Bertrand Santini

Un superbe concentré d'éclats de rire !

Gurty amène de la fraîcheur, du bonheur et des petits moments de poésie canine.

Une pépite à lire et à relire !!



Ce roman est d'autant plus épatant que c'est le premier livre intégralement écrit et illustré par un chien !! J'étais perplexe au début (ah, les préjugés !) mais Gurty écrit aussi bien (voir même mieux, pour certains) qu'un humain !

Il faut saluer ici le risque pris par l'éditeur, qui fera sûrement avancer les mentalités en montrant que nos amis à quatre pattes ont eux-aussi leur place dans la littérature.

Résumé : Gurty part une semaine en vacances avec son maître Gaspard. Mais catastrophe ! La rencontre dans le train de Myrtille, l’ancienne fiancée de Gaspard, va se transformer en piège mortel pour Gurty !



Mon avis : Gurty pensait passer enfin des vacances tranquilles depuis ses dernières aventures. Mais ce ne sera absolument pas le cas, pour notre plus grand plaisir !



Car Gurty va se retrouver face à sa pire véritable ennemie, Myrtille, l’ancienne fiancée de Gaspard qui avait essayé de la tuer, et que Gurty ne pensait jamais revoir.



Et voilà qu’à cause d’une rencontre dans le train, Myrtille arrive à reconquérir le cœur de Gaspard, et alors que Gurty voit le danger arriver, Gaspard ne voit Myrtille qu’avec les yeux de l’amour. Et Myrtille va une fois de plus tenter toutes les ruses possibles pour se débarrasser de Gurty : saucisses empoisonnées, chocolat, maquillage d’une agression par Gurty… Et ce n’est quez le début.



Et le pire de tout, c’est que Fleur est du côté de Myrtille, touchée par ses caresses, la pensant incapable de mal, et se brouillant avec Gurty !



Ce tome fait plus froid dans le dos, quand on voit l’acharnement de Myrtille pour se débarasser de Gurty, mais heureusement, il y a comme d’habitude des moments drôles et des situations savoureuses ! On en redemande !




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Résumé : Gurty part en vacances et retrouve avec joie ses amis et ses ennemis. Et par hasard, en poursuivant un rat, elle tombe dans un trou où se trouvaient des œufs de dinosaures. Et là, Gurty décide de couver pour que ses petits Gurtynosaures naissent.



Mon avis : Ce tome 6 est une pépite, comme les autres tomes d’ailleurs.



Cette fois-ci, Gurty va découvrir par hasard des œufs de dinosaure, et pense qu’en les couvant, des bébés à moitié Gurty et à moitié dinosaures vont éclore, et alors à eux la conquête du monde ! Mais tout le monde ne l’entend pas de cette oreille, et d’autres animaux vont eux aussi vouloir faire naître leurs petits, comme le chat Tête de Fesses, l’hérisson Stéphanie, ou même Fleur, la meilleure amie de Gurty !



J’ai bien aimé les idées loufoques de chacun, tout comme les illustrations montrant les bébés de chacun à moitié animal et à moitié dinosaure. Et l’émotion est toujours présente, avec Fleur qui essaie par tous les moyens de manger du foin pour faire faire des économies à son maître qui rencontre des difficultés financières. Et dans ce tome 6, on découvre un nouvel ennemi en plus de Tête de Fesses et de l’écureuil, le rat !



Vivement la lecture de la suite, pour des aventures sûrement encore plus déjantées !
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Onzième tome de la série.

Si vous ne connaissez pas cette série, Gurty est une petite chienne dont le maître se prénomme Gaspard. Ils partent souvent en vacances en Provence.

Fleur, son amie et voisine, est une petite chienne qui a sans cesse peur d'être tapé.

Pépé Narbier, c'est le maître de Fleur.

Tête de fesses est le chat des voisins, les Caboufigue avec leurs deux enfants Donovan et Cassidy, qui ne supportent pas les deux chiennes.

Hihi, c'est l'écureuil blagueur que Gurty rêve de dévorer.

Ftéphanie la hérissonne qui remplace les S par des F et qui nous fait beaucoup rire.



