent effectivement concourrir à la réalisation d'une fin compréhensible par les seuls lecteurs qui auront su passer suffisamment de temps à analyser les liens subtils et les menus détails des relations entre les personnages et leurs semblables, leur société, le temps historique et l'éternité spirituelle. Et Ernst Jünger ne nous facilite pas toujours la tache. Son texte n'est pas dense ni obtus, mais semble parfois extrêmement trivial, uniquement descriptif ; il capte si peu l'attention qu'on le survole en attendant de voir paraître les meilleurs moments -ceux où Ernst Jünger brille d'éloquence et d'érudition à travers l'histoire, la philosophie, la psychologie et la mystique. Sans doute a-t-il réussi à reproduire la trame de la réalité même, dispersant des éléments moteurs de la compréhension globale dans l'ensemble de son oeuvre, y compris dans le plus insignifiant.


Sans doute faudrait-il revenir plusieurs fois sur cet Heliopolis pour mieux le comprendre. Je ne ferai pas de relecture. Bien que l'élégance de l'écriture soit grandiose et les anecdotes savoureuses, Ernst Jünger ne me semble pas particulièrement original -pas au point en tout cas de vouloir réfléchir à l'exégèse de son Heliopolis. Pour ceux qu'il illumine immédiatement, l'immersion héliopolienne sera certainement fabuleuse. Pour les autres, ce n'est peut-être pas le bon moment, si tant est qu'il y en ait un.
Lien : http://colimasson.over-blog...
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Ernst Jünger préférait apparemment qualifier Héliopolis, paru en 1949, de roman philosophique plutôt que de science-fiction. C'est avant tout un récit visionnaire à multiples facettes, comme une quête du bonheur dans un monde imparfait.

Dans un futur sans date, après la période des Grands Embrasements qui ont détruit la terre, le commandant Lucius de Geer, au service du Pronconsul, revient en bateau dans la cité d'Héliopolis. Les destructions ont ravagé la ville au cours de l'histoire, mais Héliopolis reste cependant d'une splendeur méditerranéenne.

Après les Grands Embrasements, le Régent, détenteur du pouvoir suprême a pacifié la terre, mis les juifs à l'abri et, ne pouvant octroyer le bonheur et la paix, il s'est retiré, pour revenir plus tard, au moment adéquat. du haut des étoiles, il observe le désordre, laissant Héliopolis sous la coupe du Proconsul et du Bailli, qui luttent pour le pouvoir.

Le proconsul s'appuie sur domination d'une élite intellectuelle et aristocratique, tandis que le bailli est un démagogue cruel et populiste. Celui-ci passe pour un bon homme bien qu'il n'hésite pas à recourir au meurtre, à la torture pour contrôler le peuple, considéré comme une masse d'individus indifférenciés, et à diriger la rancoeur des masses sur la minorité parsi, un bouc émissaire facile à designer lorsqu'il y a des troubles. Les avancées technologiques n'ont pas apporté aux hommes tous les bienfaits dont ils avaient rêvé ; et nous sommes au contraire dans une époque de misères et de dangers, où le dégoût de la parole et des subterfuges de la politique se propage, et où les sectes fleurissent.

« La politique y était tombée au rang d'un pur mécanisme, sans grandes figures et sans autre contenu que la violence bestiale. Il convenait donc de s'isoler sur ces domaines inaliénables, de cultiver ses terres, de chasser, de pêcher, de se consacrer aux beaux-arts et au culte des tombes des aïeux, ainsi qu'il avait toujours été normal. le reste n'était qu'écume du temps, un cratère qui se consumait en lui-même et ne laisserait pas de traces dans l'histoire. »

Lucius de Geer, ressentant une lassitude pour les jeux de pouvoir et l'obéissance militaire, s'absorbe dans la contemplation, se tourne vers l'utopie, et la simplicité. Et dans la nuit menaçante d'Héliopolis, on aime se retrouver avec lui dans la taverne du Calamaretto, et consommer le vin au scintillement profond, le fromage de brebis sur le pain de froment et le jambon de pays garni d'olives noires. Lucius se marginalise, dans une évolution sans doute proche de celle de Jünger lui-même depuis « Orages d'acier » écrit près de trente ans auparavant.

