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Critiques de Frédérick Tristan (91)
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Les tribulations héroïques de Balthasar Kober

Le jeune garçon allait devoir choisir entre deux destins aussi aléatoires l’un que l’autre. S’il restait à Dresde il y gagnait en sécurité mais fondait son avenir sur l’hypocrisie. S’il allait rejoindre les compagnons -les galopins, il s’engageait en aveugle sur un chemin au bord de l’abîme mais il y rencontrait la liberté.



C’est ainsi que se présente le choix d’un jeune garçon de 16 ans Balthazar Kober en 1590 en Allemagne.

En choisissant la voie initiatique, en acceptant les dangers liés aux luttes religieuses, en parcourant les routes de Dresde à Venise en passant par Nuremberg, Balthazar va devoir descendre au plus profond de lui et affronter ses peurs avant de trouver une certaine sagesse.



Il lui faudra toute la bienveillance et l’enseignement d’un maître, illustre kabbaliste et alchimiste, Friedrich Cammerschulze, pour passer les étapes de l’initiation, des élévations et découvrir les saints mystères.

« Roman d’aventure et d’amour ce livre est une profonde réflexion sur le sens de la vie, l’être humain, la liberté de penser et l’amitié.



Petite mise en garde : certains passages hermétiques pourront rebuter le lecteur mais les vertus de la persévérance est aussi l’un des enseignements de cet ouvrage 😉
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Un crime trop parfait

Voilà un crime dont on connaît parfaitement le commanditaire dès le début. On en connaitra la clé à la fin. Cela reste très classique. L'intrigue se passe à Londres dans la haute société des avocats d'affaires. Sir Malcom Ivory et les agents de Scotland Yard vont devoir suivre les faits et gestes de chacun des protagonistes et surtout explorer ce qui se passe dans leur tête.

Pas de grande originalité. Juste un passe-temps.
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Dieu, l'Univers et Madame Berthe

Le public des ''Douzes travaux d'Astérix'' se souvient sûrement de cette fameuse maison qui rend fou. Malgré tout le bien que je pense de cet épisode, force m'est de constater aujourd'hui que cette maison n'est que de la petite bière à comparer à la maison de la protagoniste de ce roman, pour ce qui est de conduire à la démence. Madame Berthe y trône au sommet d'un cercle de gens influents, d'excentriques et de subalternes étranges voire maniaques. Ennemie de la monotonie et de la banalité, elle mène le bal avec ostentation et magnificence. Les propos qu'elle débite sont comme des feux d'artifices. Un jeune auteur curieux est introduit dans cette maison et cette société, et ses repères avec la réalité en seront grandement ébranlés. Il recueille les dires de madame Berthe qui lui raconte sa vie, une histoire au-delà du rocambolesque et du croyable. Il y a de quoi perdre l'esprit. Ce roman est un joyeux délire !
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La double mort de Thomas Stuart

J'aime bien les romans policiers de Mary London, une vraie enquête mais surtout une ambiance, la relation entre Sir Malcolm Ivory et Douglas Forbes. Et aussi le fait qu'en général, le mort était tellement désagréable qu'on est plus soulagé que attristé !



Ici en plus, ça se passe en Ecosse, ce que j'apprécie particulièrement.



J'ai fait quelques recherches car ces romans me font tellement penser à ceux de J.B. Livingstone / Christian Jacq avec l'Inspecteur Higgins que je me demandais lequel a précédé l'autre.

Je me le demande toujours, mais j'ai découvert que l'auteur qui signe Mary London a eu le Prix Goncourt sous le nom de Frédérick Tristan. Moi qui croyait lire les romans d'une des "Reines du crime" !!!



J'ai passé un bon moment, entre secrets de famille, querelles, traditions écossaises ...

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Le singe égal du ciel

Je me suis lancée dans cette lecture sans avoir fait de recherche sur ce livre, juste tenté par la quatrième de couverture. Mais ce conte n'est pas comme les autres, en effet un avertissement en début de lecture nous donne quelques informations : Le Singe égal du ciel s’inspire librement de la légende chinoise dont Wu Cheng’en tira son fameux roman la Pérégrination vers l’Ouest (Xiyou ji), sous la dynastie des Ming. Ahhhhah, certes... bon je ne connais pas tout ça c'est pas grave , à l'attaque! J'ai donc commencé pleine d'entrain ma lecture. Chaque chapitre relate une aventure de Souen, le singe égal du ciel. Celui-ci va entre autre devenir immortel, chercher à rencontrer bouddha, accomplir moult actions merveilleuses... Chaque chapitre est narré comme un conte et à la réflexion je pense que cette lecture mériterait d'être échelonnée dans le temps, genre un chapitre par jour. En effet, la lecture de nombreux chapitres d'affilé s'avère un peu ennuyeuse voir répétitive malgré une très belle écriture

(...)
Lien : http://booksandme.canalblog...
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Le crime du corbeau

Ecrire un policier en reprenant les codes du roman d'énigme traditionnel britannique n'est pas une mauvaise idée en soi. Cela peut être assimilé à un exercice de de style qui - s'il est bien mené - peut replonger le lecteur dans ses lectures passées. Une affaire de corbeau qui s'attaque aux membres d'un club d'écrivains pourquoi pas ?

