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Critiques de David Eddings (525)
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La Belgariade, tome 2 : La Reine des sortilèges

Commentaire sur le cycle complet :



Le chant de la Belgariade (ou simplement La Belgariade) fait partie de la grande fresque La Grande Guerre des Dieux, composée de dix tomes (elle même composée de cinq tomes) et quatre préquelles.



Ce n’est pas un secret, même si son nom ne figure pas sur les livres, que la femme de l’auteur à grandement participé à l’élaboration de ses livres. Derrière chaque personnage féminin, chaque réplique, chaque décor, se cache sa patte (Cela me fait penser au personnage de Poledra, du chant de la Mallorée, invisible aux yeux de tous mais pourtant bien présente).



Les auteurs ont réussi à créer tout un monde cohérent avec sa géographie, ses différents peuples, leurs religions, politiques et origines propres.

Les cartes, nombreuses et détaillées, permettent de se représenter le périple des protagonistes.



Tout ce vaste univers est présenté par le biais de Garion, héros de l’histoire, qui, ayant passé son enfance dans une ferme, le découvre en même temps que nous.



Bien que je connaisse évidemment l’histoire sur le bout des doigts, je me surprend toujours à découvrir de petits détails à chaque lecture.

Évidement, ce n’est pas la raison qui me fait régulièrement replonger dans cette décalogie malgré la hauteur everestique de ma PAL.

La véritable raison se situe dans la panoplie de personnages aussi variés que fouillés.

A chaque réouverture de cette série, je prend un grand plaisir, presque réconfortant à retrouver chaque personnage, comme si je retrouvais des amis de longue date.

J’ai évidemment des préférences pour Silk et Polgara avec leurs répliques cinglantes, Belgarath le grand sorcier bourré de défauts et Durnik, au sens pratique désarmant.



En effet, l'humour est fortement présent dans cette série.

Les interactions entre les personnages, les diverses scènes cocasses et surprenantes et les dialogues et répliques cinglantes sont de petites merveille d’humours.

On s'imagine aussi facilement les scènes que si l’on était au coté des personnages et souvent on rit de bon cœur.



Bon, je remarque que je ne parle pas trop de l'histoire de ce cycle.

La trame est en soit assez classique et se met doucement en place dans le premier tome.

Garion et sa tante Pol vivent paisiblement à la ferme de Faldor où la dame est la cuisinière en chef. Ils reçoivent parfois la visite du Sire Loup, le vieux conteur.

Rien ne présageait pour Garion autre chose qu'une vie de fermier, quand un événement mystérieux mit me feu au poudres, obligeant Sire Loup et Tante Pol, à partir en catimini avec le garçon sous le bras et le Durnik, le brave forgeron à la traine.

Car en réalité, tous sont beaucoup plus que ce qu'il ne laissent paraitre.

Le vieux conteur qui pillait les cuisines se révèle être Belgarath l'éternel, sorcier de sept-mille ans et véritable légende. Et Pol, malgré son talent dans les cuisines est en fait sa fille, Polgara la sorcière, aussi célèbre et presque aussi chargée d'ans que lui.



D'autre personnages les rejoignent rapidement dans leur quête dont le héros ignore tout : Silk, l'acrobate-marchand-voleur-espion, Barak le guerrier, Ce'Nedra la princesse mi dryade au caractère épicé, Lelldorin, l'archer dont le cœur est proportionnel à son absence de bon sens, Mandorallen, le chevalier persuadé (et presque à juste titre) d'être invincible, Relg, l'Ulgo, fanatique religieux capable de traverser la roche, Hettar, l'Algarois, capable de communiquer avec les chevaux, Mission, un garçon innocent et mystérieux et Taïba, la dernière des Maragues.





Au final, bien que cette série soit un peu lente à démarrer sur le début du premier tome (comme tout les premiers tomes, j'ai l'impression), elle fait partit de celle que j'ai relue (et que je relirais) un grand nombre de fois et que je conseillerai volontiers au même titre qu’un Gemmell ou un Bottero.



