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Critiques de Frédérick Tristan (91)
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Un crime trop parfait

Une lecture rapide et agréable, sans grand suspense mais qui demande malgré tout une certaine réflexion.

On suspecte d emblée le nom du meurtrier mais pas son mode opératoire, et c est la que le lecteur est tenu en haleine pour savoir .

Une enquête bien menée .
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La femme écarlate

Simon, veuf élève depuis des années son fils David, enfant chéri qu’il a couvé comme une mère et qui est devenu un bel étudiant. David rencontre un jour Olympe, mûre, belle, hautaine et sexuelle, et cette femme le subjugue, l’envoûte. Elle le fait sien et il la désire jusqu’à l’obsession. Pour elle, il succombe aux paradis artificiels, se laisse dicter sa conduite qu’elle lui enseigne par le biais d’un enseignement religieux plus que douteux où se mêlent l’Islam, le judaïsme et le bouddhisme et fait passer grâce à une initiation sexuelle violente et cérébrale. Simon voit son fils lui échapper sans arriver à le retenir, ignorant jusqu’au nom de la femme qui le lui retire, ignorant que par le biais de David, c’est lui qu’elle veut atteindre, cherchant à enfin étancher une soif de vengeance qui croit patiemment depuis près de vingt ans.



Frédérick Tristan s'en donne à cœur dans la broderie littéraire, c’est son principal souci : au lieu de raconter son histoire, il se perd en digressions bavardes, surligne lourdement chacun des sentiments de ses personnages, les anticipe dans la plus grande tradition du « Nous, le savons, mais David lui ne savait pas encore ce qu’Olympe préparait pour lui dans le secret. ». Cela donne un roman en forme de pâtisserie surchargée de crème, de beurre, de coulis, il y en a trop, à toutes les pages, c’est boursouflé, cela devient vite écœurant.



La Femme écarlate se déroule dans le Paris des années 80, mais semble figé dans un décor de vaudeville très 19e siècle : Olympe (surnommé La Divine par l’auteur !) a un appartement qui ressemble aux boudoirs orientaux des tableaux de Delacroix et emploie une jeune fille qu’elle habille comme les soubrettes de romans pornographiques. Mais difficile de retenir quelques rires nerveux quand on lit « cigarettes de chanvre » pour parler d’un joint ou « poudre blanche » pour qualifier la coke. Difficile aussi de ne pas ressentir une certaine exaspération devant des personnages hautement caricaturaux et manichéens : David est un jeune crétin qui pense avec sa queue, Olympe une salope névrosée, Simon un homme complètement dépassé, c’est souffrance de lecteur. Ce n’est pas que Frédérick Tristan ne sache pas écrire, mais il en fait trop et dans son cas, l’excès lui nuit. On peut donc aisément passer sur La Femme écarlate si l’on tient à (re)découvrir son œuvre.

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La 7e Victime

Un petit polar à l'ancienne bien tranquille. Heureusement que la solution de l'intrigue est étonnante car l'action n'est pas trépidante. Cela se lit très vite et on n'a pas vraiment de quoi s'attacher au héros de l'histoire qui est présenté assez platement. Pour celles et ceux qui veulent du polar sans cauchemar ni émotion d'aucune sorte.
Lien : https://www.babelio.com/list..
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Le Crime étrange de Greenwich

Une enquête policière dans le Londres des années 60 et dont le personnage principal n'est pas sans rappeler un certain Hercule Poirot de par son statut de détective, de ses raisonnements et de sa propension à nous parler "de ses petites cellules grises .

On a retrouvé un homme, pendu à une poutre de son appartement faisant croire à un suicide.

Sir Malcom Ivory va devoir mener enquête dans le milieu des collectionneurs en tout genre, mais cette façade cache bien d'autres trafics et c'est accompagné de son acolyte le superintendant Douglas et de son homme à tout faire que l'énigme sera résolue.

Une lecture facile et rapide avec quelques caricatures qui amusent plus qu'elles ne fâchent.
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Le parfum d'un crime

Une orchidée tellement rare qu'elle suscite les convoitises. Jusqu'au crime !

Dans le cercle très fermé des spécialistes anglais de cette fleur réunit au sein de l'Orchid Club., chacun frétille à l'idée de s'approprier l'inestimable Gongora. Celle-ci vient tout juste d'être dévoilée après sa "capture" par une sorte d' Indian Jones, que la voilà volée et le chasseur de fleurs rares mortellement blessé.

Qui parmi les fanatiques des orchidées aurait commis une telle atrocité (tué et volé).

