La botanique sert ici de prétexte à une histoire bien courte (trois pages). Ce rythme rapide caractérise par ailleurs ce treizième album. Dans l'ensemble les gags s'enchainent assez rapidement, mais sans développement.
Si l'album permet de passer un bon moment c'est surtout parce qu'il mise sur des valeurs sûres et s'en écarte peu : les réveils (et le sommeil) du disciple, l'égo de Léonard, les catastrophes régulières qui tombent sur le disciple. Les personnages secondaires sont vraiment relayés à l'arrière-plan, laissant la place aux deux personnages principaux, même s'il faut reconnaitre que Mathurine attire l'attention. Raoul est mis en avant à deux reprises et c'est bien peu.
Les adeptes trouveront toutefois quelques perles : un disciple plus tôt levé, une invention de Mathurine, sans compter quelques découvertes telles que le tennis, ou le jogging.
Une valeur sûre donc qui réserve un bon moment. Dommage que cette bande dessinée ne s'adresse qu'aux fans et ne sors guère des sentiers battus.
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Quand on lit "Léonard", il faut s'attacher à trouver dans pratiquement chaque case le détail qui accompagne la scène, le clin d'oeil qui rend la B.D. encore plus drôle :
. Il s'agit par exemple du chat, de la souris ou d'un crâne qui font des commentaires, d'un oiseau qui s'étonne, d'un escargot, d'un crabe amoureux, etc.
Ces albums révèlent une source extraordinaire de créativité et de sourire.
Malgré les malheurs de ce pauvre disciple, on sourit aux inventions de Léonard et aux anachronismes permanents.
Du dessin simple, avec des situations très travaillées : De la B.D. comme j'aime pour passer un bon moment..
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L'humour de ces gags tournant entre le Père Noel et son fils à qui il veut laisser sa succession pour sa petite entreprise est souvent très prévisible. Les séquences de gags qui occupent plusieurs pages tombent très souvent à plat. L'incursion dans la vie privée du bonhomme en rouge aurait pu s'avérer intéressante...
Je m'aperçois que le scénariste est le même que celui de Léonard, une série que je n'avais pas vraiment aimée. Et que viennent faire les frères Dalton dans cette histoire ?
Même au pied du sapin et même s'il est offert par le Père Noel, je ne voudrais pas de cette bd à l'humour un peu lourd et pataud. C'est pas franchement mauvais non plus mais ce n'est pas ma tasse de thé (on me pardonnera auprès de la Mère Noel).
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Clifton se voit confier la garde d'un magnat du pétrole qui doit aller de Londres en Suisse afin de contrôler le contenu de ses tirelires... Ils n'arriveront pas en Suisse, faute d'un coup d'Etat et Clifton devra reprendre du service actif pour protéger son encombrant "client".
Le dessin est fidèle à lui même et le scénario est sympa.
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Un album fait d’interviews de Turk et de De Groot et de pleins d’infos sur les créations des 2 auteurs comme Robin Dubois mais surtout, évidemment c’est le but de l’ouvrage, sur Léonard qui fête ses 20 ans et ses 24 albums.
C’est un album plutôt sympathique, peut-être destiné un peu plus au fan de Léonard évidemment, mais on découvre de nombreuses anecdotes sur la série et sur les 2 auteurs.
En fin d’album, un petit glossaire des inventions des 24 premiers albums permet de se rendre compte de l’inventivité du Génie...
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Au bout du 38ème tome, il y a forcément des répétitions et les gags fonctionnent moins bien qu'au début. Ceux qui cherchent la nouveauté seront déçus et ceux qui cultivent la nostalgie peut être un peu moins bien que...
Les histoires sont fidèles à l'esprit des Léonard avec quelques jeux de mots amusants. Pour le reste, les auteurs surfent sur un sujet d'actualité : celui de l'écologie. J'ai trouvé l'album parfois un peu verbeux.
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Le bandit manchot est une nouvelle aventure de Lucky Luke où on pourrait retrouver un peu de Goscinny et Uderzo dans la conception de l'album. En effet, deux bandits veulent arrêter le convoi surveillé par Lucky Luke, et ceux-ci sont double six qui a un vraiment un nom proche des héros d'Asterix et le chef de la bande,un petit nerveux aux traits de Louis de Funes, comme aurait pu le faire Uderzo.
On passe un moment agréable avec cet album. Lucky Luke fumait encore des cigarettes , du moins dans la première édition.
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Un album que l’on pourrait définir comme sympathique mais sans plus.
