ARGGHHHH !!!!!
Prise de conscience soudaine suivie d’une salve d’extra systoles…
Mais comment ai-je pu oublier d’ajouter à ma bibliothèque cette formidable saga qui m’a fait rêver pendant des mois, attendant fébrilement la sortie du volume suivant dans un état qui frisait l’hystérie ( bon, j’exagère peut être un peu mais c’était assez proche) car dés parution, hop, je dévorait le livre, plus rien n’existait , immersion totale, mode foutez moi la paix je lis…et puis, après 3 jours….l’attente, cette foutue attente jusqu’au prochain tome.
Oh que j’ai voyagé avec Garion, Belgarath, Tante Pol, Silk, Ce’Nedra et les autres, parcourant ce monde, en me référant aux cartes en début de livre, que d’aventure, que d’émotion, quel de souvenirs…Quelle saga!
Pour tout vous dire, c’est grâce à Eddings que j’ai lu par après le Seigneur des anneaux (sur le tard donc mais comme j’ai l’habitude de faire tout à l’envers…enfin, c’est aussi pour ca qu’on m’aime…non, bon, tant pis)
Bref, si les grandes sagas ne vous rebutent pas,…et gare si vous dites que c’est du sous Tolkien (Pictura, celle là je te l’ai piquée sur ta critique de Simak lol)
Le genre de série dont on voudrait qu’elle ne s’arrête pas tout en se réjouissant de découvrir l’épilogue…et de se dire, l’œil mouillant, beh, c’est déjà fini mais qu'est ce que c'était bon! snif!
Fred-Fichetoux-Beg mode crime de lèse majesté enfin réparé activé et c’est très bien comme ca !
Allez, bonne(s) lecture(s) ;-)
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Le jeune Garion, orphelin, est élevé (de manière assez stricte) par Tante Pol. Mais un jour, sa vie bascule, un mystérieux inconnu Belgarath l'entraine sur les routes, à la grande inquiétude de Tante Pol qui le trouve trop jeune. Dans leur quête, ils sont rejoints par de bien étranges personnages, et on apprend bientôt que Garion est bien plus que ce qu'il parait et qu'il est amené à sauver le monde...
Avez-vous déjà lu une caricature des livres de fantasy, tous identiques, dans lesquels un sor... lire la suite
cier, un voleur et une épée magique permettent à un adolescent de sauver le monde du Mal ? Elle était sans doute inspirée de la Belgariade qui est la preuve écrite qu'avec une intrigue stéréotypée, on peut créer un chef-d'œuvre. Le quatrième de couverture annonce la plus belle décalogie de la fantasy : pour moi, ce n'est pas une exagération. L'univers est fouillé (l'auteur tient les 10 volumes, et plus par la suite sans aucune incohérence ou détour), les personnages typées et attachants, l'intrigue menée de main de maitre, et cerise sur le gâteau, des dialogues plein d'humour, où se confrontent la banalité du quotidien et l'héroïsme de la la quête. A lire et relire.
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J'avoue, j'ai eu un peu de peine au début... En fait, je trouvais que c'était toujours pareil. Il voyagent, s'arrêtent à un endroit, et vite, il faut repartir, pour se retrouver de nouveau dans une autre auberge, et vite ! Il faut partir !
Il y avait certes des évènements du style attaque sur les routes, mais bon rien qui ne m'a vraiment passionnée.
Mais c'est venu bien plus intéressant vers la moitié du livre, et là, je ne voulais plus refermer le livre. Enfin il se passait quelque chose ! ^^
Par contre, j'ai un peu de mal avec notre petit Garion. Je le trouve trop gamin et trop borné, même si apparemment c'est voulu puisque tout le monde le lui reproche, mais bon, lui qui voulait qu'on lui explique tout, Polgara le lui propose un jour et il refuse... Ensuite "non ! je veux pas être ce que je suis !" et il refuse de se faire raisonner par les autres. Enfin bref, vivement qu'il grandisse un peu ^^
Mais un très bon livre dans l'ensemble, toujours léger et facile à lire avec quelques touches d'humour qui sont les bienvenues ! Et évidemment toujours autant de dialogue, ce qui rend la lecture plus rapide.
http://iani.over-blog.com/article-19384698.html
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Un grand classique qu'est la Belgariade. Peut-être trop ? Je dois le dire, je n'ai pas accroché. Je sais qu'il faut prendre en compte l'époque et ne pas comparer cette série aux Archives de Roshar, par exemple. Mais j'ai vraiment eu trop de mal à lire tellement les stéréotypes de la Fantasy sont présents et que le suspense est inexistant.