Sir Malcom Ivory, lui-même membre du sélect Orchid Club, s'attelle à découvrir celui ou celle qui a les mains sales.

Personages et ambiance totalement désuets, intrigue à l'ancienne, une lecture vite emballée.
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Les tribulations héroïques de Balthasar Kober

Le jeune garçon allait devoir choisir entre deux destins aussi aléatoires l’un que l’autre. S’il restait à Dresde il y gagnait en sécurité mais fondait son avenir sur l’hypocrisie. S’il allait rejoindre les compagnons -les galopins, il s’engageait en aveugle sur un chemin au bord de l’abîme mais il y rencontrait la liberté.



C’est ainsi que se présente le choix d’un jeune garçon de 16 ans Balthazar Kober en 1590 en Allemagne.

En choisissant la voie initiatique, en acceptant les dangers liés aux luttes religieuses, en parcourant les routes de Dresde à Venise en passant par Nuremberg, Balthazar va devoir descendre au plus profond de lui et affronter ses peurs avant de trouver une certaine sagesse.



Il lui faudra toute la bienveillance et l’enseignement d’un maître, illustre kabbaliste et alchimiste, Friedrich Cammerschulze, pour passer les étapes de l’initiation, des élévations et découvrir les saints mystères.

« Roman d’aventure et d’amour ce livre est une profonde réflexion sur le sens de la vie, l’être humain, la liberté de penser et l’amitié.



Petite mise en garde : certains passages hermétiques pourront rebuter le lecteur mais les vertus de la persévérance est aussi l’un des enseignements de cet ouvrage 😉
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Un crime exemplaire

Une enquête un peu tirée par les cheveux, écrite dans un style qui rappelle un peu les rédactions que l'on faisait a l'école dans nos jeunes années. Les personnages ne sont guères fouillés et l'ensemble laisse une impression de superficiel bien peu crédible. Dommage.
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Un crime trop parfait

Voilà un crime dont on connaît parfaitement le commanditaire dès le début. On en connaitra la clé à la fin. Cela reste très classique. L'intrigue se passe à Londres dans la haute société des avocats d'affaires. Sir Malcom Ivory et les agents de Scotland Yard vont devoir suivre les faits et gestes de chacun des protagonistes et surtout explorer ce qui se passe dans leur tête.

Pas de grande originalité. Juste un passe-temps.
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La fin de rien

En 1938, dans un pays non nommé où l'on paie en zlotys, David Greedich se réveille en prison. Ses geôliers sont convaincus qu'il est Abraham Horstman, dirigeant d'un parti politique clandestin, et l'accusent d'avoir organisé des attentats. Greedich a beau répéter qu'il est un honnête citoyen, qu'il ne fait pas de politique, demander qu'on alerte sa femme ou son avocat, rien n'y fait. A la conviction que l'erreur va bientôt être reconnue succèdent la peur puis la colère. Greedich est amené à reconsidérer tous ses choix de vie.



L'auteur montre comment Greedich découvre la réalité du régime sous lequel il vit, lui qui pensait qu'il n'avait rien à craindre puisqu'il n'avait rien à se reprocher. C'est une mise au point bienvenue sur la réalité du totalitarisme. Les interrogatoires absurdes subis par Greedich sont excellemment décrits. Les questions se succèdent sans tenir compte des réponses. On lui affirme une chose et son contraire, ça tourne en rond, c'est à rendre fou et la raison du personnage vacille. C'est vraiment une lecture que j'ai trouvée très bonne.
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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Le manège des fous

Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan, est un écrivain et poète français, né le 11 juin 1931 à Sedan. Il a remporté le prix Goncourt en 1983 avec "les égarés" et le Grand prix de littérature de la Société des Gens de Lettres en 2000 pour l'ensemble de son oeuvre.



Le manège des fous; prenez votre billet et embarquez pour un récit mi- rocambolesque, mi - onirique dont j'ai voulu descendre à plusieurs reprises .



Certains chapitres sont de pures inventions humoristiques qui engagent le lecteur à poursuivre le voyage mais d'autres sont trop fous pour reprendre le dénominatif de l'auteur.



Je suis sans doute passée à côté de cette poésie, n'étant pas une adepte de ce genre.
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La fin de rien

Je crains que ma critique ne paraisse bien fade à côté des mots de Bologne, que je viens de lire ... je m'excuse par avance auprès de ceux qui auront donc le courage de me lire !

Ce roman est arrivé par effraction dans ma pile à lire ... il se trouve que, vivant dans les Ardennes, son récent décès a valu à l'auteur, Frédérick Tristan, sedanais, de se retrouver mis en avant sur les tables de ma médiathèque favorite. Ne connaissant rien de l'auteur, j'ai cédé à l'appel de "La fin de rien", ouvrage oublié en 2015. Le titre, la couverture, le hasard ... rien de bien rationnel dans ce choix de lecture, me direz-vous ?