Mes seules réelles déceptions sont que le couple nous ai quittés et de ne pas avoir pu me procurer le seul de leurs livres que je n’ai pas lu : Le codex de Riva.
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La Mallorée, tome 5 : La Sybille de Kell

Et voilà, c'est fini. C'est avec regret que j'ai reposé le livre dans ma bibliothèque, il y a cinq ans et les personnages m'ont manqué, j'avais passé trop de temps avec eux.



Les adieux, moi, ça me déchire.



Rien à redire de la fin, elle est fabuleuse.



Les héros doivent trouver ce fameux "lieu qui n'est plus", la Sibylle doit trancher...



Des évènements inattendus, des joies, des peines et personne n'est oublié dans la conclusion.



Personnellement, cette histoire m'a tellement prise, conquise, que quand j'ai eu fini le livre, il m'a fallu un certain temps pour revenir à la réalité.



Ensuite, tous les livres que je lisais étaient insipides, fades, sans goût.
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La Mallorée, Tome 1 : les gardiens du Ponant

Le Dieu-Dragon des Angaraks, Kal Torak, est mort, abattu par Belgarion, Roi des rois du Ponant.



Le cours des évènements a repris sa marche normale, il n'est plus divisé comme il l'a été autrefois. Les anciens compagnons de Garion sont repartis vaquer à leurs occupations, dans les toutes les cours des royaumes, tandis que Belgarath le Sorcier et Polgara sa fille veillent sur leur famille.



Et pourtant, tout ne semble pas encore terminé. Oh que non...



Les Gardiens du Ponant est le début du second cycle d’Eddings. On retrouve tout les personnages de la Belgariade et même de nouveaux, tout aussi fouillé que les précédents.



On retrouve cette atmosphère propre a Eddings qu’il y avait dans la Belgariade. Humour et aventure en premier.



Certes, ce premier tome traîne un peu au départ et il met du temps à s'installer. On ne sait pas tout de suite quel sera l'objet de cette prophétie et j'ai eu peur d'avoir perdu l'atmosphère du premier.



Dans cette partie, nous retrouvons Belgarion et Ce'Nedra, douze ans ont passé.



J'ai craint aussi de ne pas trouver du plaisir avec cette nouvelle quête vu qe certains personnages changent. Ils m'ont plu d'entrée de jeu.



La suite vaut bien la première partie.
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Les Rêveurs, Tome 1 : Le réveil des anciens dieux

Dernière saga de ces maîtres de l'Heroic Fantasy qu'étaient David et Leigh Eddings, "Les rêveurs" est réellement une cruelle déception. Le style est pauvre, les personnages sont plats et on se lasse très vite de la lenteur avec laquelle l'histoire évolue. On a vraiment l'impression de lire une suite de romans bâclés et sans réelle consistance. Dommage car les idées de bases étaient séduisantes... Une saga vraiment pas à la hauteur des précédentes mais qui pourrais tout de même être un bon premier pas dans l'Heroic Fantasy pour les plus jeunes.
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La Belgariade, tome 5 : La fin de partie de..

Dans le milieu des mondes imaginaires, on ne présente plus le couple Eddings, auteurs de nombreux romans qui ont façonné tout un pan de l'Héroïc-Fantasy et dont l'influence sur les générations futures n'est sans doute pas moindre que celle de leurs aînés. Longtemps annoncé comme le seul auteur de ses histoires, David Eddings reconnaît en 1995 la participation essentielle de sa femme dans son écriture. Il s'agissait de toute façon de "l'un des secrets les moins bien gardés de la fiction contemporaine". Et si lui est à l'origine des histoires, le lecteur doit à Leigh la cohérence des décors et du cadre des histoires, la majorité des personnages féminins et les chutes incisives. Ce qui n'est pas anodin et contribue énormément au plaisir de lecture de leurs ouvrage.



Mais qu'est-ce que La Belgariade ?

Il s'agit d'un cycle de romans en cinq "Chants" narrant les aventures de Garion, simple valet de ferme appelé à une grande destinée. Le pitch est extrêmement simple, et pour être honnête, le cycle n'est pas tant apprécié pour la profondeur de l'histoire que pour le talent de conteur des auteurs et leur humour. A cause du jeu du destin et de Prophéties nébuleuses quant à l'avenir du monde, Garion et son petit groupe va parcourir tout le continent dans une sorte de gigantesque voyage initiatique. Les rencontres seront nombreuses et les occasions d'apprendre innombrables.