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Cette lecture des 3 premiers livres de La Belgariade (Le Pion des Présages, La Reine des Sortilèges et Le Gambit du Magicien) nous plonge dans une aventure qui reprend avec brio tous les codes posés par le père de la fantasy qu'est J. R. R. Tolkien.
Une prophétie fait se réunir plusieurs héros aux aptitudes diverses (un art pour certains, un pouvoir étrange ou une magie pour d'autres) qui accepteront au péril de leur vie de braver les obstacles, potentiellement mortels pour la plupart, pour rejoindre le lieu de l'accomplissement de leur quête, et parvenir à ramener l'Orbe dérobée avant que son pouvoir ne soit utilisé pour détruire l'ordre du monde et le faire basculer dans le chaos souhaité par un Dieu maléfique.
David Eddings a une écriture fluide et réussit à merveille à construire une personnalité intéressante à chacun de ses personnages.
De plus, le monde dans lequel il fait évoluer ses héros est assez varié et très visuel.
Ainsi les amateurs de fantasy seront tout à fait dans leur élément dans cet univers où la magie le dispute au mystérieux au détour de chaque forêt, montagne, désert, village ou Royaume.
On pourra peut-être regretter un cheminement un peu rapide de notre équipée qui parcourt les lieues à une vitesse qui ne permet pas au lecteur de goûter les charmes des étranges contrées traversées, et de s'attarder un peu dans ces terres mystérieuses et prometteuses...
Au final il s'agit là d'une fantasy de bonne facture qui rempli parfaitement son rôle en plongeant le lecteur dans un autre monde bien construit aux côtés de personnages très vivants.
Cette première partie de l'Intégrale de La Belgariade, qui regroupe les 3 premiers chapitres (sur 5), offre un agréable dépaysement.
Le style de Eddings permet une lecture sans effort et les 1159 pages sont rapidement englouties.
La deuxième partie de l'Intégrale de La Belgariade regroupe en 877 pages les 2 derniers chapitres : La Tour des Maléfices et La Fin de partie de l'Enchanteur.
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Salut les Babelionautes
Je continu ma découverte de l'oeuvre de Leigh Eddings et David Eddings avec cette trilogie que j'ai lu avant La trilogie des joyaux qui la précède.
Bien que je n'ai pas commencé par le début, j'ai bien aimé cette trilogie qui s'adresse a un public d'adolescents, car les ficelles utilisées sont coutumières de ce type de fantasy.
Très bien traduite par Dominique Haas, que je remercie pour son travail, elle vous emporte dans un monde ou les Dieux s'affrontent par le biais des Humains ou des créatures qui les prient.
Nous allons suivre Emouchet, un Guerrier d'un Ordre Religieux, dans sa lutte contre les forces des Dieux du mal qu'il va devoir affronter.
Dans ce deuxième tome les ennuis pleuvent sur Emouchet et ses compagnons qui vont devoir faire appel à tous leur talents pour triomphé, avec parfois l'aide des Dieux du bien.
C'est quand même une trilogie facile à lire, et si j'y ai passé beaucoup de temps cela est du au fait que je suis en Corse en Moto pour quinze jours de vacances.
Je ne pense pas lire la trilogie des joyaux si elle est du même style car je dois lire Sialimar de Emad Jarar que j'ai reçus en Masse Critique privilégié.
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Voici une série de fantasy qui compte beaucoup pour moi. Il s'agit de la 2e série de fantasy adulte que j'ai lue quand j'étais au lycée, après Le Seigneur des anneaux, une bonne série bien longue comme on les aime qui m'a fait passer pour une grosse nerd auprès de certaines profs à l'époque... 😅
La Belgariade, déjà, c'est deux auteurs, car contrairement aux vieilles éditions, la participation de Leigh Eddings est bien reconnue et on lui doit pas mal de scènes et de personnages !
Ensuite, c'est une saga en plusieurs parties qui peuvent se lire séparément, les prequels sur la vie de Belgarath et de Polgara, la Belgariade elle-même en 5 tomes, et encore 4 tomes pour une autre partie de leur aventure.
C'est plein de personnages hauts en couleur, qui ont une verve savoureuse et des caractères bien à eux, des cartes de monde comme on les aime, des émotions, du rire, des larmes, du bonheur quoi !
Sur ce premier tome spécifiquement, le jeune Garion part à l'aventure avec sa tante pour retrouver la piste de quelque chose qui a disparu, quel choc pour lui qui a toujours vécu à la ferme de Faldor et qui pensait bien connaître sa tante Pol !
