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Critiques de Barroux (292)
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Arthur mange ta soupe !

A table !

Arthur traine un peu, il a tant de choses plus intéressantes à faire.

L'heure des repas ce n'est pas toujours évident, et Barroux sait nous le raconter à hauteur d'enfant. Un petit album ( par la taille) simple et efficace, mais "bourré" d'humour et une chute inévitable.

Du Barroux quoi !
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Dans la gueule du loup

Au crépuscule de sa vie, Francis Cammaerts se souvient. De sa jeunesse en Angleterre, de la seconde guerre mondiale à laquelle il n'a pas voulu prendre part par conviction pacifiste et qu'il a fini par vivre au sein de la résistance française après la mort de son frère aviateur abattu par l'armée allemande. Une période sombre passée à fuir, à se cacher, à coordonner les actions de sabotage. Le jour de ses 90 ans, il repense aux années de clandestinité, aux rencontres inoubliables, aux camarades arrêtés et fusillés, aux combats menés dans l'ombre, la peur au ventre, jusqu'à la libération.



Francis Cammaerts a vraiment existé, c'est un oncle de Michael Morpurgo. Ce dernier donne l'impression de se glisser dans la peau de son aïeul avec une certaine forme de retenue. On ne bascule pas dans un torrent d'émotion malgré l'emploi récurrent de la première personne. Le récit des événements peut paraître uniquement factuel mais il gagne en force en refusant de jouer sur la corde sensible. Surtout, la voix de Francis s'attarde moins sur son propre cas que sur ceux de ses proches, de Pieter le frère adoré à Nancy, sa femme aimante, en passant par son père, philosophe anarchiste lui ayant enseigné très tôt les vertus du pacifisme.



Son rôle de résistant, sans être minimisé, ne donne pas dans l'héroïsme. Là encore le narrateur préfère s'attarder sur ses camarades de lutte qui, à ses yeux du moins, méritent bien plus d'éloges et de gloire que lui. Le texte montre également la difficulté de concilier ses convictions d'homme de paix avec sa volonté de venger la mémoire de son frère et la certitude que l'inaction ne peut que servir les intérêts de l'ennemi.



Superbement illustré par l'excellent Barroux, Dans la gueule du loup est un roman jeunesse porteur de valeurs d'amitiés et de solidarité doublé d'une belle déclaration d'amour aux femmes engagées dans la résistance. Un texte par ailleurs plein de respect et d'admiration pour Francis Cammaerts, qui a néanmoins l'intelligence de ne pas tomber dans l'hagiographie.


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Mon chien pense que je suis un génie

L’album ne changera pas le cours de l’histoire de la littérature jeunesse. Je ne pense pas que ce soit le but de son auteur. Par contre, il risque de faire largement sourire ses lecteurs grâce aux images des plus gaies signées Barroux, illustrateur très actif dont les personnages ont fait des heureux tant chez les grands que chez les petits.



Mon chien pense que je suis un génie met en scène un enfant qui passe son temps à peindre en compagnie de son chien, lequel semble beaucoup apprécier les toiles de son jeune maître. ce qui nous donne un album coloré qui pourra servir d’initiation à la peinture, puisqu’il continue aussi un clin d’œil à Cézanne.



Peu importe si le livre est traité à un premier niveau (un enfant qui peint) ou à un deuxième (un enfant peut-être autiste qui s’exprime par la peinture), l’un n’excluant pas l’autre, l’album n’a d’autre but que celui de faire sourire qui s’y aventure.
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Quand l'amour court...

Il sont rares ceux qui s’aiment pour toujours, ceux dont l’amour ne tarit jamais. C’est ce que découvre Paola dont les parents se sont aimés si fort qu’ils ont voulu sa naissance, qui se sont aimés tellement en peu de temps qu’il n’y en a pas eu assez pour qu’il dure. On peut ne plus s’aimer d’amour sans pour cela détester, sans en vouloir à l’autre. On peut s’aimer brièvement, quoi. C’est ce qu’on appelle « l’amour court ».