Dans ce tome, Gurty est bien malheureuse car Gaspard est en dépression.

Adieu pizza et pâté préparée avec amour, papouilles, mots doux et jeux d'eau pour voir l'arc-en-ciel. A la place, c'est engueulades, coup de torchon, croquettes dures comme des cailloux et commande de divers ustensiles qui ne servent à rien comme le distributeur de croquettes ou le robot qui fait des caresses.

Gaspard serait-il devenu fou ?

Gurty fait tout son possible pour lui remonter le moral mais elle finit même par croire qu'il ne l'aime plus et est au bord de la dépression.

Elle pourra compter sur sa chère Fleur pour lui remonter le moral.



Une couverture arc-en-ciel, une police d'écriture assez grande, des illustrations en noir et blanc qui sont raccords avec le texte, donc drôles.

A la fin du livre, encore une fois c'est "La galerie des lecteurs" avec les photos des lecteurs de Gurty et leurs compagnons.



Ce tome est bien plus triste que les précédents. On est triste pour Gurty.

Bien qu'il y est beaucoup de bêtises de Gurty, sa détresse peine un peu le petit lecteur (le grand aussi ^^ ), on s'y attache à cette petite bête.

Le tome 10 reste notre préféré.

Nous allons maintenant découvrir les aventures de Tête de fesses puisqu'il a sa propre série mais nous resterons quand même fidèle à Gurty.

Deuxième tome de la série.

Si vous ne connaissez pas cette série, Gurty est une petite chienne dont le maître se prénomme Gaspard.

Fleur, son amie et voisine, est une petite chienne qui a sans cesse peur d'être tapé.

Tête de fesses est le chat des voisins, qui ne supportent pas les deux chiennes.

Myrtille la petite copine de Gaspard qui ne supporte pas Gurty, qui lui rend bien.



Gurty et Gaspard vivent à Paris mais vont dans leur maison de Provence à chaque fois que les vacances arrivent.

Gurty retrouve toujours avec grand plaisir sa copine Fleur dont le maître pépé Narbier, l’habille, dans celui-ci des manteaux les plus affreux, qui attirent bien des ennuis à cette pauvre Fleur.

Une jolie morale à la fin, au moment de Noël alors que tous les animaux sont réunis.

« Dans cette immensité d’espace et de kilomètres infinis, nous avons très peu de temps à passer ensemble. Bientôt nous ne serons plus là et personne ne saura que nous avons existé. Alors, qui serait assez fou, assez minable et crétin pour dépenser sa seule et unique vie à chercher la bagarre, à mordre son prochain, l’effrayer, le manger ou bien vouloir lui faire des misères ?»



Une couverture qui attire toujours l'œil, une police d'écriture assez grande, des illustrations en noir et blanc qui sont raccords avec le texte, donc drôles.

A la fin du livre, « Les carnets de Gurty » avec des : rébus, énigme, mots croisés, blague, jeu des différences, chanson, où se cache et le fameux test psychologique qui éclate petits et grands.



L'accent de Provence revient bientôt car mon bonhomme a dans sa PAL les tomes 3 et 4.

Ah, l'humour (noir ?) de Bertrand Santini... Quand il est en parallèle avec des dessins totalement à contre-pied, ça donne un album très réussi et complètement atypique.



Un petit format à l'italienne, un illustration sur chaque page de droite, en niveau de gris avec comme seule touche de couleur, parfois, un minuscule lapin en peluche.

Sur la page de gauche, un texte minimal, une seule phrase, parfois un seul mot.

Et chaque fois, un décalage complet entre les deux.

D'abord l'enfant, qui trouve tout merveilleux alors que les dessins montrent combien ça ne l'est pas.

Et puis le passage à l'âge adulte, tout semble bien meilleur, et pourtant, plus rien ne lui convient.



En quelques phrases, et quelques dessins, les deux Bertrand ont saisi l'essentiel de la tristesse de la plupart de nos vies. Passer d'un enfant que tout réjouit à un adulte que plus rien ne satisfait.