L'un des talents des auteurs est d'arriver à gérer une énorme distribution de personnages sans jamais réussir à ennuyer le lecteur, ni même à le perdre (ce qui en soit est une gageure). Les cartes parsemant les ouvrages sont pour beaucoup dans le suivi des aventures et le réalisme des peuples inventés relève presque du travail d'ethnologue.



Le monde de la Belgariade est coupé en deux continents aux proportions titanesques et aux reliefs accidentés.

Le cycle de la Belgariade est un prétexte à l'exploration du premier continent, constitué des Royaumes du Ponant et des Territoires Angaraks.

Chaque territoire est marqué par une géographie spécifique, des noms identifiables immédiatement et un trait de caractère fortement poussé. Ce qui permet d'une part de ne pas perdre tout de suite le lecteur, et dans un deuxième temps de grossir les traits et de faire une légère critique de certains contemporains l'air de pas y toucher... Ainsi les Cherek sont de grandes brutes dans le plus pur style viking alors que les Arendais sont de simples fermiers au pragmatisme exacerbé. Les Drasniens sont de redoutables marchands et les meilleurs espions du monde alors que les Asturiens sont de dangereux écervelés, aussi prompts à se fourrer dans les ennuis jusqu'au cou qu'à jurer une amitié indéfectible.



Le groupe accompagnant Garion dans sa quête est constitué d'un assemblage hétéroclites d'individus provenant des ces différents pays, aux traits si possible encore plus poussé que leurs congénères, histoire d'amener quelques situations cocasses et de compliquer les choses dans les relations du groupe.

L'humour est l'un des facteurs dominants de l'écriture du couple Eddings. Leurs textes sont truffés d'expressions très imagées et évocatrices, de jeux de sonorités, de situations emberlificotées et de répliques satiriques. Les dialogues sont des petits bijoux de réparties cinglantes et de mauvaise foi éhontée. Combien de fois ai-je dû fermer le livre quelques instants, incapable de réprimer un fou rire en imaginant certaines scènes ou lorsque l'image de l'une de ces expressions s'imposait à moi durant la lecture. C'est tout simplement jouissif...

Il est à souligner que les auteurs adorent les intrigues politiques et les états de siège. Ils sont d'ailleurs maîtres dans ce genre de description et n'ont pas leur pareil pour échafauder des théories fumeuses dont leurs personnages font bien évidemment les frais pour notre plus grand plaisir. De ce point de vue, ils se rapprochent de l'écriture de David Gemmell, même s'ils sont loin d'égaler son souffle épique dans la description des combats.



Certains lecteurs chagrins relèveront en point faible le personnage même de Garion, un peu long à la comprenette et qu'ils trouvent relativement agaçant dans son obstination à remettre en cause l'état qui est le sien : être le jouet d'une prophétie qui a scellé sa vie bien avant sa naissance... Honnêtement, si l'on se mettait à la place du garçon, élevé en Arendie, donc né pour être fermier, avec une conception très pragmatique de la vie et une ouverture d'esprit relativement étroite (assez large pour écouter des contes à la veillée, mais pas assez pour y croire), il paraît normal de passer un petit moment à se plaindre, non ? Et peut-être de se poser quelques question existentielles...

Et soit dit en passant, le tout est traité avec suffisamment d'humour pour ça passe tout seul, et ça se transforme même en running gag. Bon, je sais, je suis un public définitivement acquis à ce cycle, et aux autres grands cycles du couple que j'espère présenter plus tard.



Malgré tout, il s'agit d'un monument incontournable de la fantasy "classique" et il serait dommage de passer à côté. Pour un lecteur averti, c'est une lecture de distraction entre deux ouvrages plus conséquents.

Pour un néophyte, il s'agit d'un très bon cycle pour entrer dans les mondes imaginaires dont la lecture marque profondément. Je l'ai lu plusieurs fois et c'est toujours aussi jouissif, malgré quelques longueurs lorsque l'on connaît la fin de l'histoire. Mais ça reste une lecture très distrayante.



