Excellent album de la série des CLifton qui permet de pénétrer dans le monde du cinéma. L'intrigue est pas mal construite et permet au travers du scénario du film d'imaginer une autre vie entre Clifton et Miss Partridge. On trouve aussi notre bourru de colonel un peu coeur d'artichaut. Tout cela laisse place à quelques scènes humouristiques.
Cet album est un hommage aux acteurs sous forme de clin d'oeil : on trouve Bernard Blier en portier des studios de cinéma, un De Funes avec un clap de fin, mais aussi Belmondo, Gérard Jugnot ou Lino Ventura. Je n'ai peut-être pas reconnu tout le monde, mais c'est vraiment très sympa.
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Qui est cet homme que Clifton a heurté avec son célèbre cabriolet MG ? Quelle est son identité et son histoire ? Notre célèbre colonel est plongé dans une histoire d'amnésie et d'espionnage. C'est toujours jubilatoire, avec quelques beaux paysages. Cette série mériterait d'être plus connue. Elle est adaptée à tout public.
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Une nouvelle fois notre retraité du MI5 se lance dans l'opération active. Cette fois, c'est pour déjouer un complot contre les magnats de la finance qui meurent brusquement de crises cardiaques. Heureusement notre colonel est là, même si cette fois, la faucheuse n'est pas loin de passer. Notre colonel est toujours aussi ronchon vis à vis d'une miss Partridge dévouée qui va jusqu'à faire la poussière sur ses grenades.
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Clifton devient professeur ! On lui confie une jeune recrue des services secrets britanniques qui semble avoir un léger problème de peur au moment de l'action. Saura-t-il faire de Lors Jason un espion de haut vol ?
Le dessin un peu rond de Groot donne une ambiance un peu enfantine à la série qui séduira grands et petits. On est dans une parodie du monde de l'espionnage avec de bon dialogues et des traits d'humour.
Un bon moment de lecture
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Un album plutôt marrant entre l’exercice de survie sur une île déserte, la lettre anonyme, les petites blagues du chat, de la souris et du crâne, et les planques improbables du disciple pour dormir.
On ne se lasse pas de ces aventures rocambolesques (c’est le moins que l’on puisse dire !) et des blessures du disciple !!
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tres bonne bd qui me fait toujours autant rire. J'aime beaucoup ces gags
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une bd qui marche a tout les coups avec un disciple hilarant
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Petit hommage à Hergé avec l'histoire du voyage sur la lune avec pour clin d'œil les mêmes couleurs de la fusée que dans Tintin. Les histoires sont toutes plus drôles les unes que les autres. Une lecture très agréable !
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Shakespeare a-t-il emprunté son œuvre à Léonard ? Vous le saurez dans cet album ! J'aime beaucoup les histoires plus longues que celles d'une page et dans cet album, il y en a plusieurs, notamment, celle où le disciple part à la découverte des abysses et y rencontre Pinocchio dans le ventre de la baleine :-)
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Toujours la même qualité : un duo de choc. Toujours le même défaut : les gags. Mais avec un petit plus : une inventivité visuelle débridée, qui si elle n'est pas amusante est toujours inventive...
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Léonard invente la photographie, mais il n'a pas encore inventé les laboratoire où faire développer la pellicule. Le ton est donné.
Comme d'habitude, des gags qui vont de 1 à 6 pages. Pas de thème récurrent, si ce n'est la paresse de son disciple se levant allègrement à 16h00, et le fait que Léonard n'aime pas quand son disciple a des (bonnes) idées, comme quand il invente la fusée spatiale.
J'ai bien aimé l'ampoule électrique dans laquelle se trouve ... une bougie. Le réveil à réveiller le disciple qui finit en "vous pouvez vous recoucher, nous sommes dimanche". L'aspirateur qui finira en machine pour terrasser.
Mais ce n'est jamais fort drôle. On se surprend à sourire. C'est tout. Bon, OK, c'est déjà ça, chante Alain Souchon. Mais connaît-il Léonard le Génie?
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Ce tome 1 de Léonard n'est pas mon préféré.
D'ailleurs pour un premier opus en le relisant, j'étais étonné que les gags viennent aussi rapidement sans réel présentation des personnages ! HOP HOP HOP on rentre direct dans l'action et les idées d'inventions fusent déjà dans tous les sens.
On fait forcément la découverte de notre disciple, mon personnage préféré, qui en un tome n'a pas encore pu nous montrer toutes les facettes de sa personnalité !
On aperçoit aussi le chat tigré mais pour l'instant il reste muet !
Mon gag préféré du tome : le dernier ! Où l'on découvre comme Léonard à peint la joconde !!
Elise__♥
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Autant le dire tout de suite, je ne suis pas fan des gags en une planche... cela dit, j'adore les Peanuts ou Calvin et Hobbes, ou boule et Bill ou encore Gaston...