L'enquêteur amateur est un aristocrate, secondé de son fidèle indigène ramené des colonies. L'enquêteur officiel lui est un ancien compagnon d'armes des guerres de l'empire. Le récit avance gentiment, les protagonistes sont amusants.

Mais à un moment il est question d'un photocopieur, des années 70 (1970).

Bref, je me suis retrouvé avec des situations et des personnages datés projetés dans l'Angleterre des 70's. Et là je dois avouer que je n'ai pas compris le propos et que aspect anachronique m'a dérouté entrainant l'abandon de la lecture
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La double mort de Thomas Stuart

La lecture de ce roman à énigme m'a permis de découvrir l'auteur Mary London (français malgré ce pseudonyme 'so british') et son personnage récurrent : Sir Malcolm Ivory qui n'avoue que trois passions : les orchidées, les livres et les whiskies.

Sir Malcom prétend - je cite - "que sa fine connaissance des whiskies entretenait sa matière cervicale, lui permettant ainsi de mieux débrouiller les enquêtes policières les plus retorses. Car - et ce n'était plus une passion mais un sacerdoce - il n'avait de cesse de traquer les criminels les plus ingénieux, mettant ainsi gracieusement ses dons de séduction à la disposition de Scotland Yard. Amateur génial, n'ayant aucun besoin d'argent, il estimait que c'était là sa façon de remercier le Ciel de l'avoir fait naître une cuillère de vermeil dans la bouche." Son personnage est plus plaisant que celui du superintendant Douglas Forbes et pourtant ils sont amis et c'est Douglas qui vient sonner à sa porte pour l'entraîner dans une nouvelle affaire.

Un meurtre vient d'avoir lieu dans un manoir dans le nord de l'Ecosse. Sir Thomas Stuart, un descendant de la famille royale des Stuart, vient d'être assassiné dans son bureau de deux balles de revolver qui n'ont pas été tirées en même temps.

Et c'est le début d'une nouvelle affaire qui sera rondement menée : Sir Malcolm Ivory ayant trouvé rapidement l'assassin mais il lui a fallu un peu de temps pour découvrir son mobile.

C'est simple mais plaisant à lire. On y passe un savoureux moment de plaisir. Cela me donne envie de découvrir d'autres enquêtes de sir Malcom Ivory et en particulier "Un meurtre chinois" paru en 1997 - qui est noté en bas de page 19 dans la version bourrée de fautes de typographie "Police CORPS 16" . Cette version a l'avantage d'être imprimée en grands caractères, ce qui m'a permis de lire ce polar très vite.
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Le train immobile



N°210

Août 1999







LE TRAIN IMMOBILE - Frédérick TRISTAN - Balland Éditeur





Il est des livres étonnants qui, une fois refermés laissent au lecteur une impression indistincte, non qu’elle fût inexprimable mais qu’il n’est pas aisé de formuler avec des mots. Ce roman est de ceux-là qui allient la magie d’un train suranné à l’image de la Sérénissime République! Ah Guillaume Apollinaire a bien raison de craindre d’un jour un train n’émeuve plus!



Un train donc, et dans la nuit comme il se doit. Il est peuplé de fantômes endormis, emmitouflés sous des pelisses. Au milieu d’eux un jeune homme fume pour se donner l’illusion de la chaleur. Il est rejoint par un vieil homme qui se présente comme un aristocrate italien à qui on donnerait bien deux ou trois cents ans tant son verbe est riche et ses histoires inattendues. Rien de la vie ne semble lui être étranger et il fait pour son jeune compagnon le catalogue de ses plaisirs et de ses passions qu’il tire autant de sa pelisse usée que de son imagination. C’est bien un personnage comme on aimerait en rencontrer, hors du temps et du commun mais à la fois énigmatique, inquiétant, diabolique peut-être?



Et puis il y a cette évocation de Venise, entraperçue sur le pont d’un vapeur qui se découvre au spectateur à travers les lambeaux du brouillard. Étrange spectacle que ces palais qui s’effondrent comme tombe la neige, que ces personnages qui semblent jouer une sinistre comédie pour pénétrer dans une sorte de mort annoncée! Tout cela n’est sans doute rien d’autre qu’un décor, sorte de rêve à demi-éveillé où surgit de nouveau notre aristocrate italien... mais déjà un train attend sur le quai d’en face...