Garion est un ado touchant et bien dépeint, entouré d'adultes tantôt inquiets, complices ou moqueurs, et surtout, pleins de mystère... 🧐 Sur leur chemin, des obstacles vont se dresser, nous faisant comprendre que ce n'est pas une petite quête de rien du tout...
J'adore aussi la tante Pol, avec son intransigeance et pourtant son amour inconditionnel, et son sens de l'humour ! 😁
Tout ça pour vous dire que j'ai hâte de poursuivre ma relecture ! J'ai déjà relu les 4 prequels avec ma meilleure amie l'an dernier, mais je conseillerais de commencer par Le pion blanc des présages, pour garder le mystère plus longtemps et tout découvrir avec Garion ! 😉
Vous connaissez ? Si oui venez me dire ce que vous en pensez ! 😁 Si non, foncez ! En plus, les intégrales sont en cours de parution chez Pocket Imaginaire !
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Le tome 4 de la Belgariade se lit bien mais c'est loin d'être mon tome préféré. Même si les éléments relatés sont nécessaires pour le développement des personnages et l'avancée de l'histoire, le fait est qu'il ne se passe pas grand chose. Après les péripéties des trois premiers tomes, je me suis presque ennuyée.
L'histoire est en quatre parties cette fois-ci. Dans la première, l'Algarie, Garion rencontre sa cousine qu'il aime instantanément parce qu'elle est de sa famille. Si je peux comprendre la joie de rencontrer un cousin jusqu'alors inconnu, encore plus pour un orphelin, ce n'est pas "d'un seul coup" comme s'ils avaient grandi ensembles... Or c'est ce qu'il se passe. Aucune mention n'est faite de la famille d'Adara pour forcer leur rapprochement.
A Riva se produit ce que tout le monde savait depuis longtemps : Garion est roi de Riva et monte sur le trône. Et comme on peut s'en douter, il n'y est pas du tout prêt. On se demande vraiment pourquoi Polgara ne lui a jamais donné la moindre éducation...
La seule partie que j'ai trouvé intéressante se déroule en Drasnie. Garion, Silk et Belgarath ont repris la route. Silk étant mon personnage préféré de l'histoire, il n'est pas très étonnant que j'apprécie d'en découvrir plus sur lui. La Drasnie avec ses espions et son cynisme est aussi très rafraichissante.
Enfin, et c'est là où le livre m'est presque tombé des mains (heureusement que c'est bien écrit!), Ce Nedra se transforme en Jeanne d'Arc, soudain prête à tout pour Garion, et lève une armée d'Arendais en quête de gloire avant de voler les légions tolnédraines à son père. Ce Nedra est le personnage que j'apprécie le moins de l'histoire et je la trouve insupportable depuis le début. C'est un des seuls personnages féminin et elle n'a aucun mérite propre : même ici elle ne lève pas les armées par un talent quelconque, la prophétie se charge de tout.
Plus qu'un tome pour le dénouement, j'espère qu'il aura un rythme un peu plus soutenu !
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Salut les Babelionautes
Contrairement a la plupart des fans de SFFF je n'avais encore jamais ouvert de livre écrit par David Eddings, et j'ai décidé, pour ne pas être déçu par la suite, de lire ce roman qui est sa première œuvre.
Tout d'abord il ne s'agit pas d'un roman pouvant se rattacher à la SFFF, il s'agit plutôt d'une diatribe contre l'assistanat des services sociaux envers les plus déshérités.
C'est l'histoire d'un jeune homme bénie des Dieux, Raphaël Taylor réussi tout ce qu'il entreprend, mais le destin va lui jouer un tour pendable.
Suite a une alcoolémie sévère, il est victime d'un accident de la route qui va faire de lui un handicapé.
Mais contrairement a ce que lui prédisent les assistantes sociales qui vont s'occuper de lui, il va tout faire pour retrouvé une vie qui vaille la peine.
L'autre personnage important de cette histoire est Damon Flood, mais il faudra attendre les derniers paragraphes pour comprendre qui il est vraiment.
Si je peux faire une parallèle avec une autre œuvre, se serait avec la Saga Honnor Harington et la condition des proles dans la République de Havre.
Car pour contrôlé le peuple, ils reçoivent des allocations pour vivre sans travailler.
Cela ressemble trop a notre société, avec le RSA et toutes les aides que l'état, dans sa mansuétude, prend dans les poches des actifs pour financer ces aides.