Même s'il reste toujours chez Jünger une embarrassante fascination pour l'ordre et la violence, Héliopolis est un roman extraordinaire, souvent mystérieux et mélancolique, beau comme un fleuve profond qui traverserait des contrées inconnues, et qui parfois s'alanguit dans les méandres de débats philosophiques, ou dans des visions d'une amplitude cosmique, porté par un insatiable esprit d'aventure et de curiosité.

« le bonheur porte pour moi les traits de l'immaculé, de l'objet vierge. S'il faut le comparer à un trésor, j'aime en lui l'instant où je le sens tout en mon pouvoir, mais sans avoir encore disposé de lui. C'est un état potentiel qu'anime l'illusion. Il s'y mêle toujours l'idée du blanc. Les surfaces blanches m'égaient : un champ sous la neige, la lettre que je n'ai pas encore ouverte, la feuille de papier qui m'attend sur ma table. Bientôt, je la couvrirai de signes, de lettres, et je lui ravirai ainsi une part de son chatoiement. »
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« Héliopolis » est, avec « Sur les falaises de marbre » et « le traité du rebelle », mon oeuvre favorite de Jünger. J'ai lu cette oeuvre à maintes reprises sans me lasser. L'écriture y est remarquable et la symbolique très puissante. Cependant, avec l'âge, je m'attarde beaucoup moins sur le récit pour saisir l'essentiel du message fondamental adressé par l'auteur.

Je ne ferai pas le résumé de la narration. En revanche il m'importe d'exprimer ici l'essence du message de Jünger.

Le héros, Lucius, est un guerrier - non un soldat - issu d'une longue lignée aristocratique. Il est l'héritier et le dépositaire de valeurs qui ne sont plus d'actualité. Il comprend au fil du récit que sa caste n'a plus aucun avenir dans le jeu politique. Les références et le langage ne sont plus les mêmes. Les valeurs qui sont les siennes, l'honneur, la fidélité, la bravoure, la beauté n'y ont plus cour. le monde a changé. D'autres valeurs, fondées sur une vision matérialiste, utilitariste, arriviste et techniciste du monde, le gouvernent. C'est le monde de la bourgeoisie, celui qui conduisit de nombreux guerriers à s'entre tuer pour servir des valeurs qui n'étaient pas les leurs durant les deux guerres mondiales.

Bien qu'il continue à y jouer un rôle, Lucius est en rupture avec ce monde. Il est confronté à des contradictions et son esprit rebelle – rebelle car sincère et authentique - le conduit à ne pas respecter les ordres. Il prend ainsi des initiatives en rupture avec sa hiérarchie et de fait écarté des affaires dans un monde dans lequel il ne peut être à sa place. La rencontre avec Boudour Péri (une Parsi, donc une orientale) va lui ouvrir d'autres portes, d'autres perspectives. Cette ouverture se réalise à travers la prise de stupéfiants et l'amour. Elle le conduit inévitablement vers une dimension spirituelle, non mentale, non rationnelle, où prédomine l'intuition et l'irrationnel.

Cette oeuvre, au même titre que « Sur les falaises de marbre » est une allégorie du monde dans lequel vivait Jünger, monde partagé entre deux pôles (les deux blocs), monde dans lequel les valeurs de la seconde fonction n'avaient plus cour. Jünger, dans son for intérieur, l'avait profondément compris et tendit tout au long de sa fin de vie à intégrer les valeurs de la première fonction.

« Héliopolis » est aussi une allégorie du monde actuel, une monde frappé par la délinquance, la barbarie et la dégénérescence. Un monde de calcul et d'intérêts bassement matérialistes dont on ne peut échapper qu'en le fuyant à travers soit les stupéfiants, soit en s'élevant spirituellement car en définitive tout n'est que le jeu de la Maya. C'est ce que fait Lucius en embarquant sur le « Nouveau colomb ».

En ce monde qui s'écroule, tiré irrémédiablement vers les abîmes, la voie spirituelle est le seul recourt. Elle est une voie d'amour (Bourdour Péri) et de sagesse (ici grâce aux stupéfiants qui ouvrent l'esprit). C'est le message fondamental que Jünger transmet à travers cette oeuvre.