Une merveille de conte philosophique en moins de dix phrases.



Mais, car forcément il y a un mais, sans doute celui de la bibliothécaire en moi, qui a besoin de mettre les livres dans des "cases", de choisir le rayon où ils iront.

Pour qui cet album ? Où le mettre, à qui le proposer ?

Car sous un aspect d'album pour tout-petits, ce sont les adultes qui vont l'apprécier.

La bibliothèque où je l'ai emprunté (la BDP) l'a classé en album enfants, même pas en junior, dans le rayon des livres pour les maternelles !! Il n'y a certes pas sa place.

Je serais curieuse de voir la tête des parents qui vont lire ceci à leurs petits bambins !

Par contre, on a très envie de le partager avec les enfants un peu plus grands, c'est une si belle leçon de vie.



P.S. : Je l'ai en effet partagé avec certains de mes petits-enfants. Voici leurs brefs commentaires sitôt après la lecture :

- La presque lycéenne : "Ce livre me fait trop réfléchir."

- Celle qui va entrer en 4e : "Il y a clairement 2 sens"

- Le petit-frère de neuf ans : "Je pense que je ne sais pas que penser"
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Le deuxième tome des aventures de Gurty ne l'ayant pas convaincu ("c'est la même chose que le 1, mais dans la neige" m'a-t-il dit, ce qui n'est pas totalement faux), j'ai été surprise que mon loulou emprunte ce cinquième opus.

Force est de constater que Bertrand Santin a su se renouveler en parachutant Gurty en milieu hostile : une semaine chez son ennemi juré Jean-Jacques. Un chat, quelle cata !

Incompréhensions, croyances, traumatismes d'enfance, grelots, boue et cacas sont au programme de ces amusantes vacances chez Tête de Fesse. Mentions spéciales pour les extraits du journal de Jean-Jacques et le chapitre Hallelujah, à l'origine de fous-rires partagés.

Je le dis chaque fois : Gurty, on ne s'en lasse pas !



Même si le tome 6 restera sans doute mon préféré, à cause de la Sainte Victoire, j'ai de nouveau beaucoup ri avec celui-ci.



Chaque phrase que je lis me donne envie de la citer, alors, je vais vous laisser lire vous-mêmes !







Gurty rêve de vacances paisibles. Bien entendu, elles ne le seront pas du tout.



À cause essentiellement du fantôme d'un féroce pirate mangeur de chiens. Ou de l'écureuil dont il ne faut pas dire le nom ?? Ou de la naïveté de Fleur, ui, ui, mais aussi de Gurty ?



Avec une incursion remarquée dans l'école des jumeaux voisins, une piscine qui a bien des malheurs, un crane, une carte au trésor, et pas d'oeuf magique. Ou bien oui ?



Sans oublier l'inévitable intervention de Jean-Jacques alias Tête de fesses ...



Bref, on ne s'ennuie pas un instant en compagnie de Mlle Gurty !!
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Paris, 1907. Une sorcière kidnappe les enfants pour les emmener dans son château sur la lune. Dans quel but ? Ne comptez pas sur moi pour vous le dire. Sachez juste qu’Élise, la dernière victime de Miss Pook, ne sera pas au bout de ses surprises une fois arrivée sur place. Non seulement elle va faire des rencontres aussi effrayantes qu’inattendues, mais elle va aussi découvrir que la terre est en grand danger…



Ouvrir un roman de Bertrand Santini c’est entendre une petite voix vous dire « Allez viens, je t’emmène, fais-moi confiance ». Avec Miss Pook il emmène ses lecteurs à la rencontre de sorcières, de dragons, de sphinx, de vampires, de faunes, de Mordrols et de Golgomes. Comme d’habitude son imagination sans limite nous en fait voir de toutes les couleurs, les scènes improbables s’enchaînent aussi vite que les traits d’humour. Comme d’habitude on discerne entre les lignes ce regard désabusé sur la nature humaine et ses comportements insensés car comme d’habitude ce roman véritablement tout public offre plusieurs niveaux de lecture.