Attention! Je ne suis pas contre, mais avouez que c'est un système pervers.
Pour en revenir a ce roman, je trouve que pour une œuvre de jeunesse écrite en 1992, David Eddings s'en tire pas trop mal.
Merci a Isabelle Troin pour la traduction de ce livre, il me reste a découvrir les 27 autres titres du couple Eddings en continuant par La chanson de Regina, un autre de ses écrits qui n'a pas de lien avec la Saga qui la fait connaitre et qui a inspiré vos pseudos.
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Garion vit dans la ferme de Faldor avec sa tante Pol, cuisinière. Il passe son temps avec ses amis comme tout enfant. Il est émerveillé par les légendes sur les dieux, en particulier sur Torak, que raconte un homme de passage qu'il a baptisé Sire Loup.
Un jour, Sire Loup revient pour annoncer qu'il faut partir. C'est le début de l'aventure pour le jeune homme de 14 ans qui va bientôt découvrir que les légendes peuvent devenir la réalité.
Ce classique de la fantasy fête ses 30 ans chez Pocket Imaginaire.
Les premières pages présentent les dieux et parlent de différentes races d'humains. On peut se dire que l'histoire s'annonce complexe. Mais une fois dans l'histoire on découvre des personnages, des races, des lieux progressivement sans se perdre. L'auteur fait de belles descriptions de son univers, il est très facile de l'imaginer. Garion découvre le monde extérieur de la ferme, il n'est jamais sorti de son enceinte. Tout est nouveau, on apprend avec lui. On ne voit pas les pages défiler. Les personnages ont chacun du caractère ce qui peut provoquer quelques étincelles.
Ce livre et ce nouvel univers m'a beaucoup plu. Je vais lire les 4 autres volumes de cette fresque. La mythologie de l'auteur contient plusieurs sagas qui vont me combler.
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Attention , si vous n’avez pas lu la Belgariade , la Mallorée et les préquelles (ou si vous n’aimez pas) passez-votre chemin ce livre n’est pas pour vous ! Par contre si vous envisagez l’écriture d’une saga , ou de créer un monde de fantasy , cette lecture vous montrera le travail préalable à effectuer . Comme j’aime bien mettre les mains dans le cambouis (littéraire uniquement) ce codex m’a intéressé . Voilà , adieu le cycle , je t’aimais bien tu sais. Ce fut aussi le dernier Eddings que j’ai aimé car le cycle des rêveurs m’est tombé des mains !
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: Suite et fin de la vie de Polgara (3000 ans y a de la matière) principalement consacrée à son boulot de protectrice de la lignée de Riva . Pour cela elle assume nombre de casquettes , du genre , nounou, agence matrimoniale , garde du corps. Et comme elle est très chouette (blagounette digne d’Eddings) elle a même une jolie proposition de mariage : même si le prétendant est une gueule cassée, super méchant en plus , un dieu c’est tout de même flatteur !
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Pour qui aime les sagas (et j’en suis …plus c’est long , plus j’aime) il est difficile de quitter les personnages que l’on a accompagné pendant parfois plusieurs années. D’où la joie de les voir revenir dans des préquelles , séquelles , à la pelle. Donc , même si je n’en ignore pas l’aspect mercantile , je me réjouis de retrouver Belgarath et consorts . Le vieux sorcier , redevient conteur et , pour les autres personnages et les lecteurs entreprend le récit de sa vie :7000 ans excusez du peu ! Ce premier volume retrace les débuts de son parcours , son initiation par Aldur , ses frères sorciers et ses rapports orageux avec Torak jusqu’à la Blessure du Monde puis l’assassinat de la famille du roi de Riva. Le personnage est truculent et puis il me fait me sentir jeune donc …super !
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Je retrouve D.Eddings avec plaisir et curiosité après la Belgariade, la Mallorée et les préquelles en compagnie de Belgarath et Polgara (14 volumes !). Voici donc venir Emouchet le chevalier pandion et la trilogie des joyaux et disons-le d'entrée, j'aime beaucoup !
Beaucoup d'humour, des dialogues vifs et tranchants, de l'action et des personnages attachants. L'histoire bien que relativement classique tient la route avec cette quête pour la guérison d'Ehlana, le contexte d'ambiance médiévale est bien rendue avec les ordres militaire religieux et les intrigues politiques en rapport avec la succession au trône d'Elenie.