Loin d'être un roman de science-fiction, « Héliopolis » est donc avant tout un guide pour tous ceux qui veulent se positionner intérieurement dans le monde actuel. C'est un livre pour les rebelles, ceux qui luttent corps et âmes pour ne pas sombrer dans la chute de notre civilisation, pour ceux qui veulent préserver et transmettre les valeurs qui éveillent et fondent. Un livre à lire et à relire.
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Héliopolis est un livre étrange que l'on peut classer dans la science-fiction, l'héroic fantasy, le conte ou la légende. Junger a essayé de recréer un monde qui a survécu à un cataclysme nucléaire.
Le plus important n'est pas tellement l'intrigue : la venue de Lucius, un grand dignitaire, son implication dans un complot et son départ vers d'autres lieux, que la description d'une civilisation techniquement extrêmement avancée, mais politiquement écartelée entre l'élitisme du Prince et le populisme du Bailli. Cette société vit dans une guerre civile quasi permanente, avec ses castes supérieures et inférieure et ses boucs émissaires, les Parsis, habiles commerçants, fins artisans et redoutables financiers...
Nous sommes dans un très grand livre, du niveau de "1984" , "Le meilleur des mondes" ou " le seigneur des anneaux". Junger profite des diverses situations pour exposer ses idées sur la philosophie, la psychologie, la théologie ou la sociologie. Il se montre d'une extraordinaire clairvoyance sur la nature humaine, la société ou les progrès techniques à venir. Publié en 1949, ce livre décrit des panneaux lumineux à peine mis au point à notre époque, un appareil appelé "Phonophore" qui n'est autre que notre portable en mieux. Il a même imaginé un réseau de type Internet avec un demi-siècle d'avance. Un précurseur Junger, une sorte de Jules Verne.
Pour faire court, un livre foisonnant, inrésumable, un peu hermétique, très poétique et surtout empreint d'une grande nostalgie pour notre esprit chevaleresque perdu...
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Autant je suis contente d'avoir lu Héliopolis, autant je suis contente d'avoir fini et une ou deux fois, je me suis demandé ce qui m'avait pris de l'ouvrir. Dense, intense, cela ne se caractérise pas spécialement comme une lecture facile et il y a certainement bien des choses qui m'ont échappé.
Héliopolis est une cité en crise dans un monde qui a bien changé: à demi-mots, on comprend que l'humanité s'est relevée d'une guerre atomique. Lucius de Geer est notre personnage principal et il sert l'une des deux puissances qui se déchirent la cité en l'absence du Régent. le bailli et le proconsul sont deux versions différentes de la civilisation, deux idées qui s'opposent dans le sang et la violence tandis que le Régent prépare l'avènement d'une ère nouvelle, différente. Les parallèles religieux se mélangent à la métaphysique et c'est la quête et du bonheur et d'une place sur terre pour l'homme qui finissent par être les questions de Lucius. Dans ce livre publié au sortir de la seconde guerre mondiale, on trouve même une critique étonnamment moderne de la technique et de ces dérives, entre deux réflexions philosophiques sur la nature de la violence et du chaos.