Un texte foisonnant et maîtrisé, sans fausse note ni temps mort.
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L'esprit de Lewis vacille. La perte tragique de sa mère, et l'héritage disproportionné qu'il en reçoit, le poussent à la fois à se retrancher et à se secouer : il va devenir l'écrivain qu'il a toujours voulu être.



Bertrand Santini parle-t-il du deuil ? Fait-il une caricature grotesque de l'écrivain (page blanche, muse, comportement de diva) ?

Un peu de tout ça, sûrement. Il faudra lire le 2ème (et dernier) acte pour bien saisir toute la portée de l'intrigue.



En attendant, ce 1er tome offre le portrait d'un jeune homme perdu, entouré de femmes avec qui il ne parvient pas à communiquer clairement (à l'exception de sa chienne, avec qui il communique non-verbalement, ce qui permet une relation entière et sans faille...).

Face à un livre qui refuse de s'écrire, une vie qui semble sans réponse, Lewis se tourne vers la mort, vers un fantôme, un esprit qu'il est le seul à voir. L'esprit de Lewis cherche aussi des réponses.

Deux âmes perdues peuvent-elles s'entre-aider ? Ou sont-elles destinées à se plonger l'une-l'autre encore plus profondément dans les ténèbres ?



Avec Hugo de la Nuit déjà, Santini mettait en place une conversation avec les morts, pour voir ce que les fantômes pouvaient apprendre aux vivants, et inversement.

Augmenté ici des thèmes fantastiques du XIX° siècle, l'auteur explore les connivences spirite-esprit, la solitude, l'art, et le besoin de réponses exactes face aux horreurs de la vie et de la mort.

Le style reste pourtant très fluide, plein de facéties, d'intelligence et de passion.

Ce sont les dessins qui apportent le sérieux de l'époque, entre gothique lugubre, romantisme noir, et émerveillement spectral.

Les planches sont empreintes de poésies élégantes, d'un soucis extrême du détail fiorituresque et de couleurs étudiées avec soin, tout en conservant une lisibilité exemplaire.



Une BD à la fois légère et dense, qui plaira forcément aux Santinelles (les fans de Santini, je viens de l'inventer, c'est cool non ?) et aux amoureux du XIX° fantastique.

Si comme moi, vous faites partie des deux groupes, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

Jonas est le robot mécanique inventé pour le film "Les dents de la mort". Une machine trop lourde, qui coulait et a fait déborder le budget du film. Pourtant ce dernier a marché dans les salles au point de créer de toutes pièces une nouvelle terreur sur les plages, celle des dents de la mer.

Jonas est une des attractions d'un parc Monsterland. Il côtoie d'autres monstres de films (Krokzilla, vampires etc...) et fascinent ainsi les visiteurs. Pourtant, cette fois encore, le robot s'est détraqué avant de manger l'actrice. Un fiasco. Le directeur du parc va s'en débarrasser. C'est sans compter sur les amis de Jonas, ils sont au courant et vont le sauver en le mettant à l'eau, comme un vrai requin.

Et que fait un requin, star de cinéma, dans les eaux profondes? Il reste acteur. Mais voilà les hommes ne sont pas toujours réactifs à son jeu de scène. Les hommes sont trouillards, vénales et veulent lui faire sa fête. Encore heureux, Jonas a rencontré Loopy, pingouin de zoo. Ensemble, ils vont chercher leur place, de prédateur, de proie, de ferraille, d'animaux aquatiques.

Les hommes, eux, vont chercher à anéantir le monstre. Mais nous pourrions nous demander de quel côté de la barrière liquide il se trouve.



Bertrand SANTINI offre là un roman enlevé pour nos jeunes lecteurs. Il est à la fois drôle, plein de références, acide sur la condition humaine. Le grand plus est le passage des effets comiques, presque gestuels, au pic de l'émotion.