L’histoire est plaisante mais manque un peu d’humour et surtout d’originalité : capture par les indiens, bagarres dans le saloon, méchant très bête, c’est vu et revu dans la collection. Le personnage principal du peintre, qui, a part se goinfrer et se bagarrer, est sans profondeur.
Bref, l’histoire se suit, on sourit un peu mais cela manque singulièrement de punch.
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que serait leonard sans son disciple une bd avec des gags qui font toujours mouche
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Encore une histoire de Lucky Luke sur une fait historique. L’histoire de la création de la première machine à sous.
Évidement c’est juste l’occasion de proposer une histoire Humoristique et étonnante (on a le droit à un hommage à De Funés avec un personnage lui ressemblant et son acolyte est également une personne connue mais je n’arrive pas à le retrouver). Pleine d’humour et de gags, cet album est très sympathique à lire.
Avec en prime, toujours la petite page historique sur le thème de l’album très instructif.
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Outre les expériences météorologiques, j'ai bien aimé le gag sur la chirurgie esthétique pratiquée sur Mathurine et aussi celui du Disciple et du chat qui entrent dans un jeu vidéo. Lire du Léonard ça détend avant tout !
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Ce deuxième album est tout à fait dans le ton du premier. On retrouve un Léonard qui invente tout ou presque avec une sacrée dose de narcissisme et un disciple souffre douleur qui peine à se lever le matin.
Ce dernier a de temps en temps un peu de génie également notamment quand il invente la fusée là où le maître se contente d'inventer une montgolfière...
Mon gag préféré est peut-être celui de l'aspirateur. Il y a pas mal de tomes dans cette série. Je me demande si cela ne deviendra pas lassant avec le temps si la série ne se renouvelle pas....
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Je trouve que c'est toujours la même chose.. un peu barbant!
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Comment vous expliquer ce livre ? Lorsque je suis en face à face avec ce livre, lorsque je tourne ces pages, je sens UNE belle qualité et UN grand défaut. Lesquels ? Je commence par le défaut, à savoir les gags. Ils sont plats, banals, faciles, pas très intéressants. Je continue avec la qualité. La qualité en question est, ni plus ni moins le fonctionnement du duo Léonard-Basile, qui fonctionne très bien. Non que ça me fasse rire, mais entre ces deux personnages, tous deux bizarres à leur façon, ça fait des étincelles. Donc, en résumé, une lecture qui laisse son lecteur mitigé.
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Ce deuxième tome des aventures de Léonard et de son disciple est distrayant. Une bonne partie du temps du génie est dévolue à inventer des machines pour réveiller le disciple.
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Le gag donnant son titre à l'album débute le tome. Une invention pour faire pousser des cheveux au cher disciple. Mais les choses ne sont malheureusement pas simples. Cette histoire de cheveux ou de poil reviendra plusieurs fois dans le tome, mais de manière assez inaboutie. Il y avait pourtant matière à une histoire longue.
Un album très inégal où les inventions occupent le second plan et où c'est l'habituel (et assez lassant car répétitif) jeu du chat et de la souris entre Léonard et son disciple qui occupe l'avant-plan.
J'oubliais: mention "bien" pour le chat, qui releve le niveau et apporte ses petites remarques, mais qui est pompé sur Spip, la coccinelle de Gotlib ou Idefix
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Le schéma répétitif Léonard inventeur / disciple maltraité continue dans ce tome sans lasser. Rareté : le disciple dépasse le maître dans deux planches sur la mode, en se taillant un costard, un vrai. Les auteurs se fendent de quelques jeux de mots bien placés et introduisent un nouveau personnage : Mathurine, la bonne, qui l'est même en équations et inventions, au grand dam de Léonard. C'est sans prétention, un peu vu et revu, mais distrayant.
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Et je me régale toujours autant.
Ce Bandit Manchot est assez classique, des joueurs (et donc du goudron et des plumes !), Lucky Luke pour accompagnateur de deux frères plutôt pusillanimes, une maîtresse femme toujours le rouleau à pâtisserie à la main, etc ...
On s’amuse bien.
Et quand apparaît le "boss" qui ne veut pas se laisser écarter des trafics juteux autour des jeux , ... sous les traits de Louis De Funès, on se régale carrément.
"Double-Six, regarde-moi bien !...
Pas là ! ...
... Là !"
Avec le geste bien connu vers ses yeux.
Mais il n'y a pas que ça, le voyage avec le croque-mort, les deux frères, et surtout, l'homme de main transformé en monture. Et je voudrais citer encore d'autres gags, aussi hilarants.
Quant à la chute, face au panneau Las Vegas ...
Vraiment un bon volume.
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