Ce roman est bien digne de la devise de la collection « Quand le plaisir de lire rejoint le plaisir d’écrire. De courts textes. De grands écrivains ».
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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L'Enigme du Vatican

Ce livre, somme toute agréable, décrit les tribulations savoureuses d'un jeune chrétien des années 100 à travers les croyances et les mythes de la Méditerranée de l'époque, et celles d'un homme d'aujourd'hui mêlé à une ahffaire de document "poison" pour le Vatican...Bref ce livre est très agréable à lire...pourriez vous me dire pourquoi je suis tant attiré par cela ?



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Le peuple des lumières

13 nouvelles pour adolescents d'un niveau de lecture difficile et avec des thèmes très politique qui demandent des connaissances générales sur le sujet pour y avoir un peu d'intérêt. Les thèmes abordés sont le terrorisme et le radicalisme, l'immigration, le racisme et les technologies de l’information. Personnellement, j'ai trouvé cela plutôt rébarbatif pour les ados (ce n'est peut-être pas le cas pour ceux des pays très concernés par ces sujets).
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Les Egarés

Prix Goncourt 1983.

Un fameux roman, beaucoup de personnages aussi, nous évoluons durant la période quelques années avant la guerre de 40-45.

Cyril, un jeune écrivain, par un pur hasard fait la connaissance de Jonathan. Très vite une amitié se crée entre les deux hommes. Jonathan a beaucoup de bagout, de toupet, il ose, il fonce et c'est lui qui présentera le manuscrit du premier roman de Cyril chez un éditeur. Très vite la gloire est assurée chez les deux nouveaux amis.

Le temps passe, chacun faisant sa vie, mais l'amitié est restée entre les deux amis avec à l'arrière fond la montée du nazisme. En ces temps troubles on se remet en question, on ne lâche pas prise, on cherche sa place dans la société en pleine évolution, chacun des deux amis se sent égaré.

Un joli témoignage d'une grande amitié.
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Un crime sans assassin

Une enquête de Sir Malcolm Ivory.

C'est une histoire qui se passe dans une famille bourgeoise : le père est avocat, la mère perd le nord (alzheimer), la secrétaire et maitresse et les 2 enfants un garçon et une fille.

Le père meurt empoisonné, on l'incinère et dans le testament il demande à Sir Malcolm d'enquêter et le voilà à l'ouvrage avec son ami de Scotland Yard et il va falloir que il fasse fonctionner ses petites cellules grises car cet avocat est vraiment tordu.

Mais il arrivera à prouver comment les choses se sont déroulées et croyez moi c'était bien monté et cela a faillit réussir.

J'ai trouvé que c'était une bonne lecture et je peux vous dire que j'ai passé un bon moment avec tous ces personnages.

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Un crime chinois

Petit polar agathachristinien de bonne facture.

Un meurtre "sauvagement chinois" dans une belle demeure aristocratique par une nuit d'hiver enneigée. Et le lendemain matin, le manteau de neige entourant le manoir étant resté intact, voilà un sacré coup de pouce pour la police : le meurtrier est sur place, n'a pu s'échapper.

Hercule Poirot est remplacé par un fin limier aristocrate, Sir Malcolm Ivory, sorte de Sherlock Holmes sans addictions à une quelconque drogue ... quoique ... sa collection de whiskys...et son amour des beaux livres...hum, hum...

Le Dr Watson est remplacé par un policier de Scotland Yard, diablement bien aidé par son mentor Sir Malcolm Ivory. Ce dernier réunira tous les personnages à la fin du livre, comme Poirot, pour dénoncer le coupable. Et on sera bien marri de constater que ce n'est pas le personnage le plus antipathique, le coupable et bien surpris des mobiles du meurtrier.

Les personnages sont bien campés mais n'attirent aucune empathie.



Bref, trame traditionnelle qui ne gâche rien au plaisir de la lecture.

Polar gentillet dont on peut se passer !

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Un crime sans assassin

Je n'ai pas grand chose à dire de ce court roman assez plaisant. L'univers est assez proche de celui d'Agatha Christie, Sir Malcolm Ivory étant aussi perspicace et fier de ses méninges que le célèbre Hercule Poirot.