Paul MAGER donne du corps au requin (et des boulons) et marque des moments forts sans trop dévoiler (même si une main est là). Bertrand SANTINI a, cette fois encore, bien réussi à entourer son récit, les illustrations apportant un plus.
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Dans les années soixante-dix, Jonas était une star de cinéma, personnage effrayant et redouté, mais incontournable. Culte, même. Les gens se déplaçaient en masse pour voir le film Les dents de la mort dans lequel il « jouait » le rôle du requin mangeur d'hommes sur la côte californienne. Et puis le temps a passé. Le requin mécanique ne faisait plus autant frissonner. L'ère du relief, du 3D donna un sacré coup de vieux aux films d'antan. Le numérique avait réussi à chasser le mécanique. L'ancienne vedette s'est alors retrouvée dans un grand parc d'attraction, le bien-nommé Monsterland, un endroit peuplé de créatures légendaires du cinéma d'épouvante.

Le spectacle de Jonas attirait la foule au début mais aujourd'hui, le requin est usé. Les pannes se succèdent, les boulons ne tiennent plus, la carcasse est rouillée. Le directeur qui perd de l'argent à entretenir ce vieux pantin articulé, décide de fermer définitivement cette attraction et envisage de l'envoyer à la casse.

Les monstres du parc ne l'entendent pas de cette oreille et par solidarité s'unissent pour faire évader Jonas. Krokzilla, le dinosaure l'escorte jusqu'à l'océan, car le voeux le plus cher du requin mécanique est de devenir vivant. D'être un vrai requin blanc.

En sautant dans l'immensité bleue, Jonas ne sait pas encore que de nombreuses épreuves l'attendent. La liberté se gagne. Le chemin vers la vie sera long et semé d'embûches. Sa rencontre avec Loopy, un manchot, va éclairer sa route vers sa métamorphose.

Une fable drôle, tendre, ironique et triste à la fois. On y parle de la condition des animaux, de leur exploitation, de l'indifférence des hommes, voire de leur barbarie, mais les dessins si fins de Mager et la sensibilité de Santini insufflent toute une poésie et un imaginaire qui élèvent le conte vers la beauté, le merveilleux et la bonté.
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Quatrième tome de cette série.

L'auteur mentionne, les personnages que nous allons retrouver dans cette série.

La petite chienne Gurty, son amie Fleur, Ftéphanie la hérissonne qui prononce des f à la place des s, les parents Caboufigue et leurs bambins Donovan et Cassidy mais aussi Figule le rat et l'écureuil qui fait HiHi.

On reste sur le narrateur et le journal de Tête de Fesses lorsque c'est lui qui s'adresse au lecteur.



Dans cet album, il n’y a pas Figule le rat, ni et l'écureuil qui fait HiHi mais notre chère Gurty arrive en fin d’album.

On reste sur le même modèle que les précédents. Tête de Fesses veut faire des méchancetés aux autres animaux qui l’entourent, mais ça va se retourner contre lui.

Encore une fois, c’est Gurty qui sauve la situation, non seulement auprès de Fleurs et Ftéphanie mais aussi dans notre lecture.



Encore un album court qui peut être lu indépendamment des autres.

Mon bonhomme a trouvé celui-ci drôle, peut-être à cause d’un des superpouvoirs de Tête de Fesses qui est de lâcher des pets chatomiques ! Beaucoup moins drôle pour les parents.

Plus rien en réserve, on verra s’il me fera suivre le tome 5 le moment venu.

Nous voici partis pour une nouvelle série.

Nous adorons le Journal de Gurty et connaissons donc bien le personnage de Jean-Jacques alias Tête de Fesses. C’est avec une petite appréhension que nous commençons cette nouvelle série parce que Tête de Fesses est drôle lorsqu’il est en compagnie de Gurty et ses amis mais là…



L’auteur a, bien sûr, mentionné, dès le départ, les personnages que nous allons retrouver dans cette série.

La petite chienne Gurty, son amie Fleur, Ftéphanie la hérissonne qui prononce des f à la place des s, les parents Caboufigue et leurs bambins Donovan et Cassidy mais aussi Figule le rat et l’écureuil qui fait HiHi.



Contrairement à l’autre série, ce n’est pas toujours Tête de Fesses qui nous raconte ses maléfiques projets, il y a aussi un narrateur.