Le temps d’un album, Thierry Lenain nous parle d’amour, de cet amour court qui va faire des parents de Paola des gens qui se séparent, pour être en mesure d’aimer à nouveau, alors qu’ils ne cesseront jamais de l’aimer, elle. Le temps d’un album il sera aussi question de ciseaux et de roses. Et de comment on accepte le cours des choses.



Quand l’amour court est un album d’une grande sensibilité au texte émouvant. Un album destiné aux jeunes, mais que nombre de parents dans la situation de ceux de Paola devraient lire. Pour trouver les mots. Pour aider leur enfant et s’aider aussi. Car ce n’est jamais de gaieté de cœur qu’on admet qu’a sonné l’heure des adieux et où chacun doit maintenant faire sa route sans l’autre.



Thierry Lenain a su trouver les mots juste et Barroux illustrer avec poésie et imagination ce qui n’est pas dit. Ou qu’on n’arrive pas à dire.
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On les aura ! Carnet de guerre d'un poilu

Des dessins en noir et blanc pour illustrer le témoignage d'un poilu de la Grande Guerre. Pour découvrir le quotidien de ces hommes qui ne savaient pas toujours vers quoi on les envoyait.
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Les petits bruits de la vie

Vous sentez la poésie et la douceur arriver ? Si ce n’est pas le cas, concentrez-vous et relisez le résumé, je vous attends pour continuer.



Cet album m’a beaucoup intriguée, car je me demandais comment l’auteur allait mettre en place l’oralité dans l’histoire sans la rendre trop descriptive, comme ce qu’on peut trouver dans les livres pour apprendre les bruits des animaux, par exemple.



Barroux met en avant les bruits du quotidien grâce à la mise en page et la typographie (ouais je sors des mots intelligents que j’apprends à l’école, faut bien que ce Master serve à quelque chose !). Il arrive à les intégrer totalement au récit, ce qui le rend vivant et interactif.



Je n’ai malheureusement pas eu la chance de pouvoir le lire accompagnée d’un petit bout, mais en faire la lecture à voix haute a été une superbe expérience. Je sens que cet album va rapidement trouver une place dans la bibliothèque de votre loulou (et c’est une bonne chose !).



Les illustrations sont adorables et pleines de simplicité. Les couleurs sont vives, les traits sont tantôt très fins, comme dessinés au crayon de bois, tantôt épais comme s’ils avaient été faits au feutre. J’aime beaucoup le style de l’auteur, qui donne à ses lecteurs et lectrices l’impression d’être face à des esquisses mais, malgré tout, bien loin d’un brouillon.



Merci à Little Urban pour leur confiance renouvelée !
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Bienvenus

Une bonne idée et de bonnes intentions ne suffisent sans doute pas.

Un morceau de banquise se détache emportant des ours blancs à la dérive. Lorsqu’ils approcheront des côtes pour chercher refuge, les singes leur refuseront les trouvant trop ceci-delà et le panda considérant qu’il n’y a pas assez de place chez lui. Les girafes ne les entendront même pas derrière leurs remparts. Une île déserte les accueillera finalement.

Au cas où la métaphore, plutôt maligne au demeurant, ne soit pas assez claire, la quatrième de couverture nous explique bien que « chaque jour, des enfants, des femmes et des hommes risquent leur vie pour se mettre à l'abri. Ils fuient les persécutions, la guerre, la famine… Que les causes soient politiques ou climatiques (réchauffement de la planète, dégradations environnementales), n'oublions jamais que l'asile est un droit constitutionnel. L'accueil des réfugiés est l'affaire de tous ! »

Qu’attendre d’un éditeur qui ne fait à ce point pas confiance à l’intelligence de ses lecteurs ? L’intention de l’auteur est en partie gâchée par cette explication de texte superflue. Et pourquoi prévenir les lecteurs et ne réserver ainsi cet album qu’aux seuls convaincus, puisqu’ainsi avertis les autres le reposeront sans même l’avoir ouvert ?