À découvrir ou à redécouvrir, juste pour le plaisir de s'esclaffer et de récupérer des expressions bizarre à placer ensuite dans une conversation...
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Polgara la sorcière, Tome 1 : Le temps des so..

Après Belgarath, Polgara nous donne sa version de l'histoire des royaumes du Ponant.



Et celle-ci m'a semblé la plus intéressante, car en parcourant une période moins longue elle peut mieux détailler les périodes qu'elle a vécu et les évènements qu'elle a traversé. On s'attache ainsi plus facilement aux personnages et on a beaucoup moins l'impression de lire un livre d'histoire avec ses successions de dates et d'évènements mais bien un ensemble d'histoires reliées entre elles par une quête qui s'achèvera avec la Belgariade.



Ces aventures sont en plus parfaitement complémentaires de celles de son père car elle nous apprend beaucoup de choses dont celui-ci n'avait pas, et souvent de devait pas avoir, connaissance, comblant ainsi tout les trous et permettant d'avoir une vue complète de ce qui a été nécessaire pour aboutir à la naissance du Tueur de Dieu.



Ces livres sont donc totalement indispensables avant d'attaquer la saga de la Mallorée.
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Le Codex de Riva

Pas vraiment un roman, pas non plus un documentaire.

A cheval entre les deux, le Codex de Riva contient en réalité une partie des recherches et des études stylistiques des époux Eddings avant qu'ils se mettent à écrire le cycle de La Belgariade.

L'humour est omniprésent, on apprend énormément de choses sur l'univers qui se développe dans les cycles et l'on s'aperçoit que finalement le tout est vraiment très bien pensé, structuré et que dans les livres n'apparaissent que les éléments essentiels pour le lecteur. Malgré tout, le travail en amont est colossal.
Lien : http://coeurdechene.unblog.f..
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La trilogie des joyaux, tome 1 : Le trône de d..

- Sans spoilers -



Roman lu entièrement en bibliothèque.



Eddings est un énième auteur apprécié par ses pairs, qui semble avoir un petit cercle de lecteurs fidèles et dont l’œuvre de Fantasy m'inspire un seul qualificatif : insipide.

Est-ce mal écrit ? Non, mais cela n'a rien d'original et d'accrocheur.



Énorme faiblesse : Aucun des personnages n'a réussi à me marquer, car l'auteur ne semble pas essayer de les développer. Cela ne serait pas gênant si l'intrigue ou l'aventure compensaient, mais non cela reste une Fantasy basique qui échoue même sur les éléments basiques de ce genre.



Si vous hésitez à lire cette trilogie (ou cet auteur), je vous comprends et j'ai tendance la déconseiller. Mais peut-être que le style et les personnages sans personnalité vous plairont.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Désolée mais je n'ai pas aimé. J'ai trouvé cela long, trop de répétition. Pourtant il a de très bonnes critiques de manière générale.

Le jeune Garion vit dans la campagne, il s'attache à sire loup qui vient de temps en temps. Tante Pol est une fabuleuse cuisinière mais terrible dans son caractère inflexible. C'est cette dernière qui l'a élevé depuis sa naissance, pourtant elle oscille entre tendresse bien cachée, froideur à faire fuir et pas mal de cachotteries. Sire Loup et elle ont visiblement des comptes à régler. Garion grandit en toute sécurité. Soudain une balade avec Sire Loup en ville, une mauvaise rencontre et il faut s'échapper et vite partir sans retour. Un long chemin plein de doutes et de terreur les attend. Dès lors l'aventure débute avec Silk le rusé et Barak... la force. D'ailleurs ces deux-là me sont les plus sympa et intéressants à mes yeux.

Garion échappe à la mort et sauve un royaume, il faut fuir encore malgré cette première "victoire".

Bon on imagine bien dans les autres tomes que Garion, que l'on voit jeune ados à la fin de ce 1er tome, est promis à un avenir tourmenté et très attendu par ses mentors.