Il va jouer les méchants avec Fleur et Ftéphanie mais ça finira par se retourner contre lui.

Sous son côté méchant, on voit bien qu’il pourrait être une patte.



Un album plus court que la série de Gurty mais un peu moins drôle aussi. D’ailleurs, Gurty n’est même pas dans ce premier tome.

Heureusement que nous avons commencé par l’autre série et ce que je vous recommande de faire.

Nous poursuivrons quand même les aventures de ce chat à tête de fesses car la médiathèque nous a, d’office, mis en réservation les 3 tomes suivants.

Peut mieux faire donc mais reste à découvrir si vous ne connaissez pas.

Neuvième tome de la série et on l’a attendu longtemps celui-ci car emprunté à la médiathèque par des petits lecteurs fan de Gurty et Fleur comme nous.

Si vous ne connaissez pas cette série, Gurty est une petite chienne dont le maître se prénomme Gaspard. Ils partent souvent en vacances en Provence.

Fleur, son amie et voisine, est une petite chienne qui a sans cesse peur d'être tapé.

Pépé Narbier, c'est le maître de Fleur.

Tête de fesses est le chat des voisins, les Caboufigue avec leurs deux enfants Donovan et Cassidy, qui ne supportent pas les deux chiennes.

Hihi, c'est l'écureuil blagueur que Gurty rêve de dévorer.

Ftéphanie la hérissonne qui remplace les S par des F et qui nous fait beaucoup rire.



Dans ce tome, Tête de Fesses ou Jean-Jacques de son vrai nom, va rassembler tout le monde pour leur annoncer l’arrivée de sa progéniture. Et oui ! Monsieur s’est reproduit avec Gérard, ben oui, Madame a un nom de garçon, comme elle dit « Existe-t-il une loi scientifique qui empêche de porter le prénom que l’on veut ? ».

Et des surprises, ce n’est pas ce qui manquent dans ce volume, aussi bien pour les deux chiennes que pour Tête de Fesses ou les Caboufigue.



Une couverture qui attire toujours l'oeil, une police d'écriture assez grande, des illustrations en noir et blanc qui sont raccords avec le texte, donc drôles.

A la fin du livre, encore une fois c'est "La galerie des lecteurs" avec les photos des lecteurs de Gurty et leurs compagnons.



Nous avons déjà lu le tome 10 que nous préférons toujours aux autres, donc on attend que le tome 11 soit disponible.

Dixième tome de la série.

Cette couverture est superbe !

Si vous ne connaissez pas cette série, Gurty est une petite chienne dont le maître se prénomme Gaspard. Ils partent souvent en vacances en Provence mais cette fois partent en Ecosse.



Gaspard va leur acheter des kilts, louer un bateau et partir pour visiter une île qui fait super peur, version Tintin "L'île noire".

Gurty va se faire de nombreux amis, tous plus drôles les uns que les autres. Et Gaspard et Gurty ne seront pas seuls pour faire ce voyage, il y aura aussi les puces de Ftéphanie la hérissonne qui vont causer bien des dégâts sur les fesses de Uncle Pickle.

Et bien sûr, on s'en doute, THE rencontre avec la Queen Mum : Elisabeth II et THE boulette de Gurty dès son arrivée au palais de Buckingham, mais elle saura l'emballer de paillettes en remettant, toutefois, l'avenir de la royauté en jeu.



La police d'écriture assez grande, des illustrations en noir et blanc qui sont raccords avec le texte, donc drôles.

A la fin du livre, encore une fois c'est "La galerie des lecteurs" avec les photos des lecteurs de Gurty et leurs compagnons.



Celui-ci est, pour nous, le plus drôle de tous les Gurty que nous avons lus, dû notamment au fait que, pour les besoins de la lecture, j'alternais entre accent Provençal pour Gurty, Parisien pour Gaspard et Anglais pour les autres. 260 pages de bonheur que nous vous invitons à découvrir.

Nous ne lisons pas forcément la série dans l'ordre car on les prend en fonction de ceux que l'on trouve à la médiathèque mais ils peuvent être lus dans le désordre car l'auteur reprend les informations importantes à chaque fois.