Le texte est plutôt indigent, la conscience critique totalement inexistante, la fin très discutable (N’est-on généreux qu’après avoir fait l’expérience du malheur ?) mais c’est toujours mieux que rien… pour un commencement.



Article complet en suivant le lien.
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
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Mais que font les parents la nuit ?

Un album amusant et finalement inspiré d'une vraie question que les enfants se posent lorsqu'ils rechignent un peu à se coucher tandis que les parents ne le font pas.







A cette heure tardive, pourquoi ne vont-ils pas se coucher?



Les petits ne sont pas dupes, ils savent qu'un adultes ne se couchent pas à l'heure des poules.



D'ailleurs, les enfants s'accorderaient à dire pour négocier qu'ils ont convaincu le Marchand de sable de leur laisser un quart d'heure de plus, assurément, il a dit oui.







Mais les parents les préfèrent sous les draps à attendre le passage du train-train de moutons.



Nous le savons, les parents qui ont été petits le savent aussi, l'idée trotte et damne le pion du saute-mouton.





Les yeux fixent le rez-de lumière sous la porte close et l'imagination peut aller bon train, elle.





Thierry Lenain et Olivier Barroux



ont mis à l'image et en texte cette imagination qui galope et nous offre des hypothèses multiples et drôles.



Toutes vues à échelle de la petite Sofia,



les idées vont aller de la plus terre à terre, "les parents se faisant une nuit spécial dessins animés devant la télé", aux plus farfelus, "ils dansent autour du lit et récite des rituels indiens pour la rendre plus sage"...





L'intention de l'album est bien vu,



cela pourra légitimer en tout cas les petits moments d'intimité des parents, outre l'utile besoin du temps de sommeil indispensable.



Tendre et utile.

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Un éléphant dans mon arbre

Barroux dans cet album de jeunesse (à conseiller dès 3 ans et plus) nous raconte l'histoire de cette petite fille rousse qui est la "reine" d'un arbre. Un jour alors qu'elle explorait tranquillement le haut de cet arbre, elle y rencontra un éléphant. De là, naît une amitié.



De poésie et de couleur, Un éléphant dans mon arbre est un bel album qui parle d'amitié, de nature et de rêves. Les dessins et la narration sont très bien soignés et le lecteur, aussi bien l'enfant que l'adulte, s'attache à cette petite fille et son éléphant. L'imagination est le fort de ce livre même si je trouve que l'histoire est un peu trop légère.

Il n'en reste que si vous souhaitez une petite lecture à partager avec vos enfants, Un éléphant dans mon arbre est un album parfait pour ça.



Merci aux éditions Kilowatt et à Babelio pour cet envoi !

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Denise et moi

Extra ce livre. On suis un petit garçon qui demande où se trouve les différents membres de sa famille. Mais avant cela il a fêter son anniversaire et a eu comme cadeau Denise une plante. Qui au fils des pages grandit, grossi.

Puis à la fin le pop up surprise est génial et fait son effet auprès des petits. Je me suis servi de Denise pour attraper la suçou de mon fils.
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Super bricoleur : Le roi de la clé à molette

Un album qui pourrait former une série avec celui des papas à l'activité secrète déja évoquée avec Taï-Marc Le Thanh et Barroux dans "Mon père en slip".



Cette fois, c'est une petite fille qui se colle à la révélation familiale et nous ouvre discrètement la porte vers son quotidien avec un papa Super Agent...bricoleur.



Nous le comprenons avec le début de l'histoire, le papa de l'histoire ne se transforme pas pour revêtir un autre costume plus adéquat, il rentre chez lui et se pose pour son passe-temps bricolage.







Le discours de sa fille transforme l'activité en seconde vie d'expert, à laquelle elle s'empresse d'apporter son aide de "sidekick" comme l'on dit dans les Comics (le partenaire stagiaire qui apporte les cafés, comme Robin avec Batman, vous voyez?).







La petite pitchoune fait preuve de méthode et compartimente les étapes en chapitres, car nous entrons dans la discipline, l'ordre et la technique.