J'ai trouvé ce 1er tome très long à se mettre en route, trop de détails, un déroulé qui n'en finit pas. Bref pas de suite pour moi.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Le monde était jeune alors, les Dieux vivaient en harmonie et les hommes ne formaient qu’un seul peuple. Aldur le Sage façonna un globe au pouvoir immense, l’Orbe. Mais Torak, le dieu jaloux, s’en empara au prix d’une main et d’un visage brûlé, et plongea l’univers dans le chaos. L’Orbe fut caché. Les dieux se retirèrent et les hommes se divisèrent. De nombreux siècles plus tard. L’Orbe a disparu à nouveau. L’immortel sorcier Belgarath sait que l’avenir de l’humanité repose sur un unique mais très vulnérable pion, le jeune Garion, âgé d’une quinzaine d’années, qu’il avait confié des années plus tôt à Dame Pol alors qu’il n’était qu’un nourrisson orphelin. Il n’est donc qu’un petit valet de ferme qui ignore tout de son ascendance et de sa destinée.

« Le pion blanc des présages » est le premier tome d’une trilogie titrée « La Belgariade » relevant des sagas de fantaisie à l'américaine. La quatrième de couverture proclame que cet ouvrage est un « cycle majeur qui trouve sa place aux côtés du « Seigneur des Anneaux ». Cette affirmation demande à être précisée. L’auteur (ou plutôt les auteurs car Eddings a écrit avec son épouse semble-t-il) s’est très largement inspiré du chef-d’œuvre absolu de Tolkien. L’ennui, c’est que l’élève n’arrive pas à la cheville du maître. Il fait du Tolkien sans le souffle, sans la mystique et sans l’esprit ! Par exemple, il a juste remplacé l’anneau magique par une boule magique et le hobbitt par un valet de ferme. Et on pourrait continuer longtemps dans les comparaisons sur les personnages. Le pire vient de la faiblesse de l’intrigue. Il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome. On présente les personnages et on commence une très longue quête de l'Orbe un brin ennuyeuse. Seul point positif : le style est très fluide, ce qui permet une lecture aisée et agréable.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Une relecture en VO très longtemps après la première lecture... Et j'accroche toujours autant ! C'est bien écrit, les personnages sont plutôt crédibles (quelques léger problèmes que je n'avais pas repéré la première fois), les éléments sont bien introduits... Bref, un très bon roman jeunesse.

Le personnage principal, Garion, a 14 ans au début du roman et ne semble pas destiné à quoi que ce soit de grandiose : il est garçon de cuisine à la ferme de Faldor. Sa tante Pol l'élève depuis son enfance. A 12 ans, j'avais dévoré le livre.

En tant qu'adule, je trouve que Garion est trop enfantin pour 14 ans, surtout pour quelqu'un élevé dans une ferme. Surtout, je regrette le manque de nuances : les méchants sont très méchants et manquent de personnalité. On retrouve également beaucoup d'éléments du Seigneur des Anneaux.
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La Rédemption d'Althalus, tome 2 : Les trois ..

Salut les Babelionautes

j'ai commencé ce tome deux le dernier jour de l'Année 2020 mais j'ai eu beaucoup de mal a le terminer.

Pourtant il ne fait que 512 pages, ce qui pour moi est un livre court.

Donc j'avais terminé le tome 1 sur la blessure reçu par Eliar, ce qui m'étais nos héros dans une position inconfortable puisqu'ils n'avaient plus accès aux portes permettant de manipuler le Temps et l'Espace.

Car dans cet affrontements entre le bien et le mal, les pouvoirs quasi magiques des personnages sont identiques dans les deux camps.

David Edding est un auteur que je découvre et j'avais décidé de ne pas commencé par son œuvre majeure qui se déroule dans pas moins de seize tome.

Althalus va devenir de plus en plus roublard au fil des pages et ses compagnons vont avoir leur rôles tour à tour dans ce conflit visant à dominer le monde réel.

Bien entendus, c'est le bien qui triomphera, mais pas sans quelques difficultées.

La fin est, a mon gout trop conventionnelle, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, même la déesse !!

Donc au final ce ne sera pas un coup de cœur mais une lecture en somme bien sympathique dont Isabelle Troin a assurée la traduction, et je l'en remercie ici, car sans les traducteurs (trices) beaucoup trop d'œuvre me seraient inaccessibles.
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La Rédemption d'Althalus, tome 1 : Les yeux d..