Bref, j'aime une certaine forme de gags en une planche (voire moins).
Et ici, je n'ai pas vraiment accroché. En fait, on a des gags pas trop drôle, un personnage de génie caricatural et à la limite de l'hystérie bien souvent, et une chute hyper prévisible en général. Sauf quand le gag s'allonge un peu. Dans ces cas-là, une petite atmosphère s'installe (restons mesurés dans nos propos) et la BD prend un peu plus d'ampleur. C'est le cas pour le dernier gag avec la Joconde.
Sinon, 4 cases par planches, c'est clairement insuffisant à mon sens pour faire une BD qui tienne la route.
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une désopilante parodie
de Leonard de vinci
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Il se passe des choses étranges au domicile du Colonel Clifton : les soupières tombent, les assiettes se déplacent... cela effraie Miss Partridge ! Le colonel va donc mener l'enquête afin d'élucider ce mystère.
Sympathique BD policière tout public signée Turk (au dessin) et De Groot (au scénario), lesquels sont aussi derrière la série des Léonard. Un bon petit moment de détente sur les pas de cet enquêteur au flegme so bristish.
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Patience et longueur de temps… il aura fallu attendre plusieurs albums pour qu’enfin un bon cru réveille une série qui s’est laissée vivre sur ses acquis. Un renouveau est enfin à portée de main !
Les coups de tromblon sont presque oubliés (parfois repensés, ils en deviennent le sujet d’une ironie savoureuse), les réveils du disciple – moins nombreux – restent quelques planches (en nombre restreint certes) consacrés à maladresse de Basile… tout ces choix sont les bienvenus. Ils écartent cette impression de lassitude et de manque d’imagination à laquelle nous étions presque résignés.
Si Léonard nous gratifie de l’invention de la "télétrwadécenlunette", ces quelques planches restent les moins bien abouties. D’autres sont bien plus percutantes : "un grain de folie", "un nain posteur" ou encore "maboul de cristal" qui offre la participation inattendue de Sylverster Stallone. L’irruption du célèbre mais néanmoins inconnu cousin de Bernadette créera une belle surprise !
A cette longue liste de gags réussis, l’on ne peut oublier "poêle dans la main". L’humour fait ici passer un enseignement à ne négliger sous aucun prétexte. Celui-ci est sans doute le meilleur. Il est représentatif d’une bande dessinée qui mérite un petit investissement et devrait permettre à Léonard de retrouver – enfin – son public !
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Au poil ! C’est précisément ce que l’on peut déclamer après avoir dévoré ce vingt-troisième album de la série Léonard. Celui-ci est assurément un très bon cru qui saura vous redonner le sourire !
N’avez-vous jamais connu quelqu’un qui souffre d'hypertrichose palmaire ? Ah, je vois vous en souffrez aussi... Bon... alors cet album est fait pour vous ! Et si vous ne savez pas de quoi il en retourne également ! Par ailleurs, vous allez avoir l’occasion de vous familiariser avec le zumbamboula dans ses deux variantes les plus connues. Plus sérieusement, deux histoires (assez longues) présentées ici rappelleront les grandes heures de la saga : Petite histoire et Garanti grand tain.
Si les nombreuses maladresses et la somnolence chronique du disciple donnent lieu à de nombreux gags plus au moins réussis, la récurrence est suffisamment maîtrisée pour ne pas frôler la surdose. Ce qui est hélas le cas pour plusieurs albums, moins inspirés. Les inventions inspirées de Léonard passent en second plan. L’essentiel tient aux échanges entre personnages, calembours, réparties, jeux de mots… Tous s’en donnent à cœur joie. Seule Mathurine fait pâle figure, malgré un sauvetage in extremis (du moins il s’agit d’un sauvetage dont l’intéressée se serait bien passée).
Certaines planches sont curieusement vides et dans d’autres cas le comique de situation est délibérément tiré jusqu’à un point de rupture. Cette impression générale de manque d’inspiration aurait pu être franchement plus dommageable, mais fort heureusement Raoul sauve bien souvent la donne. D’ailleurs, le matou devient un personnage et non plus un faire-valoir.
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C'est toujours un plaisir de retrouver Léonard et son disciple Basile.
Ce 40ème album tire son nom de la première histoire au cours de laquelle le savant et son disciple partent à la chasse au trésor, avec le succès que vous pouvez imaginez!
Mais dans cet album, Léonard va aussi inventer un détachant universel, la DHEA, le frigo intelligent et les croisières....
Les gags sont toujours aussi drôles, avec une mention spéciale pour le chat Raoul et la souris Bernadette sur lesquels il faut toujours garder un oeil dans le coin des planches.
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Trois histoires courtes - parfaitement dessinées par Francq (Philippe, pas Bernard).
Dont une à Bruxelles
A lire et à relire - même si cela ne se termine pas toujours très bien...
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