Pratiquement une semaine pour lire 200 pages, c'est significatif. Je n'ai pas compris où voulait en venir Bertrand Santini et je me suis ennuyée tout le long. Abandonner m'a traversé l'esprit, mais je voulais vérifier si la fin n'éclairait pas cette intrigue bancale.

L'histoire et les personnages des deux intrigues le récit principal et le rêve sont aussi outrés qu'invraissemblables, les motivations manquent et la résolution finale (par ailleurs vue et revue) n'explique pas tout.

Je ne suis pas contre le côté "farce macabre" mais là cela ne m'a pas amusée car c'est vraiment exagéré, ça part dans tous les sens. Je n'ai pas accroché du tout.

C'est l'histoire d'un jeune garçon qui vit dans un monde triste. Cet enfant affronte la solitude dans la cour de l'école, porte le bonnet d'âne et habite dans une maison sordide.



Mais un jour, il grandit. 



Viennent alors les diplômes, le travail, puis la gloire et la fortune. Mais lorsque le vieil homme dresse le bilan de son existence, le constat est loin d'être idyllique. 



Comment j'ai raté ma vie ou comme sa couverture l'indique aussi "Comment ne pas rater la vôtre". Un texte court, minimaliste, percutant car il est complètement décalé par rapport à l'image qui lui fait face. Un ton ironique, caustique pour évoquer les notions de réussite et de bonheur.



Parce-qu'être admiré par les femmes ne signifie pas être aimé. Parce-qu'être entouré n'implique pas de posséder de véritables amis. Parce-que la quête de la beauté standardisée n'est pas synonyme de joie. Parce-que comme le dit le célèbre adage "L'argent ne fait pas le bonheur".



Un livre petit par sa taille, mais fort par son message. Un humour corrosif qui fait mouche et n'hésite pas à écorcher la société dans laquelle nous vivons. Un récit qui interpelle et fait réfléchir sur notre propre existence. Car, derrière les apparences se cache une toute autre réalité. Un excellent album à lire, à relire, à méditer.  
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Un album en noir blanc et rouge. Du noir comme l’humour cynique, du blanc comme l’existence absurde, du rouge comme l’innocence perdue. Un homme se raconte. Il déroule le fil de sa vie, de son enfance à sa vieillesse. Une sorte de bilan personnel, un flash-back amer. L’enfant de condition modeste, solitaire, qui se trouvait laid et bête est devenu un homme « diplômé », attirant, orgueilleux et monstrueusement riche… forcément il avait un tas d’amis, une nuée de femmes autour de lui… il était le plus grand le plus fort… dominait tout, haut sur son piédestal.



Et alors, avait-il réussi sa vie? Avait-il été heureux? L’était-il aujourd’hui? L’argent fait-il le bonheur?



Un album habile et grinçant à souhait qui soulève des interrogations sur le sens de la vie, l’orientation qu’on veut lui donner, notre rapport à l’amour, l’argent, la beauté, la nature, la culture, au regard de l’autre… Une pépite mordante, au texte et aux illustrations décalées. Brillant!
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Dans ce tome l'impensable se produit ! Gurty et Fleur sont acceuillis chez leur ennemi, Tête-de-fesses.



Aucun des trois n'est à l'aise dans cette situation où il faut partager le même espace avec en plus les deux jumeaux de la famille qui sont toujours déchaînés.



Bien sûr, le chat, tente en permanence de rouler dans la farine nos deux chiennes préférées et l'écureuil lui-aussi s'en mêle.



C'est alors que gurty propose l'inenvisageable : cela ne serait-il pas plus simple de devenir amis ?



Un roman d'aventure et d'humour avec toujours autant de situations cocasses. Le lecteur est plongé dans la petite tête d'un chien qui aime avant tout manger et jouer.



L'histoire est scandée en plusieurs épisodes ce qui facilite la lecture ainsi que de jolies petites illustrations.



Comme à chaque volume, nous retrouvons avec plaisir à la fin du volume le fan club de Gurty.



A découvir !
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