Salut les Babelionautes

Je continu ma découvertes de l'œuvre de Leigh et David Eddings avec ce premier tome de "La Rédemption d'Althalus", ou nous allons suivre le parcours étrange d'Althalus, qui de Voleur va se transformer en un Sorcier pas piqué des hannetons.

Et c'est encore une fois un conflit entre le Bien et le Mal, incarné par une trilogie de dieux qui comme dans beaucoup de romans de fantasy, vont se servir des Humains pour leur affrontement.

Beaucoup d'Humour dans ce premier tome, et on ne peux qu'aimer la petite chatte parlante qu'Althalus baptise Emeraude.

Sa Quête va l'emmener a constitué un groupe hétéroclite ou un couteau Magique aura une grande importance.

Juste avant le mot Fin, va se dérouler une action qui vous obligeras à ouvrir d'urgences le tome deux de La Rédemption d'Althalus, ce que j'ai fais.

Merci à Isabelle Troin pour la traduction
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Cette saga traîne sur les étagères de ma PAL numérique depuis des années. Quand j'ai vu que Pocket allait la rééditer sous forme d'intégrales, je me suis décidée à enfin la commencer (l'intégrale peut être très belle, mais hors de question d'investir si ce que je lis ne me plaît pas).



J'avoue avoir eu du mal avec le tout début de ce tome. J'étais un peu perplexe et perdue face aux dieux, aux différents peuples, qui va où et qui fait quoi.

Par contre, tout devient beaucoup plus intéressant une fois que l'on rencontre Garion, l'histoire démarre enfin et j'ai beaucoup aimé suivre ses différentes péripéties.



Petit bémol, ce roman n'est pas exempt de clichés: comme souvent, on a un jeune garçon/ado tout ce qu'il y a d'ordinaire, qui semble avoir des pouvoirs incroyables et qui est au cœur d'une prophétie très ancienne.

On a aussi le vieux magicien, le dieu avide de pouvoir, le compagnon de voyage au premier abord irascible mais finalement sympathique...



J'ai également trouvé incroyable que Garion ne voie pas ce qui m'a semblé à moi tellement évident.

En fait, je ressors avec des sentiments mitigés à propos de ce personnage. Il a quinze ans et souhaite être considéré comme un homme, alors que parfois il agit comme un gamin - et en même temps, vu qu'il n'a jamais quitté sa région natale, il sait si peu de choses du monde qui l'entoure qu'il ne peut qu'être étonné de tout.



A part ces quelques détails, j'ai passé un agréable moment en compagnie de ce livre.

certes, il est plutôt introductif et sert avant tout à nous présenter les personnages et l'univers, mais je ne serais pas contre découvrir la suite, qui je n'en doute pas nous réserve sans doute bien des surprises!
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La Belgariade, tome 2 : La Reine des sortilèges

Le périple continue à travers l'Arendie et la Nyissie. On découvre de nouveaux personnages, certains devenant peu à peu le cœur de cette aventure. Ce deuxième tome est toujours aussi palpitant et surtout entraînant, que ce soit dans le palais royal, devant Salmissra ou dans la chevauchée à travers les terres d'Arendie.
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Polgara la sorcière, Tome 1 : Le temps des so..

Bon ! les Eddings tirent à la ligne c’est entendu mais comme c’est pour mettre en avant mon personnage préféré allons-y pour un autre tour : Polgara la brune (mon épouse est brune) , amoureuse d’ordre et de propreté ( ma femme aussi) , excellente cuisinière (ma dulcinée aussi ) , assez têtue et rancunière ( censuré) est surtout une formidable sorcière ( pas ma femme sinon c’est un salsifi qui écrirait cette chronique !) . On découvre ici ses premières années assez chaotiques et on comprend mieux à cette lecture la mélancolie qui la saisit à Vo Wacune dans la Belgariade.
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La Belgariade, tome 5 : La fin de partie de..

Game over ! Les armées alliées assemblées par C’Nedra se dressent face à celles de l’Axe du mal . De son côté , Belgarion et ses compagnons s’approchent du fatal rendez-vous avec le ténébreux Torak à l’œil unique . Tous les personnages convergent vers la résolution finale. Qui l’emportera , le Bien ou le Mal ? Quel suspense ! Habituées des sagas et d’Eddings vous devez avoir une petite idée sur la question …. Et puis comment l’auteur pourrait-il ne pas se livrer à son obsession matrimoniale et unissant les couples formés au fil des aventures ?
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La Belgariade, tome 4 : La Tour des maléfices

Dans cet avant dernier tome, l'histoire se concentre sur l'accession de Garion et Ce'Nedra au trone de Riva et à leurs nouvelles responsabilités.