C'est superbe, l'écriture de Junger est d'une élégance rarement égalée, mais maintenant ce qu'il me faudrait c'est probablement une bonne explication de texte !
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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
On voyait alors apparaître ces Calibans, en qui la masse reconnaissait, de prime abord, des incarnations et des idoles de la vie animale qui lui était restée. Elle les aimait dans leur faste, dans leur insolence, dans leur insatiable avidité. L'art, et surtout le film et le grand opéra, préparait le climat propice à l'épanouissement de ces types humains. Pour finir, il n'y avait plus d'ineptie, plus d'indécence, plus d'horreur qui ne déchaînât un ouragan d'enthousiasme. Alors que les ci-devant s'étaient encore cachés dans leurs résidences et leurs villas bien closes pour se livrer au luxe, au vice, à l'orgie, ces nouveaux maîtres de l'heure portaient toutes ces choses au marché et sur les places publiques, pour servir de spectacle au peuple et régaler ses yeux. Ils avaient découvert les sources de la popularité.
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Quand je l'accompagnais dans ses promenades géologiques, il aimait en effet à citer l'image de la section -c'est ainsi qu'à son avis l'univers, tel qu'il s'offre à nos yeux, ne représente qu'une des myriades de sections possibles. Le monde, disait-il, est comme un livre; de ses feuillets innombrables, nous ne voyons que celui auquel il est ouvert.
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Ils vivaient tristement, malgré les espaces énormes qu'ils administraient; la richesse leur fondait dans la main. Les dieux s'étaient détournés d'eux. Mais il leur semblait que sommeillait dans le vin le souvenir d'âges d'or. Il leur ramenait l'abondance, comme des vagues. Au fond de la coupe, ils trouvaient l'unité; les barrières tombaient. Les temps où les hommes étaient frères se renouvelaient. On entendait monter les chants, parmi les tables dressées devant les cabanes des vignerons, on rencontrait des couples au bord ombreux des bosquets, et sur les étroits sentiers de vignobles des amis qui marchaient bras dessus bras dessous. On les entrevoyait dans des dialogues pleins de profondeur et de feu, dont le sens reliait les âmes comme un courant d'étincelles; l'esprit prenait le caractère de l'élément. Les âges et les sexes se rapprochaient.
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Ces figures mythiques que tu te donnes tant de mal à dépister, ce sont des symboles du monde élémentaire. Ce que l'esprit naïf a pressenti, en des temps et des lieux reculés, est aujourd'hui le but de la conscience sévère, ordonnée, de la science. Nous avons appliqué des organes contre l'inconnu, et le contraignons à nous servir. Nous avons frappé de notre baguette le rocher inerte, et il jaillit du quartz un flot intarissable de puissance et de richesse.
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Lucius avait vu dans ses voyages les havres morts sur les côtes lointaines, les pâles villes au bord du désert. Les puits forés sur l'ordre d'Iskander étaient taris, et disparues avec eux les fleurs des jardins qui mettaient autour d'eux leur voile. Les maisons et les palais, les hauts obélisques et les tours magiques, au pied desquelles tournait l'ombre, portaient témoignages d'une vie qui s'en est allée. Des tombeaux et des catacombes subsistaient en ce monde. Tout tombait en poussière, les fleurs, les fruits, les seins des belles femmes, le bras des guerriers et le front des rois. Les villes mortes semblaient des coquillages qui s'effritaient au bord de la mer. Il en restait des noms, comme Troie, Thèbes, Cnosse, Carthage, Babylone. "Damas ne sera plus une ville, mais un tas informe de pierre." Puis les noms disparaissaient à leur tour, comme s'efface une inscription sur les dalles des tombeaux.
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Videos de Ernst Jünger (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ernst Jünger
Dans son nouveau roman "Le barman du Ritz", l'homme de radio, Philippe Collin, nous plonge dans la période de l'Occupation française. Imaginez un rendez-vous de hauts dignitaires nazis, de personnalités à la mode, de collabo et de résistants qui se croisent autour d'un verre sous l'oeil d'un barman virtuose, Frank Meier, un agent double à ses heures perdues. Dans le bar du grand palace de la place Vendôme, qui bénéficiait d'un statut spécial lui permettant de rester ouvert, on y croisait entre autres, Jean Coctzau, Gabrielle Chanel, Sacha Guitry, Barbara Hutton, Ernst Jünger ou Hermann Göring. Pendant ces années sombres, l'élite parisienne se retrouve donc à trinquer avec les SS. Et pour servir ce petit monde, Frank Meier, un fils de prolétaire juif, né en 1884 et issu du Tyrol autrichien. Expatrié aux Etats-Unis, il va rejoindre un hôtel de luxe de New-York et gravir les échelons jusqu'à devenir l'un des papes des barmen, avant de finalement rentrer en France. Naturalisé Français grâce à sa participation à la Première Guerre mondiale, il atterrit ensuite au Ritz en 1921. Derrière son bar, métaphore d'une ligne de front, il voit alors l'arrivée des Allemands dès 1940. Dans ce palace, véritable modèle réduit de la France occupée, il assiste en tant que spectateur, puis acteur de cette partie sombre de l'Histoire. Une question se pose alors : comment réagir ?

Retrouvez l'intégralité de l'interview ci-dessous : https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/
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