Et bien cela colle parfaitement à cet opus. Dès les premières lignes, les premiers chapitres, on est littéralement happé dans un monde parallèle, un monde absurde, kafkaïen en diable. Je ne voudrais pas trop dévoiler d'éléments de l'intrigue ... il me suffira de reprendre des éléments de la quatrième de couverture : un pays indéterminé - chacun peut y associer ses propres images - et un homme, emprisonné sans qu'il en comprenne le sens. D'abord persuadé que les choses vont rentrer dans l'ordre d'elles-mêmes, que le malentendu va se dissiper ... et puis ... la machine implacable qui se met en branle, la machine à broyer : tous les moyens seront bons pour démontrer au malheureux qu'il n'est pas celui qu'il prétend être ... et de sombrer dans l'abattement, la folie, le désespoir, etc.



Le roman est étouffant, au sens propre. C'est un huis-clos où pèse une menace diffuse. On est emporté dans un tourbillon de sentiments en même temps que le principal protagoniste. C'est un roman de la perte de repères, qui interroge sur sa propre humanité, sa place dans le monde. Qu'est donc le rien du titre ? Et de quelle fin s'agit-il ? C'est un roman haletant, qu'on peine à poser ... c'est incisif, tendu, on sent comme une montée d'adrénaline continue.



Jusqu'à cette fin qui ... mais non ... ne rien dire ... il faudra d'ailleurs que je la relise, juste ce dernier chapitre, ces quelques mots.

Je n'affectionne pas particulièrement l'expression, mais cette "Fin de rien" est une véritable claque littéraire. Et il me tarde de rencontrer à nouveau son auteur.
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Le peuple des lumières

13 nouvelles pour adolescents d'un niveau de lecture difficile et avec des thèmes très politique qui demandent des connaissances générales sur le sujet pour y avoir un peu d'intérêt. Les thèmes abordés sont le terrorisme et le radicalisme, l'immigration, le racisme et les technologies de l’information. Personnellement, j'ai trouvé cela plutôt rébarbatif pour les ados (ce n'est peut-être pas le cas pour ceux des pays très concernés par ces sujets).
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La double mort de Thomas Stuart

À chaque fois que je commence un roman de Mary London, je me promets que ce sera le dernier. C’est loin d’être agréable de lire une centaine de pages sans savoir où on s’en va.



Puis, tout d’un coup, les choses commencent à se placer et vous avez l’impression que la véritable enquête est commencée. À partir de cet instant, vous êtes foutus. Il vous faut absolument lire le reste de l’enquête, surtout si vous croyez avoir trouvé le coupable, comme ce fut mon cas. J’ai quand même continué ma lecture parce que je voulais savoir si j’avais raison mais surtout pourquoi cette personne avait tué une autre personne.



Finalement, j’ai réalisé que pour la première fois avec cet auteur, j’avais deviné qui avait commis le crime mais la raison était tellement complexe et tordue que je n’en revenais pas. Ce n’est rien, après avoir pris connaissance de cette réalité, j’ai vu qu’il restait un autre chapitre encore qui rendait l’histoire encore plus tordue que vous ne le pensiez.



Bien entendu, l’aristocratie en prend pour son rhume. Dans ce cac-ci, je pourrait même dire qu’elle en prend pour sa grippe.



J’ai encore quelques aventures de sir Malcolm Ivory. Je n’ai pas l’intention d’en lire un autre mais je vais encore tomber dans le panneau.

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Sept ladies pour un meurtre

Deus ex machina



Dans un bon roman, il y a suffisamment d’indices pour qu’après coup on se dise : « J’aurais dû le voir. »



Dans ce roman, une information très importante nous est révélée dans le dernier chapitre et, je n’ai aucunement eu l’impression que les indices aient été suffisamment « perceptibles » pour un lecteur normal. De là vient le titre de ma critique.



J’aurais aussi pu mentionner qu’il n’y avait pas grand-chose dans la première moitié du roman.

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La mort de la tamise

Je pense que l'expression appropriée pour ce roman est : "Avoir un esprit tordu"

Cette expression s'applique à la fois à la fois pour l'auteur mais aussi pour le ou les meurtriers.

Bien entendu, les personnages de ce roman sont loin d'être des saints, c'est à se demander lequel ou laquelle serait le ou la pire.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'aristocratie en prend pour son rhume.