Ce qui est curieux, c'est que tout est anglais, le lieu, l'atmosphère, les personnages et même l'auteur pourrait être une de ces vieilles dames anglaises friandes de meurtres et d'intrigues policières. Or il s'avère que Mary London est le pseudonyme de Frédérick TRISTAN, écrivain bien français!
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La femme écarlate

Simon, veuf élève depuis des années son fils David, enfant chéri qu’il a couvé comme une mère et qui est devenu un bel étudiant. David rencontre un jour Olympe, mûre, belle, hautaine et sexuelle, et cette femme le subjugue, l’envoûte. Elle le fait sien et il la désire jusqu’à l’obsession. Pour elle, il succombe aux paradis artificiels, se laisse dicter sa conduite qu’elle lui enseigne par le biais d’un enseignement religieux plus que douteux où se mêlent l’Islam, le judaïsme et le bouddhisme et fait passer grâce à une initiation sexuelle violente et cérébrale. Simon voit son fils lui échapper sans arriver à le retenir, ignorant jusqu’au nom de la femme qui le lui retire, ignorant que par le biais de David, c’est lui qu’elle veut atteindre, cherchant à enfin étancher une soif de vengeance qui croit patiemment depuis près de vingt ans.



Frédérick Tristan s'en donne à cœur dans la broderie littéraire, c’est son principal souci : au lieu de raconter son histoire, il se perd en digressions bavardes, surligne lourdement chacun des sentiments de ses personnages, les anticipe dans la plus grande tradition du « Nous, le savons, mais David lui ne savait pas encore ce qu’Olympe préparait pour lui dans le secret. ». Cela donne un roman en forme de pâtisserie surchargée de crème, de beurre, de coulis, il y en a trop, à toutes les pages, c’est boursouflé, cela devient vite écœurant.



La Femme écarlate se déroule dans le Paris des années 80, mais semble figé dans un décor de vaudeville très 19e siècle : Olympe (surnommé La Divine par l’auteur !) a un appartement qui ressemble aux boudoirs orientaux des tableaux de Delacroix et emploie une jeune fille qu’elle habille comme les soubrettes de romans pornographiques. Mais difficile de retenir quelques rires nerveux quand on lit « cigarettes de chanvre » pour parler d’un joint ou « poudre blanche » pour qualifier la coke. Difficile aussi de ne pas ressentir une certaine exaspération devant des personnages hautement caricaturaux et manichéens : David est un jeune crétin qui pense avec sa queue, Olympe une salope névrosée, Simon un homme complètement dépassé, c’est souffrance de lecteur. Ce n’est pas que Frédérick Tristan ne sache pas écrire, mais il en fait trop et dans son cas, l’excès lui nuit. On peut donc aisément passer sur La Femme écarlate si l’on tient à (re)découvrir son œuvre.

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Le parfum d'un crime

Une orchidée tellement rare qu'elle suscite les convoitises. Jusqu'au crime !

Dans le cercle très fermé des spécialistes anglais de cette fleur réunit au sein de l'Orchid Club., chacun frétille à l'idée de s'approprier l'inestimable Gongora. Celle-ci vient tout juste d'être dévoilée après sa "capture" par une sorte d' Indian Jones, que la voilà volée et le chasseur de fleurs rares mortellement blessé.

Qui parmi les fanatiques des orchidées aurait commis une telle atrocité (tué et volé).

Sir Malcom Ivory, lui-même membre du sélect Orchid Club, s'attelle à découvrir celui ou celle qui a les mains sales.

Personages et ambiance totalement désuets, intrigue à l'ancienne, une lecture vite emballée.
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Meurtre par superstition

A lire pour tous les amateurs du charme désuet des enquêtes à la Hercule Poirot, Higgins, Sherlock Holmes.



Très bon moment. Lecture très fluide.
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Les tentations

Essai consacré à une thématique richement illustrée dans l'art à travers les siècles :la tentation. D'Adam à St Antoine , elles foisonnent et Fréderik Tristan dans un texte très riche en analyse les composantes . S'y ajoute aussi de nombreux extraits de texte sur le même sujet .
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Sept ladies pour un meurtre

Roman policier au charme désuet. Pour mon goût, à lire avec parcimonie.
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Les tribulations héroïques de Balthasar Kober

J'ai lu ce roman il y a déjà quelques années.



Ce roman de Frédérick Tristan, publié pour la première fois en 1980 aux éditions Balland, est une étrange histoire : celle d'un jeune homme dont la vie bascule après la mort de son père. L'histoire se déroule en 1595, lors des guerres de religion. Balthasar Kober devient membre de la Confrèrie des Galopins. Son aventure est palpitante, pleine de suspens et de surprise. Un livre à suspens, vraiment, et un attachement sincère naît pour les personnages. L'Allemagne et l'Italie de cette époque sont divisés par la réforme religieuse, par les querelles d'intérêt. Ils sont également dominés par l'impitoyable institution qu'est l'Inquisition. Balthasar et son maître, Friedrich Cammerschulze, se sortiront-ils des embûches dressées par le terrible Dietrich Frankenberg, recteur de Dresde ? Un voyage poignant dans cette époque de la fin du XVIe siècle que je recommande à tout lecteur aimant les aventures et les récits initiatiques (je pense que celui-ci en est un).
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