Le papa superbricolo semble avoir sauvé un peu tout le quartier avec son super-tournevis et son ultra marteau et bien entendu, le texte de Barroux décline le service de bon voisin du papa à un acte héroïque quotidien.



Ouf! Notre étagère a failli basculer, vous nous avez sauvé, Super Papa Voisin Bricoleur! (c'est trop long, on trouvera un autre nom)







La petite pousse l'idée du service jusqu'à la créativité d'un génie de la robotique, le maître des bidules.



Bref, les illustrations sont aussi tendres et finement humoristiques que le texte, à hauteur de petits yeux admiratifs qui brillent entre deux couettes et la fin réserve une surprise.



Amusant.

(Super Bricoleur est a version québécoise, album à retrouver avec Little Urban dans "Mon père le plus grand agent bricoleur"
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Le manchot a rudement chaud

Une petite histoire pour se documenter sur le réchauffement climatique et sur les manchots.



C'est un album sympathique, même s'il ne m'a pas emballé plus que ça, et qui a le mérite d'être instructif.
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Le jour où j'ai rencontré le monstre

Un album à proposer dès 5 ans qui retourne les codes : on y a très très peur des toutes petites araignées mais pas du tout d’un très gros monstre pas beau. On le prend d’ailleurs tout au long de l’histoire pour un ami imaginaire et puis voilà que les parents le voient ! Ce n’est d’ailleurs pas la seule surprise finale, et c’est ce qui plaît dans ces pages au texte qui s’inscrit dans le premier degré tout en en déployant un autre aussi bien par les illustrations (au graphisme pointu que j’aime beaucoup) que par les possibilités d’interprétation. Une place est constamment laissée au doute et c’est empli de charme.
Lien : https://cuneipage.wordpress...
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Super bricoleur : Le roi de la clé à molette

Un bel album sur la relation père-fils, les illustrations sont modernes et superbes.
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Des chauves-souris, des singes et des homme..

Paule Constant connait bien l'Afrique et le milieu épidémiologique. Par cette connaissance maîtrisée le lecteur est embarqué pour un voyage initiatique à la découverte des rites, des pensées et culture de ce pays. Vous serez alors guidé au fil de l'eau par ce fléau qui ravage ce continent.

L'oeuvre est construite comme une intrigue policière où les mots vous emportent, vous bercent ou vous claquent au visage. Tout en pudeur Paule nous offre un livre plein de poésie, subtil et parfois humoristique.

Les images et les odeurs s'impriment en nous et continuent de nous suivre après la fin du livre.

Un roman magnifique écrit tout en finesse.



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Mon coffret peinture au doigt : Les animaux..





Un livre d'activités "artistiques" pour les petits. Je me suis demandée pour quel âge ? Car s'il est simple de faire de la peinture au doigt c'est moins aisé lorsque les consignes sont précises. Faire des taches, de la pluie ou des pois : facile. Ajouter des noisettes ou dessiner des fourmis ou des chenilles cela se complique un peu. Ce livre coffret riche de 31 pages est une invitation au dessin rigolo et ludique. Il suffit de finaliser les planches - des animaux divers - avec les deux tubes fournis. Les doigts et un peu d'application feront le reste.

Les dessins proposés sont sympas, colorés et largement marqués de traits, comme pour inciter l'enfant à ne pas hésiter à y laisser sa trace aussi.

Je vais le tester avec une presque grande de 4 ans 3/4. ça c'est pour répondre à ma question de l'âge.. Et puis je vais acheter le coffret Les animaux de la ferme à un plus jeune. Pour le plaisir de le voir jouer aussi avec les doigts.

Un livre objet qui incite à la création, il faudra juste expliquer que c'est un livre, certes, mais pas seulement...Je complèterai ce billet quand le livre aura été utilisé, en attendant je trouve que c'est une belle idée. Les illustrations de Barroux sont juste craquantes.



Merci à Babelio et aux éditions Langue au chat pour cet envoi.