Pour le lecteur par contre, c'est un délice.

Dans sa critique, Polacrit indique que c'est l'éditeur qui a suggéré le canevas de ce roman. Je ne sais pas si ce canevas est allé dans le détail mais je pense que l'auteur en a fait un excellent polar.

Même apres avoir fermé le livre vous vous demandez jusqu'à quel point tel ou tel personnage est-il coupable.

Je pense que cette enquête aurait plu à Hercule Poirot.

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La Petite Morte de la Suite 22

J’ai déjà lu 8 enquêtes de Sir Malcolm Every mais c’est la première que je critique.



Pour moi, c’est la meilleure enquête de Sir Malcolm à date. Le scénario même du meurtre est en soi un petit bijou. Qui a fait le meurtre et comment s’y est-il pris est assez spécial.



Là où Mary London s’est surpassée c’est dans la consistence des différents acteurs et le dévoilement progressif de chacune de leur personnalité. C’est après chaque nouvel interrogatoire qu’on en apprend un peu plus sur ses motivations dans la vie et sur ses liens avec la victime.



Là où Mary London devient machiavélique, c’est dans sa présentation de ces aristocrates avec une personnalité pas très aristocratique.



Une lecture quand même simple et très agréable
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Les Egarés

Prix Goncourt 1983.

Un fameux roman, beaucoup de personnages aussi, nous évoluons durant la période quelques années avant la guerre de 40-45.

Cyril, un jeune écrivain, par un pur hasard fait la connaissance de Jonathan. Très vite une amitié se crée entre les deux hommes. Jonathan a beaucoup de bagout, de toupet, il ose, il fonce et c'est lui qui présentera le manuscrit du premier roman de Cyril chez un éditeur. Très vite la gloire est assurée chez les deux nouveaux amis.

Le temps passe, chacun faisant sa vie, mais l'amitié est restée entre les deux amis avec à l'arrière fond la montée du nazisme. En ces temps troubles on se remet en question, on ne lâche pas prise, on cherche sa place dans la société en pleine évolution, chacun des deux amis se sent égaré.

Un joli témoignage d'une grande amitié.
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L'Enigme du Vatican

Un bon roman mais très sensible,, en ce sens que Fréderick Tristan nous révèle ici des secrets du monde religieux, plus précisément le mode de fonctionnement du Vatican où la survie semble inévitablement liée à la politique...

L'énigme du Vatican leve le voile sur le secret de l'existence d'un second Jésus qui aurait la même mission que le premier, seulement la mise en oeuvre de leur mission serait bien différente! On découvre cette histoire dans un livre très intéressant qui présente le second Jésus sous le nom de Bosophon, un livre que le Valican se doit de protéger vaillamment. Ainsi, l'auteur nous fait vivre deux histoires parallèles, deux mondes distincts. D'un côté Bosophon, l'homme qui, aussitôt venu au monde, a vécu six mois sur terre et six mois au ciel de façon alternée mais qui donne du fil à retordre à tous les patriarches dans les cieux à cause de ses attitudes révoltantes et méprisables. Il n'a du respect que pour Samson, qu'il va d'ailleurs, en dépit de tout, convoiter la force et couper discrètement ses cheveux, afin de s'approprier la force de son maître.. Et de l'autre côté, la mort n'arrête pas de frapper de façon mystérieuse le monde du Vatican...

En fait, ce sont plusieurs codes qui vont se décrypter dans le dénouement de.notre intrigue, car nous sommes en période de la guerre froide, et les services secrets se servent du Vatican pour se passer des informations...

Un roman aux couleurs assez variantes et intéressantes, on s'évade beaucoup, on sillonne entre terre et ciel mais toute fois une forme de réalité nous rattrape!



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L'Enigme du Vatican

Roman très brouillon, j'ai lu les premiers chapitres puis je suis passé aux derniers.
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Un crime sans assassin

Une enquête de Sir Malcolm Ivory.

C'est une histoire qui se passe dans une famille bourgeoise : le père est avocat, la mère perd le nord (alzheimer), la secrétaire et maitresse et les 2 enfants un garçon et une fille.

Le père meurt empoisonné, on l'incinère et dans le testament il demande à Sir Malcolm d'enquêter et le voilà à l'ouvrage avec son ami de Scotland Yard et il va falloir que il fasse fonctionner ses petites cellules grises car cet avocat est vraiment tordu.

Mais il arrivera à prouver comment les choses se sont déroulées et croyez moi c'était bien monté et cela a faillit réussir.

J'ai trouvé que c'était une bonne lecture et je peux vous dire que j'ai passé un bon moment avec tous ces personnages.

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