J'ai mis un certain temps à comprendre ce qui me déroutait un peu dans le récit, la densité des dialogues est simplement hors normes, je n'ai pas souvenir d'une lecture presque uniquement composée de dialogues dans ces proportions, c'est à l'arrivée une expérience de lecture particulière, du coup les descriptions sont plutôt rares ce qui est plutôt inhabituel…
On retrouve aussi de la fantasy plus « gentille », on est loin de la Dark fantasy et j’en avais presque perdu l’habitude, je passe au tome deux avec une certaine impatience :)
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Cela faisait quelques années que j'entendais parler de cette série Fantasy et ce qu'on pouvait en dire m'intriguait plus que l'histoire en elle-même.
Je ressors agréablement surprise de cette lecture. Si certains éléments de l'histoire ne sont pas très originaux, j'ai trouvé que la force de ce roman résidait surtout en ses personnages auxquels je me suis rapidement attachée. Je trouve leurs relations très intéressantes et ce sont vraiment eux qui m'ont donné envie d'enchaîner les chapitres, en plus d'avoir de l'intérêt pour l'histoire de ce monde et de ces peuples.
Je vais donc poursuivre ma lecture avec plaisir !
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De bonnes idées, oui, mais... ça n'avance pas, il se passe des choses sans rien se passer, cela traine en longueur...
L'histoire démontre principalement que plusieurs têtes bien faites valent mieux qu'une et donc que l'union fait la force.
Rien de passionnant pour moi dans ce livre.
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Il est des livres qui ne peuvent être que des classiques, qu'on ne peut voir que comme référence en la matière. La Belgariade est un de ces livres. A un tel point d'ailleurs qu"en le lisant je me demandait si on ne pouvait pas renommer ce livre "leçon par l'exemple à l'adresse de tous les auteurs pour faire s'impliquer le lecteur en le confrontant à un personnage à l'ignorance consternante dans un monde de sous-entendus". Ce que David (et Leigh) Eddings arrive(nt) à faire ici, c'est nous présenter un péril qui nous est générique dans un univers presque générique (ils ne l'étaient pas à l'époque ) sans que ça nous apparaisse le moins du monde, et à nous investir dans cet univers en devinant à la place du héros (volontairement lent) les tenants et aboutissants de la quête (grâce à un prologue très utile).
On appréciera tout autant les touches d'humour qui parsèment le livre, la critique du capitalisme par un de ses meilleurs (ou pires) émissaires, et l'émerveillement constant que nous transmet le héros devant ces géants, rois et reines et vieil homme à peine mystérieux ; mais ça passe très bien, et c'est le grand génie de ce livre : on ne se rend compte que le livre fermé que c'est un livre avec des clichés tels qu'on en rejette vingt par jour, mais on ne sait par quel miracle ici la magie opère.
Sinon le tout est très bien écrit, les personnages attachants (et surtout humains (ou presque)) au possible, et bien qu'on ignore qui est l'ennemi on ne s'en soucie pas le moins du monde.
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D'abord, je précise que ce coffret contient les TROIS premiers tomes de la Belgariade (qui s'étale sur cinq tomes). Pourquoi cette présentation ? Mystère.
La Belgariade : cette saga en 5 volumes (suivie de 5 autres) est le début du chef-d'oeuvre de David et Leigh Eddings.
Elle commence avec un jeune garçon orphelin élevé par sa tante dans une ferme, et nous fait progressivement découvrir le monde imaginé par les auteurs. On y découvre des pays, chacun avec sa culture, en compagnie d'un petit groupe de personnages hauts en couleurs, qui vont être complémentaires tout au long de leur quête. Il y a beaucoup d'action, de dialogues, d'humour, de bravoure et de magie, c'est une épopée fantastique. Les personnages sont proches de nous, chacun avec des qualités et des défauts, tous au service d'une cause qui les harmonise et les solidarise. le 5ème volume voit se terminer une première quête. Dans la 2ème série de 5 volumes (la Mallorée) se déroule une 2ème quête, avec les mêmes personnages principaux (+ quelques nouveaux), elle est encore plus aboutie, et après des péripéties très distrayantes, c'est le bouquet final.
Mention spéciale pour la traduction (Dominique Haas) qui est très bonne! le vocabulaire est riche, le style fluide, les différents langages très réussis (paysan, de cour, des loups..). C'est valable pour "la Mallorée" aussi.
Pour mémoire:
1- le pion blanc des présages, 2- la reine des sortilèges, 3- le gambit du magicien, 4- la tour des maléfices, 5- la fin de partie de l'enchanteur, forment “la Belgariade” (suivis de encore 5 volumes= “la Mallorée”).
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