Garion découvre l'exercice du pouvoir. Il est très loin du jeune garçon naîf du début de l'histoire. Garion doit faire ses propres choix et ne peut plus se cacher derrière Polgara ou Belgarath. Ce'Nedra n'est plus une petite fille capricieuse mais une très jeune reine confrontée à ses responsabilités et devant gérer la préparation d'une guerre. C'est un tome de transition avant l'affrontement final et où il y a beaucoup moins de détour que dans les précédents. J'ai trouvé que comme pour le tome 3 (qui reste mon préféré), l'histoire avance maintenant avec le bon tempo alors que les 2 premiers avaient parfois parfois quelques longueurs. Même si je reste persuadé que ce cycles auraient gagné à être plus concis (une trilogie aurait sûrement suffit), je suis impatient de lire le dernier chant.
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La Belgariade, tome 3 : Le Gambit du magicien

Je viens de finir le tome 3 et pour le moment c'est mon préféré.

J'avais été séduit par le tome 1, un peu déçu par le 2 mais le 3 m'a vraiment passionné. Je ne saurais pas dire pourquoi, c'est plus où moins les mêmes éléments utilisés dans les 3 tomes, mais dans ce tome ça fonctionne mieux.

Les personnages sont plus fouillés, les situations mieux décrites ou mieux enchaînées, je ne sais pas dire ce qui fait que ça prend, mais ça fonctionne !
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Le problème avec ce genre de livre, c'est que les attentes sont beaucoup trop fortes et leurs Aura surpasse largement leur qualité réelle.

Après en avoir entendu énormément parlé, j'avais de grandes attentes sur ce "classique" et je me languis de retrouver un vrai grand cycle d'Heroic-Fantasy comme j'ai pu en lire dans ma jeunesse...

L'autre problème est que j'ai, entre temps, beaucoup lu, dans des domaines différents, et que mon exigence en est forcément plus grande...



Ce livre a été écrit en 1982 et souffre indéniablement de la comparaison avec d'autres livres parus entre-temps. Certes, ceux-ci qui se sont certainement appuyés sur lui pour exister mais l'ont aussi un peu écrasé. Ce problème ne devrait pas arriver à un vrai "classique", je pense.



Le premier point négatif que je peux lui adresser est: j'en ai marre de suivre les aventures d'un jeune garçon de la campagne auquel un grand destin se dessine. Dès les premières pages, j'ai été saoulé. Comble de l'exaspération, il n'en voit rien, n'y comprend rien et se demande tout le temps ce qu'il lui arrive. Même si cela pourrait sembler réaliste, c'est particulièrement lassant pour le lecteur qui a trois temps d'avance sur lui....

Ensuite les personnages secondaires sont intéressants mais assez caricaturaux et au caractère très marqué et très différent. C'est simple pour comprendre mais très attendu et lassant. J'avais parfois l'impression de lire un livre pour enfant où tout est simplifié pour sa compréhension...

Le livre est parfaitement linéaire mais le suspense ne grandit pas vraiment et les péripéties sont un peu forcées. Je ne relèverai pas le nombre comportement ou d'actions qui sont absurdes ou simplettes. Des pièges tendus gros comme une maison, des méchants qui se tiennent à distance pour ne pas faire trop peur et un héros particulièrement naïf qui se retrouve systématiquement au mauvais endroit, au mauvais moment...



Au final, j'ai l'impression d'être devant un livre, un cycle pour adolescent, comme il en existe désormais des centaines où tout est aseptisés et linéaires. Si on le replace à son époque, il doit être important mais avec des yeux de 2019, je ne suis pas convaincu.

Mais rassurez-vous, j'ai aussi été déçu par le cycle de l'assassin royal, alors... Je suis toujours à la recherche d'un cycle qui me fasse vraiment vibrer... (un trône de fer bis, quoi.... snifff)
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