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On les aura ! Carnet de guerre d'un poilu

Il y a quelques semaines j’étais au festival Le Goût des Autres du Havre et j’ai vu la prestation de Barroux en spectacle, adapté de sa bande dessinée "On les aura". Et depuis j’y repense souvent. J’avais envie de vous partager mon avis sur son ouvrage et vous donner quelques informations sur ce qu’un livre de ce type peut donner en spectacle.

"On les aura" est une "bande dessinée" faite à partir d’un journal de poilu trouvé par Barroux lors d’un débarras. A la base, il est illustrateur pour les enfants. Mais là il décide qu’il peut, qu’il doit en faire quelque chose, pour la mémoire … Le rendu final c’est un journal, un carnet illustré avec les propos d’un poilu en vis à vis avec le dessin de Barroux pour leur donner vie.



Le synopsis ? Il vous en faut un ?

Nous embarquons pour un voyage dans le passé, au début de la Grande Guerre, de la Der des Der … Au fil des pages nous suivons les pérégrinations d’un soldat, de Août 1941 à Septembre de la même année.



En noir et blanc, sur un fond tragique, Barroux redonne vie à un soldat tombé dans l’oubli. De la mobilisation au front, en passant par les blessés, cet inconnu nous transporte dans la réalité d’un début de guerre, dans un basculement de vie, dans un moment où tout est flou. Quant à Barroux, il illustre parfaitement ce bel ouvrage, plein de vérité avec des témoignages doux malgré des propos forts.

Un mot du spectacle. J’ai été subjuguée par ce que j’ai vu. Barroux lisait le carnet, et dessinait en même temps certaines scènes. Son dessin était retransmis sur écran géant, ce qui permettait d’admirer en direct les traits donnant vie au texte, aux mots prononcés juste avant. La guitare électrique qui rythmait le tout était une astuce ingénieuse pour bruiter les combats, pour donner le tempo, pour faire gronder le texte, le faire rugir. Une prestation qui n’a laissé personne indifférent.



Alors, si vous avez l’occasion de voir ce spectacle, n’hésitez pas une seconde. Et sinon, laissez vous emporter par la bande dessinée "On les aura", de Barroux.
Lien : http://chickon.fr/2014/02/19..
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ABéCéDaire de la tête aux pieds

Des illustrations rigolotes, au trait fin, aux couleurs vives et aux quelques collages de matières (tissus ou papiers). Les mises en situations des mots choisis sont drôles et cocasses.
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Le voyage au bord du monde

J'aime beaucoup les illustrations de ce "Voyage au bord du monde". Elles font un peu bricolées, pas tout à fait terminées, ça me plaît.

Le personnage Sami, aventurier en culotte courte, est attachant. La maman qui réalise le rêve de son enfant avec ses (petits) moyens et la vision du dépaysement proche de chez soi m'ont parlé. La discussion sur le voyage est adorable.



Mais il m'a manqué quelque chose - un enjeu un peu plus fort par exemple - pour être totalement séduite par ce roman dessiné. La destination du "bord du monde" m'a donné l'impression d'un début, pas d'une fin. Et un petit goût d'inachevé.
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Océan City, tome 1 : Torticolis et deltoïdes

Jusqu'ici, j'ai plutôt été déçu par les nombreuses productions de Chauvel. "Ocean City" sera l'exception car il s'agit là d'une oeuvre d'une certaine qualité : un bon scénario mêlé à un dessin tout à fait correct (pourtant signé d'un débutant).



Bien sûr cette histoire sans prétention ne révolutionnera pas le genre. Elle n'en demeure pas moins très bien pensée dans sa construction scénaristique qui livre un excellent rebondissement. J'ai apprécié notamment la séparation du premier tome en deux chapitres pour une histoire qui va se rejoindre dans le second volume.



La fin m'a un peu surpris. Je ne peux pas dire qu'on s'y attend particulièrement. Bref, cette bd mérite une lecture surtout pour les amateurs de thriller et de polar.
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